Prier…[1] fondation de l’Eglise, cachet de la « prédilection » du Christ pour un de ses disciples, attestation de la présence des deux intimes au pied de la croix, délicatesse et ultime souci de Jésus : le sort de sa mère, si court passage qui en dit tellement, qui est si proche de nous. Méditation paulinienne sur la mort humaine du Christ, du Messie, spécialement proposée aux Juifs : obéissance, souffrance, sa supplication à Dieu qui pouvait le sauver de la mort. Suprême preuve de l’incarnation du Fils de Dieu, sa mort humaine. Puissance et manière divines que de propoer une filiation et une maternité, apparemment de substitution, en réalité d’accomplissement. ‘Tu es mon Dieu !’ Mes jours sont dans ta main, délivre-moi des mains hostiles qui s’acharnent. Tu m’arraches au filet qu’ils m’ont tendu. Parce qu’il s’est soumis en tout, il a été exaucé. Notre abandon est notre participation à notre salut.
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