lundi 2 mars 2020

suicides de prêtres - recherche à la suite d'une homélie paroissiale


France Bleu


Suicide d'un prêtre à Rouen : il avait tenté d'embrasser une jeune femme de 20 ans


Le père Jean-Baptiste Sèbe s'est pendu dans les combles de son église en Septembre, à Rouen. La mère d'une jeune femme de 21 ans avait alerté le diocèse quelques jours plus tôt, accusant le prêtre d'agression sexuelle sur sa fille. Selon nos informations, il avait tenté d'embrasser la jeune femme.
Le père Sèbe avait été retrouvé pendu dans les combles de son église. © Maxppp - Vanessa Meyer
Son suicide a provoqué beaucoup d'émoi dans la communauté catholique rouennaise. Le mardi 18 septembre 2018, le père Jean-Baptiste Sèbe a été découvert pendu dans les combles de son église Saint-Romain à Rouen. La veille, il avait été convoqué par l'archevêque de Rouen pour s'expliquer. La mère d'une jeune femme de 21 ans accusait le prêtre d'agressions sexuelles sur sa fille de 20 ans à l'époque. 


Les précisions de Christine Wurtz
Depuis, le diocèse, la police et le parquet sont restés très discrets, utilisant toutes les circonlocutions pour évoquer les faits reprochés au père Sèbe. "Une conduite inconvenante" avait reconnu le père Sèbe face à son archevêque. "Des gestes inappropriés", "un comportement déplacé", mais aucune précision sur la nature exacte des faits. Des précautions de langage qui n'ont fait qu'alimenter les soupçons.

Le prêtre a tenté de l'embrasser

Depuis, la police a épluché toute la vie du prêtre, entendu l'archevêque de Rouen et le vicaire général du diocèse qui a recueilli les confidences de la mère de la victime présumée et la semaine dernière, les enquêteurs ont donc entendu la fille. Une jeune femme de 21 ans aujourd'hui, qui raconte que l'an dernier, elle s'est retrouvée dans le bureau du père Sèbe pour préparer sa communion. Selon nos informations, c'est là que le curé a tenté de l'embrasser. "Une agression sexuelle aux yeux de la loi, mais que la jeune fille n'a pas vécue comme telle" explique une source proche du dossier, mais comme la pulsion d'un homme de 38 ans, fut-il prêtre, qui tente sa chance avec une jeune fille de 20 ans. La jeune femme avait tout raconté à ses parents à l'époque et n'était pas au courant de la démarche de sa mère auprès du diocèse.
Quoiqu'il en soit, la conduite de l'homme d'église n'a semble-t-il pas traumatisé la jeune femme outre mesure, mais elle est revenue comme un boomerang dans la vie du prêtre quand la mère de la jeune femme a décidé d'alerter le diocèse. Le père Sèbe, populaire et proche des jeunes pour avoir été aumônier dans plusieurs établissements scolaires, a dû s'expliquer face à son archevêque et reconnu "une conduite inconvenante". Il s'est pendu le lendemain, et deux jours plus tard, Monseigneur Lebrun tenait une conférence de presse, évoquant au sujet des prêtres la distorsion entre l'idéal qui leur colle à la peau et ce qu'ils vivent en réalité. "Jean-Baptiste était un homme particulièrement apprécié, et c'est une épreuve de se rendre compte qu'à l'intérieur de soi-même on n'est pas à la hauteur de l'image que l'on donne"
Le geste du prêtre semble en tout cas disproportionné au regard des faits. La jeune femme, elle, n'a pas l'intention de porter plainte et l'affaire devrait être classée sans suite.
Sur le même suje

www.lalsace.fr

Rouen : un prêtre accusé d'agression sexuelle se suicide dans son église

La mère d'une victime potentielle venait de le dénoncer auprès de l'archevêque de Rouen.
Par AFP - 19 sept. 2018 à 16:05 | mis à jour le 20 sept. 2018 à 06:41 - Temps de lecture : 1 min
| Vu 3036 fois
Photo d'illustration Julio PELAEZ


Un prêtre de 38 ans, originaire de Strasbourg et accusé d'agression sexuelle sur une fille, s'est donné la mort ce mercredi dans son église. C'est la mère de la victime présumée qui a dénoncé des actes indécents auprès de l’archevêque de Rouen.
A ce stade, "aucune plainte n’a été déposée", a précisé Étienne Thieffry, procureur de la République adjoint à Rouen, et "rien n’avait été porté à la connaissance de la police avant ce suicide". 
"Nous sommes dans l’incompréhension d’un tel geste même si je savais qu’il connaissait un moment difficile", a écrit Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, dans un courrier adressé à l’ensemble des prêtres du diocèse de Rouen.
Il était aussi directeur du centre théologique universitaire et du service de formation permanente.


lacroix.com


Après Rouen, Orléans sous le choc du suicide d’un prêtre

Dans une conférence de presse, l’évêque d’Orléans Mgr Jacques Blaquart, est revenu sur le suicide d’un prêtre de son diocèse le 19 octobre dans son presbytère, à Gien (Loiret).

Le procureur de Montargis Loïc Abrial a confirmé qu’une enquête préliminaire pour « suspicion d’agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans » avait été ouverte le 21 septembre suite à des « informations préoccupantes ».

  • Mélinée Le Priol (à Orléans),
  • le 22/10/2018 à 14:36
  • Modifié le 23/10/2018 à 12:39
Lecture en 3 min.
Mgr Blaquart (à droite), évêque d'Orléans, et Jean-Pierre Evelin, responsable de la communication du diocèse, lors de la conférence de presse lundi 22 octobre, après le suicide du prêtre Pierre-Yves Fumery. Christelle Gaujard /République du centre/MaxPPP
À l’accueil de la paroisse de Gien (Loiret), le téléphone ne cesse de sonner depuis ce lundi 22 octobre matin. « Je ne sais pas quoi vous dire, j’ai appris cela ce matin à la radio », répond inlassablement la permanencière du jour, visiblement fatiguée. « Il n’y a
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www.diocesedegap

Hautes-Alpes/suicide du père Dubois : ses obsèques auront lieu mercredi en la cathédrale de Gap





Publié par Samir MATHIEU le ven, 28/02/2020 - 21:37
k
Que s'est il passé?
Comment le Père Dubois si jovial et estimé de tous, a t'il pu mettre fin à ses jours à la stupeur générale ce vendredi?Décès du Père Sébastien Dubois




C’est avec une immense tristesse que nous vous annonçons que, ce vendredi 28 février, a été retrouvé le corps sans vie du père Sébastien Dubois. Il s’est donné la mort.
Aujourd’hui, nous pleurons avec tous ceux qui sont affligés par cette mort soudaine : ses proches et ses paroissiens.
Ce soir, un temps de prières aura lieu à partir de 20h à l’église des Cordeliers, avec adoration puis office des défunts présidé par Mgr Xavier Malle.
Le Seigneur détruira la mort pour toujours.
Il essuiera les larmes sur tous les visages,
et par toute la terre il effacera l’humiliation de son peuple ; c’est lui qui l’a promis.
Isaïe 25, 8

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C'est en effet ce vendredi à la mi-...








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Hautes-Alpes/suicide du père Dubois : ses obsèques auront lieu mercredi en la cathédrale de Gap







Publié par Samir MATHIEU le ven, 28/02/2020 - 21:37
k
Que s'est il passé?
Comment le Père Dubois si jovial et estimé de tous, a t'il pu mettre fin à ses jours à la stupeur générale ce vendredi?Décès du Père Sébastien Dubois






Décès du Père Sébastien Dubois
C’est avec une immense tristesse que nous vous annonçons que, ce vendredi 28 février, a été retrouvé le corps sans vie du père Sébastien Dubois. Il s’est donné la mort.
Aujourd’hui, nous pleurons avec tous ceux qui sont affligés par cette mort soudaine : ses proches et ses paroissiens.
Ce soir, un temps de prières aura lieu à partir de 20h à l’église des Cordeliers, avec adoration puis office des défunts présidé par Mgr Xavier Malle.
Le Seigneur détruira la mort pour toujours.
Il essuiera les larmes sur tous les visages,
et par toute la terre il effacera l’humiliation de son peuple ; c’est lui qui l’a promis.
Isaïe 25, 8

c'est à moi que vous ne l'avez pas fait - - textes du jour


 lundi 2
07 heures 16 + Juste le chant des oiseaux. Paysage entre d’éveil et lever, découragement, je ne me prévois pas la force d’aboutir à un livre, au moins l’urgence d’améliorer notre défense en appel contre LCL, vu l’enjeu financier. Les oiseaux redoublent, le ciel tourne à un gris foncé sans aspérités ni graines de beauté, mais instance d’un des chants. - Prier … davantage que la conduite de soi, la paix intérieure, la sécurité psychologique, morale et mentale : la charte du Seigneur est sûre, qui rend sages les simples. Les préceptes du Seigneur sont droits, ils réjouissent le cœur, le commandement du Seigneur est limpide, il clarifie le regard. … Et pour reprendre la formule qui nous est servie à satiété pour mimer la proximité des gouvernants vis-à-vis des gouvernés, c’est très concret : Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait. 1 L’Ancien Testament donne des commandements mais qui sont absolus, et dont la valeur pour celui/celle à qui ils sont présentés, tient à leur origine, tandis que le Christ – lui – procède positivement et surtout nous place vis-à-vis de Lui-même. Le jugement, la terreur spirituelle de beaucoup des âges de l’Église (peut-être reviendra-t-elle…), me paraît un appel au sérieux, au non-facultatif. Ce que nous faisons, par les autres, au Seigneur Lui-même place Celui-ci en juge. C’est nous qui appelons, provoquons le jugement.
08 heures 15 + Je n’avais lu que superficiellement le message du Pape pour ce carême. Plus attentivement, ses dernières propositions, que j’essaierai d’encourager dans la lettre que je lui destine, qu’il nous faut absolument encourager et développer en société. Notre pouvoir politique depuis des décennies est fermé aux perspectives et ne sait pas, sauf fort mouvement d’opinion, encore que l‘émergence de Greta THUNBERG a éveillé chez beaucoup de nos dirigeants : EM et TRUMP à égalité de haine et de cécité, le réflexe d’Hérode recevant les rois mages… discerner les autorités morales et leur regard, leurs propositions libres de toutes craintes sociales électorales. 2.
10 heures + Le souci de la réélection, et non la considération de la responsabilité, ayant reçu mandat, de l’accomplir et d’en répondre. Dans notre vie politique, pas de sanction ni de jugement et d’évaluation possibles à l’encontre du président de la République. Dans le cas d’EM, son âge l’affranchit de tout : son dédain pour nous et nos institutions, sans que cela ait été commenté… renoncer d’avance à toute forme de retraite ou d’avantage quand il aura quitté l’Elysée. Même réélu, il n’aura pas cinquante ans, les plus hauts postes d’influence et de rémunération lui seront offerts à foison. C’est détestable alors qu’avec lui notre démantèlement, pas seulement de la démocratie, mais de nos acquis d’en organisation, en patrimoine industriel, se sera accéléré.
Dans l’esprit de l‘homélie d’hier, cherché ce qui est donné (cher google) sur les suicides de prêtres. Fréquents et chacun différents, sans qu’on sache tout, mais l’un au moins, à Rouen en 2018, sous la pression d’une dénonciation d’abus sexuel (une simple tentative d’embrasser une paroissienne de 21 ans…, chaauant sans doute pour des chrétiens, selon l’idée qu’ils cultivent ou pas du sacredoce dit ministériel, mais rien de pénal..). L’interrogation alors pour le Père DUBOIS du diocèse de Gap et Embrun… le pourquoi ? qui semble avoir interrogé fortement et douloureusement notre Recteur pour qu’il nous fasse part. Certitude, le prêtre est en position aujourd’hui en France difficile. Tout différents les cas de l’Abbé PREYNAT : il n’a pas répondu à mes lettres, je ne sais pas le système de défense de son avocat, mais plus de vingt ans d’addiction … pas de réponse, pas de suicide. Pire encore, Jean VANIER, dédoublement de personnalité, des groopies qui déchantent maintenant ? alors qu’elles ont peut-être contribué par excès de révérence, à l’abus de position dominante, du célébrissime fondateur, qu’accompagnaient deux Dominicains, les frères (de sang) PHILIPPE, bien plus encore que lui en contradiction avec des écrits, dont je n’ai rien lu encore, mais répandus… Il y a à réfléchir, en Eglise mais appuyée et accompagnée par les psychologues et les juristes, réfléchir sur des états-de-vie, mais surtout sur les situations exonérantes et sur les facilités données par la notoriété, voire la gloire, comme système de perte de conscience. Les tentations du Christ selon Matthieu et le passage de l’évangile d’hier.
Politique ailleurs… BUTTIGIEG abandonne aux Etats Unis la course à la Maison-Blanche, l’espace libéré ira probablement à Bernie SANDERS, mais je crois que les deux hommes ne s’aiment guère : un ticket à deux, les extrêmes de l’âge ou presque, le programme du conservatisme presque avouée à la gauche absente en Amérique depuis ROOSEVELT, l’homosexualité du cadet... La victoire du Sinn-Fein en Irlande comme une éventuelle marche de l’Ecosse à l’indépendance (quoique la procédure référendaire est à la discrétion du Premier ministre britannique) sont toutes deux la conséquence du brexit. C’est L’Europe à tous qui sauvegardera l’unité des Iles britanniques. – Beatrix hier sur ce sujet : la lassitude dans les services du Conseil à Bruxelles, des années d’atermoiements, et selon elle un départ sans retour, car personne dans l’Union ne souhaiterait ce retour..

1- Lévites XIX 1 à 18 ; psaume XIX ; évangile selon saint Matthieu XXV 31 à 46


2- Le partage dans la charité rend l'homme plus humain, alors que l'accumulation risque de l'abrutir, en l’enfermant dans son propre égoïsme. Nous pouvons et nous devons aller encore plus loin, compte tenu des dimensions structurelles de l'économie. C'est pourquoi, en ce Carême 2020, du 26 au 28 mars, j'ai convoqué à Assise de jeunes économistes, entrepreneurs et porteurs de changement, dans le but de contribuer à l’esquisse d’une économie plus juste et plus inclusive que l'actuelle. Comme le Magistère de l'Église l'a répété à plusieurs reprises, la politique est une forme éminente de charité (cf. Pie XI, Discours aux Membres de la Fédération Universitaire Catholique Italienne, 18 décembre 1927). Ainsi en sera-t-il de la gestion de l'économie, basée sur ce même esprit évangélique qui est l'esprit des Béatitudes.

dimanche 1 mars 2020

et ils se rendirent compte qu'ils étaient nus - textes du jjour

dimanche 1er
09 heures 31 + Il pleut, problèmes d’électricité, pas d’eau chaude et éclairage aléatoire depuis quinze jours. Expérience qui me surprend chaque fois car elle est de circonstances différentes : mon vieillissement, assoupissements en réunion, mon essoufflement chronique, mais je ne souffre pas ni de ce dont je suis soigné ni de cette diminution de mes capacités. Mon goût pour la vie redouble pourtant, les échéances se rapprochent ou se cumulent ce qui fait tout traiter ou presque à la fois, et c’est bien. Mes aimées et notre sécurité en famille et en patrimoine. La période est dramatique pas tant du des cataclysmes de plus en plus prédits et commençants d’être éprouvés, le climat certes, mais rançon du mondialisme, les pandémies, dramatique du fait des hommes, coupés des animaux et des végétaux par l’excès de l’urbanisation, du fait fondamentalement et de plus en plus des dirigeants. Le chef de l’État, dans des démocraties confirmées comme la nôtre ou l’américaine, s’avèrent tout-puissants et indéboulonnable pendant toute la durée de leur mandat, et cette toute puissance n’est pas celle de LINCOLN à la fin de la guerre de Sécession, en conseil des ministres, six non, et un oui, les oui l’emportent, c’est une personnalité, ses incultures et préjugés, ses défauts mentaux et affectifs qui pèsent, en toute légalité sur un peuple. La dictature engendre haine et peur, face à face mental et psychique au lieu d’un dialogue permanent entre mandants et mandataires. La comédie, pas même la mise en scène pour le corona virus (quelle est la statistique annuelle moyenne chez nous des morts de la grippe ? certainement plus que le nombre actuel de victimes de la pandémie commencée, selon toute apparence, en Chine. Rien que cette origine géographique et d’origine politique, excite les fantasmes, bien plus chez nos dirigeants que dans l’ensemble des Françaises et des Français. Donc, un conseil de défense ! Les mises en scène, à l'instar de la grandiloquence de la signature des ordonnances sur le travail, pourtant déni originel de la démocratie et du parlementarisme, par le nouvel élu (Mai-Septembre 2017) et petite revanche de n'avoir pas été signataire de la loi EL KHOMRY.
Et, donc, l’article 49-3 de la Constitution 1. La mémoire actuelle des commentateurs et donc des Français lie son utilisation, bien sûr à des impasses à l’Assemblée nationale, mais sur des sujets où l’opposition minoritaire est majoritaire soutenue ar l’opinion, car il s’agit de démantèlements d’acquis nationaux : privatisations d’EDF, de TFI et maintenant d’Aéroports de Paris puisqu’aucune campagne n’a encore pu être menée sur les ondes en faveur d’une pétition pou la mise au referendum. Ce qu’il se passe pour le régime des retraites hérité de la Libération et qui ne posait que des questions de financement selon les régimes, mais certainement pas pour la plus grande partie des bénéficiaires de justice ou autres, est encore un cas de démantèlement, et aussi d’exonération des maladresses, incompétences au fond et en procédure du gouvernement pour accoucher d’un texte en plu de dix-huit mois. Originellement, le 49-3, manié par de GAULLE, était constructif : financement de la force de frappe en Octobre 1960. Le libellé du paragraphe a changé : apparemment, il a restreint la liberté du gouvernement d’y faire appel. Ce qui n’est pas commenté et que je n’avais jamais réalisé, c’est que non seulement la minorité est exclue, le dialogue aussi – on est maintenant à dire que ce n’est pas le gouvernement qui coupe court, mais l’opposition (les oppositions) par la masse des amendements – mais le Sénat. L’article 49-3 dans son libellé actuel est consacré d’abord aux lois de financement, ce qui présage le sort que va avoir cette fameuse conférence sur le financement du nouveau régime. Enfin, ce n’est qui n’est que psychologie du prince régnant, que se donnera à faire, à « réforme » EM dans ses deux dernières années de mandat…
. . . 22 heures + A la lecture et aussi aux « informations », le passage du texte au Sénat reste obligé, les délais divers, sans compter la question du financement et de la réunion ad hoc pour en décider, ne changent pas finalement.
 
Les textes de ce dimanche, l’incarnation du Seigneur, le Fils de Dieu fait homme : tout homme, les épreuves de toutes sortes, physiques (la faim pendant ces quarante jours, l’« enfer » de toutes les souffrances pendant la Passion, sans doute multipliées par la conscience divine qu’en a Jésus, torturé moralement plus encore que physiquement. L’attitude de Satan, ici personnifié, comme selon la Genèse il est corporellement figuré… si tu es Fils de Dieu, les deux premières tentatives du diable sont de proposer dès le désert et sans témoin, Sa pétition de divinité. Ce n‘en est pas l’heure pour le Christ, et surtout par la matière:être nourri personnellement, être physiquement protégé personnellement s’Il saute dans le vide du haut du Temple. La dernière, la royauté terrestre, suppose qu’au contraire des premières Jésus n’est pas Dieu, car s’Il l’est il na cure de tous ces royaumes. Or, Il est au centre de l’histoire spirituelle de l’humanité, après l‘ère du péché, commence de la Rédemption. Homme, Il descend aussi d’Adam. La Genèse et l’Apôtre assimilent clairement le péché et la mort. J’aimerais lire des commentaires sur la tentation dans la Genèse, la femme la première, sans délibération en couple, la tentation sous toutes ses formes, psychologique : vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des lieux, connaissant le bien et le mal. 2. Le discernement moral est donc divin d’origine et d’essence. La tentative est celle de tous les sens humains, et elle srt globale. Egaler Dieu. Or, le résultat est autre : la mort, la peine sur cette terre et dans sa vie, pénibilité du travail, les douleurs de l’enfantement. Quant à la prise de conscience, c’est celle de notre indigence.
Trois expériences.
Jeudi 27, l’organisation dont j’avais fait part le 18 d’une réunion publique permettant de comparer les programmes présentés par les deux listes en présence, tourne court en bonne partie : discussion imprévue et de la dernière heure avec la mairie voulant me faire payer, elle avait été déjà défaillante pour le « grand débat national ». Je finis par l’emporter, mais évidente fragilité de la liberté de réunion si elle demeure une libéralité et non un droit sans cause que son objet. Il s’est fait ensuite que j’ai mal communiqué pour confirmer cette réunion : aucun de mes destinataires habituels pour le presbytère n’était donc là, sauf Simone LN. Et le petit public s’est restreint aux ténors de la liste sortante, n’admettant pas de comparaison de programme puisque le sien n’était encore arrêté ni distribué. Donc, une réitération vive mais pas argumentée sur le presbytère. La conscience surtout que la communication une fois le pouvoir déféré n’est pas évidente selon l’expérience de la « mandature » qui se termine, les outils de participation aux décisions, n’était manifestement pas dans les esprits. Et maintenant une nouvelle réunion non pour choisir entre deux listes, mais pour affiner le programme de notre candidate par défaut ne met pas en appétit. Or, je crois que dire ces souhaits et proposer l’imagination est nécessaire. Je vais avoir à l’écrire et seul à notre tête de liste. Lucien DAMOUR a implicitement enfoncé le clou : pas plus d’écart entre les programmes que l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarettes (façon qui lui est naturelle de ne jamais faire état des personnes). C’est oublier la question presbytère mais dire très bien que cette élection va être celle d’une personne. La mienne, certainement, en 2001 où ma tentative explicite d’être élu maire « chez moi » a tourné court (pas encore un scrutin de liste, et classé 25ème sur les 50 en lice), et ces mois-ci où je m’étais cru « désirable » du fait de ma mise en évidence à propos du presbytère, fait problème à Surzur : elle ne le faisait pas à Pontarlier où il s’en est fallu d’une voix que je sois choisi en réunion socialiste de circonscription (candidat d’ouverture à l’élection législative de 1988). Raisons… je ne les sais pas vraiment, sinon que je suis ressenti comme différent, trop différent.
Seconde expérience, deux jours d’immersion dans le permis de conduire : rattraper des points. Un chef d’oeuvre de pédagogie de la part du couple (un formateur de moniteurs et un expert près les tribunaux, et une psychologue). Deux fois quatre heures par jour, des exercices montrant les facultés cérébrales en matière d’attention, de jugement, des dialogues pour constituer sans connaissance a priori les distances de freinage, les courbes de mortalité sur la route depuis les années 1960. Une ambiance familiale, de respect mutuel, une possibilité de rencontre malgré des âges souvent différents. Sans doute des métiers de route : chauffeurs de poids lourds, représentants de commerce, aide-soignantes à domicile, mais les « fautes » et les retraits de points, voire des décisions judiciaires mettaient chacun à nu pour au moins la matière de l’exercice. Il m’a semble qu’une telle émergence, si elle s’avérait durable, ce que l’expérience trop brève, ne donne pas, serait à pratique dans une instance telle que notre conseil des ministres : un esprit commun, une dialectique de groupe très créative, etc. Et évidemment j’ai beaucoup appris, des timidités, des peurs, un parcours tel ce propriétaire de bar à Perros-Guirec converti au poids-lourd payant si bien. L’inconduite des automobilistes dans les giratoires, les risques de plier le camion-remorque, la nécessité de la correspondance téléphonique avec les clients ou la base, la pression mise sur les chauffeurs pour la performance, mais un métier qui recrute. Pour ma part, j’ai bien vu que mes excès de vitesse ou mon recours au portable ne dépendent que de moi : m’en défaire donc. Je serai heureux d’une réunion de notre ensemble, et vais la solliciter.
Troisième expérience. Proposée par notre Recteur, confiant chaque semaine une image de la Sainte-Famille à une famille de la paroisse tout à tour. Explication de l’image (reproduction d’un retable pas vraiment remarqué, chez nous, à Sainte-Anne-Grapon), avec son commentaire, une prière vespérale en famille, etc. nous l’avons disposée devant nous, à côté de celle de notre mariage, cheminée jouxtant la télévision. Et voici que j’ai reçu de ma chère femme et de notre fille, chacune différemment, de nombreux signes d’affection, d’égard et de communion, nullement stéréotypé, ce soir. Grâce évidente de cette dévotion, et question : égards, dons, manifestation d’amour à chacune de mes aimées. Cela attend encore. Fatigué, trop victime psychologiquement et en comportement, de mon vieillissement, j’attends beaucoup et à temps plein, mais que donnè-je ?
Deo gratias.

1- ARTICLE 49 de la Constitution.
Le Premier ministre, après délibération du conseil des ministres, engage devant l'Assemblée nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme ou éventuellement sur une déclaration de politique générale.
L'Assemblée nationale met en cause la responsabilité du Gouvernement par le vote d'une motion de censure. Une telle motion n'est recevable que si elle est signée par un dixième au moins des membres de l'Assemblée nationale. Le vote ne peut avoir lieu que quarante-huit heures après son dépôt. Seuls sont recensés les votes favorables à la motion de censure qui ne peut être adoptée qu'à la majorité des membres composant l'Assemblée. Sauf dans le cas prévu à l'alinéa ci-dessous, un député ne peut être signataire de plus de trois motions de censure au cours d'une même session ordinaire et de plus d'une au cours d'une même session extraordinaire.
§ 3 Le Premier ministre peut, après délibération du conseil des ministres, engager la responsabilité du Gouvernement devant l'Assemblée nationale sur le vote d'un projet de loi de finances ou de financement de la sécurité sociale. Dans ce cas, ce projet est considéré comme adopté, sauf si une motion de censure, déposée dans les vingt-quatre heures qui suivent, est votée dans les conditions prévues à l'alinéa précédent. Le Premier ministre peut, en outre, recourir à cette procédure pour un autre projet ou une proposition de loi par session.
Rédaction originelle : le général de Gaulle et Michel Debré… Le Premier ministre peut, après délibération du conseil des ministres, engager la responsabilité du Gouvernement devant l'Assemblée nationale sur le vote d'un texte. Dans ce cas, ce texte est considéré comme adopté, sauf si une motion de censure, déposée dans les vingt-quatre heures qui suivent, est votée dans les conditions prévues à l'alinéa précédent.
Le Premier ministre a la faculté de demander au Sénat l'approbation d'une déclaration de politique générale.

2- Genèse II 7 à 9 & III 1 à 7 ; psaume V 12 à 19 ; évangile selon saint Matthieu IV 1 à 11