mercredi 28 septembre 2016

saint Simón de Rojas . 1552 + 1624



prêtre o.ss.t. et fondateur  des :
« Esclaves de Marie »

Simón de Rojas, de l'Ordre Trinitaire, naît à Valladolid, en Castille (Espagne), le 28 octobre 1552. A l'âge de 12 ans, il entra dans le couvent des Trinitaires de sa ville natale, où il fit sa profession religieuse le 28 octobre 1572 ; il étudia à l'université de Salamanque de 1573 à 1579 ; il fut ordonné prêtre en 1577 ; il enseigna la philosophie et la théologie à Tolède de 1581 à 1587 ; de 1588 jusqu'à sa mort, il a été supérieur de plusieurs couvents de sa province et fut envoyé comme visiteur apostolique, deux fois dans sa province et une fois en Andalousie: il exerça ces charges avec grande prudence.

Le 14 avril 1612, il fonda la Congrégation des « Esclaves de Marie » : en 1619, il fut nommé précepteur des Infants d'Espagne ; le 12 mai 1621, il fut élu Provincial de Castille ; le 1 janvier 1622, il fut choisi comme confesseur de la Reine Isabelle de Bourbon ; il mourut le 29 septembre 1624.
Sa canonisation, en 1988, année mariale, glorifie ce grand serviteur de Marie, comparé par Lope de Vega à Saint Bernard de Clairvaux et à Saint Ildephonse de Tolède.
Ce fut sa maman, la vertueuse Constance, qui fit germer dans son âme l'amour de Marie. Le culte qu'elle rendait continuellement à Notre Dame avec son mari Grégoire, nous fait comprendre pourquoi Simon, quand il prononça à l'âge de 14 mois ses premières paroles s'écria: « Ave Maria ». Il ne faisait que répéter la prière que ses parents récitaient si fréquemment.
Il était très heureux quand il pouvait visiter les sanctuaires consacrés à Marie ; il la priait instamment, imitait ses vertus, chantait ses louanges et mettait en relief son importance dans le mystère de Dieu et de l'Église. A travers ses études théologiques, il comprit toujours davantage la mission de Marie et sa coopération avec la Trinité au salut du genre humain et à la sanctification de l'Église. Il vécut ses vœux religieux à l'exemple de Marie. Il croyait que pour être à Dieu comme Marie, il fallait être son esclave, ou mieux, esclave de Dieu en Marie ; c'est pourquoi, il institua la Congrégation des « Esclaves de Marie », à la plus grande gloire de la Trinité, à la louange de Notre-Dame, au service des pauvres. Pour lui, être esclave de Marie signifiait une appartenance totale à Elle: « Totus tuus », pour être uni plus intimement au Christ et, en Lui, par l'Esprit, au Père.
La Congrégation qu'il a fondée avait un caractère laïcal : elle était ouverte à toutes les catégories sociales. Les inscrits, parmi lesquels figuraient même le roi et ses enfants, s'engageaient à glorifier Marie, en aidant les pauvres, ses fils de prédilection. Son œuvre vit encore en Espagne. Celui qu'on considère comme un des plus grands contemplatifs de son époque, prouve dans son ouvrage : « La prière et ses grandeurs » que la dimension contemplative doit aller de pair avec la vie active et se réaliser par les œuvres de miséricorde. Fidèle au charisme trinitaire, il promut la rédemption des esclaves, assista tous les pauvres qu'il rencontrait, réconforta infirmes, prisonniers et marginaux de tous genres. Quand on lui proposa des fonctions à la Cour, il n'accepta qu'à la condition de pouvoir continuer à se consacrer à ses pauvres, qu'il secourait à n'importe quelle heure du jour et de la nuit.
Multiples ont été les manifestations de son amour envers la Vierge Marie. Tous les peintres, qui ont fixé son image sur la toile, mettent sur ses lèvres la salutation: « Ave, Maria », qu'il prononçait si fréquemment qu'on l'appelait: « Le Père Ave Maria ». Il fit imprimer par milliers des images de Notre-Dame avec l'inscription « Ave, Maria », les envoyant partout, même à l'étranger. Il fit confectionner des chapelets très simples avec 72 grains azur unis par une cordelette blanche - les symboles de l'Assomption et de l'Immaculée - en souvenir des 72 ans de la vie de Marie, selon la croyance de son époque, et les envoya même en Angleterre. Profitant de son influence à la Cour, il fit écrire en lettres d'or sur la façade du palais royal de Madrid la salutation angélique: « Ave, Maria ». Le 5 juin 1622, il obtint du Saint Siège l'approbation de l'office et de la messe qu'il avait composés en l'honneur du Nom de Marie, et que, plus tard, le Bx Innocent XI (Benedetto Odescalchi, 1676-1689) étendit à l'Église universelle.
A sa mort, les honneurs funèbres qu'on lui rendit eurent l'aspect d'une canonisation anticipée. Pendant 12 jours, les plus célèbres orateurs de Madrid exaltèrent ses vertus et sa sainteté. Le Nonce du Pape, impressionné par tous les signes de vénération qu'on lui rendait, ordonna quelques jours après sa mort qu'on commence les procès en vue de sa glorification par l'Église.
Le 25 mars 1735, Clément XII (Lorenzo Corsini, 1730-1740) reconnut l'héroïcité de ses vertus et Clément XIII (Carlo Rezzonico, 1758-1769) le proclama bienheureux le 19 mai 1766.
Le 3 juillet 1988, avant de conclure l'année mariale, Saint Jean-Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005), a inscrit dans le catalogue des saints ce grand serviteur de Marie et père des pauvres.  
Source principale : vatican.va (« Rév. x gpm »).















wikipédia – à jour au 14 juillet 2016

Simon de Rojas

Simon de Rojas
Image illustrative de l'article Simon de Rojas
Naissance
Décès
Nationalité
espagnole
Ordre religieux
19 mars 1766
par Clément XIII
3 juillet 1988
par Jean-Paul II
Vénéré par
Fête
28 septembre
Attributs
phylactère "Ave Maria"; habit blanc avec croix rouge et bleu des religieux trinitaires
Saint Simón de Rojas, né le 28 octobre 1552 et mort le 29 septembre 1624, est un religieux espagnol de l'ordre des Trinitaires, témoin de la spiritualité du Siècle d'or. Tout en remplissant des fonctions officielles à la cour impériale, il a consacré son existence à l'assistance des malades et des indigents, ainsi qu'à la propagation de la dévotion au Saint Nom de Marie. Surnommé l'Apôtre de l'Ave Maria, il a été canonisé en 1988.
Une existence consacrée aux plus démunis, conformément à l'idéal trinitaire
Le bâtiment de la congrégation fondée par Simon de Rojas
Simon de Rojas gisant (par Velasquez)
Une spiritualité du service marial et humanitaire
Jean de Matha et Félix de Valois, fondateurs de l'ordre de la Sainte Trinité (par Théo Mayan)
Saint Simon de Rojas dans l'art populaire

Sommaire

Biographie

Le trinitaire chaussé

Simon de Rojas est né le 28 octobre 1552 à Valladolid, en Espagne. Il reçoit de ses parents, Gregorio Ruiz de Navamuel et Constanza de Rojas, une éducation imprégnée de piété mariale. Entré, dès l'âge de douze ans, au couvent des trinitaires de sa ville natale, il y fait profession le 28 octobre 1572. De 1573 à 1597, il poursuit ses études à l'université de Salamanque : c'est durant cette période qu'il est ordonné prêtre, en 1577. À Tolède, il enseigne la philosophie entre 1581 et 1583, puis la théologie jusqu'en 1587, année où il refuse de se charger de la chaire d'Écriture sainte1. À partir de 1588 jusqu'à sa mort, survenue à Madrid, le 29 septembre 1624, il se verra confier un certain nombre de responsabilités à l'intérieur de son ordre : prieur de différentes maisons; deux fois visiteur pour la province de Castille, puis une fois pour la province d'Andalousie; et en 1621, provincial de Castille2. Bien qu'ami du réformateur Jean-Baptiste de la Conception, qu'il rencontrait à la confrérie du Saint-Sacrement, Simon n'est jamais passé aux trinitaires déchaussés3. Par ailleurs, il a été nommé précepteur des Infants d'Espagne, don Carlos et don Ferdinand en 16194, et à partir du 1er janvier 1622, confesseur de la reine Isabelle de Bourbon, épouse de Philippe IV2. Il composera ainsi un petit traité à destination d'Anne d'Autriche, fille de Philippe IV, à l'occasion du mariage de celle-ci avec Louis XIII5.

Le bienfaiteur des pauvres

Ces hautes fonctions ne lui font néanmoins jamais perdre de vue les deux grandes priorités qu'il s'est fixées : le service des pauvres et la dévotion mariale. Fidèle au charisme de sa famille religieuse, il œuvre au rachat des esclaves, assiste les pauvres sans acception de personne, réconforte infirmes, prisonniers et marginaux de tous genres. Il n'accepte de devenir responsable des enfants royaux qu'à condition de poursuivre ses activités caritatives, et va jusqu'à déclarer donner la préférence aux déshérités, dans une période d'épidémie où l'empereur tente de lui interdire de fréquenter les hôpitaux, par peur de la contagion. Confesseur de la reine, il refuse toutes les prérogatives (carrosse, rétributions) attachées à cette charge, mais profite de son influence à la cour pour faire graver Ave Maria en lettres d'or sur la façade du palais royal de Madrid2.

L'apôtre de la Vierge

La dévotion au Nom de Marie constitue, en effet, l'autre volet de son apostolat. Le 14 avril 1612, il fonde la Congrégation des Esclaves du Doux Nom de Marie, sorte de confrérie composée de laïcs, toutes classes sociales confondues, qui comptera parmi les inscrits le roi d'Espagne et ses enfants. Les affiliés s'y engageaient à glorifier Marie en servant les pauvres, considérés comme les fils de prédilection de celle-ci2. Dès 1619, Simon presse l'augustin Bartoloméo de los Rios y Alarcon, de propager la confrérie dans les Pays-Bas méridionaux, d'où celle-ci rayonnera à travers toute l'Europe6. Par ailleurs, la dévotion mariale du trinitaire combine manifestations populaires et culte liturgique. Ainsi, il fait imprimer des milliers d'images pieuses avec l'inscription Ave Maria, ou confectionner des chapelets de soixante-douze grains (selon l'âge présumé de la Vierge) blancs, reliés par un cordon bleu, ces deux couleurs symbolisant respectivement l'Assomption et l'Immaculée Conception. Images pieuses et chapelets sont ensuite envoyés à l'étranger, particulièrement en Angleterre, fief de "l'hérésie protestante", selon les mentalités catholiques de l'époque. Il compose également un office liturgique en l'honneur du Nom de Marie, lequel office se verra soumis à l'approbation pontificale de Grégoire XV, le 5 juin 1622, puis étendu par Innocent IX à l'Église universelle, lorsque celui-ci institua la fête du saint Nom de Marie, en 16832.

Postérité

Au lendemain du 29 septembre 1624, les funérailles de l'Apôtre de Marie font figure d'apothéose populaire : pendant douze jours, des prédicateurs fameux (dont le trinitaire Hortensio Félix Paravicino) vont se relayer pour faire le panégyrique de ses vertus et de sa sainteté, si bien que, dès le 8 octobre 1624, le nonce apostolique ordonne que soit entamé le procès menant à la béatification. Après la reconnaissance de l'héroïcité des vertus, publiée par le pape Clément XII, le 25 mars 1735, Simon de Rojas est béatifié par le pape Clément XIII, le 19 mars 1766. Jean-Paul II le canonisera, le 3 juillet 1988, juste avant la clôture de l'Année mariale2. À l'heure actuelle, la congrégation des Esclaves du Doux Nom de Marie existe toujours et poursuit l'action humanitaire de son fondateur, à quelques pas de la Puerta del Sol7. C'est là que reposait le corps du saint, jusqu'à la guerre civile espagnole, au cours de laquelle ses restes furent profanés, brûlés et dispersés8.

Spiritualité

L'esclavage marial

La canonisation de Simon de Rojas s'est inscrite dans me contexte de l'Année mariale, décrétée en 1988 par Jean-Paul II. Le site officiel du Vatican montre comment le pape a relu la spiritualité du trinitaire espagnol à la lumière de ses convictions personnelles. Aussi insiste-t-il sur l'éducation mariale : on dit que les premiers mots que prononça Simon à l'âge de 14 mois furent: "Ave Maria", car il ne faisait que répéter la prière que ses parents récitaient si fréquemment; mais aussi sur la médiation maternelle de la Vierge : être esclave de Marie signifiait appartenir totalement à elle : «Totus tuus» afin de s'unir plus intimement au Christ et en Lui par l'Esprit, au Père2. En prêtant à Simon la devise de son pontificat, Jean-Paul II s'inscrivait dans une tradition d'esclavage marial, qui prend son essor dans l'Espagne de la fin du XVIe siècle, puisqu'avant l'œuvre de Simon de Rojas, on en repère déjà la trace dans une confrérie fondée chez les religieuses conceptionnistes d'Alcala, par Inès Bautista de San Pablo et Juan de los Angeles en 1595, ainsi qu'à Valladolid, auprès du bénédictin Antonio Alvarado, en 16129. C'est cependant à partir du début du XVIIIe siècle, que cette dévotion trouvera sa diffusion la plus étendue, grâce au Français Grignion de Montfort, lequel a reconnu sa dette envers le trinitaire espagnol3.

L'engagement éthique

Avec Simon de Rojas, l'esclavage marial atteint un point d'équilibre assez remarquable, en se concentrant sur l'idéal de service inconditionnel. En effet, la dévotion à sainte Marie, qui se définit elle-même dans l'évangile de Luc comme l'humble servante du Seigneur, hypostasie ici le dévouement aux malades, aux pauvres et aux marginaux. Derrière la terminologie baroque transparaît ainsi le sens donné par Simon à la Congrégation des Esclaves du Doux Nom de Marie. Cette fondation réalise d'ailleurs une intuition conforme au charisme des trinitaires, que le saint a formulée dans son ouvrage La prière et ses grandeurs, de la manière suivante : la dimension contemplative doit aller de pair avec la vie active et se réaliser par les œuvres de miséricorde2. Dans le cadre de la Contre-Réforme en Espagne, les saints Thomas de Villeneuve et Alonso de Orozco avaient proposé, quelque temps auparavant, une synthèse analogue entre vie intérieure, réflexion théologique et option radicale en faveur des plus démunis. L'heure est en effet à ce que l'on a pu appeler un moralisme mystique, qui s'exprimera, entre autres, dans le Tratado de la oracion y sus grandezas composé par Simon10.

Le traité sur l'oraison

Comme d'autres œuvres de la même époque, le Tratado s'inspire essentiellement de Louis de Grenade, tout en attestant de la persistance d'une influence du Pseudo-Denys sur la spiritualité espagnole, après la mort de Jean de la Croix (1591)11. Il s'agit d'une collection de sermons, distribués de telle manière que les trois premières parties de l'ouvrage traitent de l'oraison, la quatrième des mystères de la vie du Christ et de la Vierge, et le cinquième de la Passion et de la mort de Jésus. Préconisée en tant que remède aux maux corporels et spirituels, la prière y est définie, à la suite du Pseudo-Denys, comme une elevatio mentis in Deum. Sur cette base, l'auteur distingue les oraisons jaculatoires (introduites dans la Péninsule par les franciscains Bernardino de Laredo et Juan de los Angeles), la méditation (présentée, à la manière de Gerson, comme une vehemens cordis applicatio, dont le but est de faire aimer les vérités et les vertus) et la contemplation (entendue comme une haute science, de laquelle Jésus-Christ est le seul maître)12. L'auteur propose deux schémas de méditation destinés à faire aimer le vertu et s'attrister du péché commis, et un troisième pour arriver à l'amour de Dieu; chacun des trois se décline en huit mouvements : pétition, obsécration, désir, réprimande, admiration, interrogation, confiance et propos. Les deux dernières parties du traité contiennent d'ailleurs des modèles de méditation pour la mémoire et le cœur, avec une insistance toute spéciale sur le mystère de la Trinité11. Quant à la contemplation, Simon affirme, avec le Pseudo-Denys, qu'elle s'acquiert par voie de négation et d'ignorance en vue de l'union d'amour avec Dieu : la connaissance qui en résulte, provient de ce que l'âme éprouve lorsqu'elle est unie au divin13.

Voir aussi

Bibliographie

Œuvres

  • Dictamenes de virtud por alcanzar la perpetua sabiduria (maximes à destination de ses disciples).
  • Sentencias espirituales sobre algunos de los Salmos de David.
  • Instrucciones espirituales y politicas para una reina (à destination d'Anne d'Autriche).
  • Reglas espirituales y politicas para un superior (à destination de Fernando Nuñez, son confesseur).
  • Tratado de la oracion y sus grandezas.
  • Trois volumes de sermons autographes, inspirés par Juan de la Vega5.

Études

  • J. Purana, Simon de Rojas, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 877-884.
  • M. Fuentes, Simon de Rojas, Cordoue, 1988.
  • R. Grimaldi-Hierholtz, L'ordre des trinitaires, coll. Des chrétiens d'âge en âge, Le Sarment, Paris, Fayard, 1994, p. 133-134.

Articles connexes

Liens externes

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Références

  1. J. Purana, Simon de Rojas, p. 877-884, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 877.
  2. a, b, c, d, e, f, g et h Vie de St Simon de Rojas sur le site du Vatican [archive]
  3. a et b J. Purana, Simon de Rojas, p. 877-884, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 878.
  4. R. Grimaldi-Hierholtz, L'ordre des trinitaires, coll. Des chrétiens d'âge en âge, Le Sarment, Paris, Fayard, 1994, p. 133.
  5. a et b J. Purana, Simon de Rojas, p. 877-884, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 880.
  6. Q. Fernandez, Los Rios y Alarcon (Barthélemy de), p. 1013-1018, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome IX, Paris, Beauchesne, 1976, p. 1014.
  7. http://www.trinitarios.org/Var5/Avemaria.htm [archive].
  8. R. Grimaldi-Hierholtz, L'ordre des trinitaires, coll. Des chrétiens d'âge en âge, Le Sarment, Paris, Fayard, 1994, p. 134.
  9. Q. Fernandez, Los Rios y Alarcon (Barthélemy de), p. 1013-1018, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome IX, Paris, Beauchesne, 1976, p. 1017.
  10. J. Purana, Simon de Rojas, p. 877-884, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 884.
  11. a et b J. Purana, Simon de Rojas, p. 877-884, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 883.
  12. J. Purana, Simon de Rojas, p. 877-884, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 881.
  13. J. Purana, Simon de Rojas, p. 877-884, in Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, tome XIV, Paris, Beauchesne, 1990, p. 882.
Dernière modification de cette page le 14 juillet 2016, à 23:17.

 









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