lundi 10 novembre 2014

la foi, si vous en aviez gros comme une graine de moutarde - textes du jour

Lundi 10 Novembre 2014

               Il manque à la France un Premier consul et qui soit de consensus, d’acclamation populaire. Un géant du genre du pape Léon le Grand, repoussant Attila et maintenant contre beaucoup, dans l’Eglise d’alors, la révélation sur la divinité du Christ : un homme complet et ayant bien connu… la Gaule. 
 
                Notre débâcle devient horrible. Pratiquement, chacun communique beaucoup trop, sort de son rôle au lieu d’être au travail. Et la manie des enregistrements, comme si l’exemple de Nixon n’avait pas suffi. – Prier… [1] Augmente en nous la foi – La foi, si vous en aviez gros comme une graine de moutarde, vous diriez au grand arbre que voici : déracine-toi et va te planter dans la mer, et il vous obéirait. Les disciples font la prière, la demande la plus juste et la réponse de Jésus, qui semble les « rembarrer » place, précisément, « la barre » au plus haut.. L’ambition la plus grande et la plus complète : la foi et la connaissance de la vérité dans une religion vécue. Comment la transmettre et la propager ? je m’appuie sur l’espérance de la vie éternelle promise depuis toujours par Dieu qui ne ment pas. Jésus en donne la preuve : Il enseigne ses disciples jusqu’à leur inspirer les grandes demandes, la foi, comment prier, et la plus grande, l’incarnation démontrée par Sa mort, et la divinité du Fils de l’homme, manifestée par la Résurrection… Le « portrait-robot » que donne Paul à Tite pour le rôle qui lui est dévolu : que le responsable d’une communauté d’Eglise soit un homme sans reproche, mais ce qu’on en attendrait « normalement » (…) n’est nullement une capacité de commandement ou une suprême intelligence. Tout est dans le relationnel, la compassion, la générosité : être ami du bien, raisonnable, juste, saint, maître de lui. Décisif : il doit être attaché à la parole sûre et conforme à la doctrine, pour être capable d’exhorter les autres en leur donnant un enseignement solide, et de répondre aux opposants. Les Apôtres ne se sont jamais senti initiateurs, pionniers, fondateurs même et ab initio. Non, tout leur est antérieur, ils ne font que continuer, que puiser dans un donné, un acquis, un reçu. Evidemment, la correction fraternelle, la vigilance en société humaine, en communauté de foi et d’espérance. Confiance en la rémission, en l’amendement : s’il se repent, pardonne-lui. Même si sept fois par jour il commet une faute contre toi, et que sept fois de suite il revienne à toi en disant : je me repens, tu lui pardonneras.

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