les propos du Pape dans l'avion de retour à Rome, à propos
des migrants - entretien de presse. Ce que je reçois de
mon cher Jean-Claude, ami d’enfance et de retrouvailles :
Voici la traduction française de la réponse de François à la question
qui lui fut posée dans l'avion qui le ramenait vers Rome.
J'ai pris cette traduction dans Zénit (organisation que je n'aime guère,
mais dont je me sers de temps en temps car leurs traductions sont parfois bien
utiles).
A la lecture attentive du passage "incriminé", il ne me semble pas du tout
que le pape ait changé d'avis. Il est réaliste, et ne dit pas n'importe quoi.
Il appelle à la "prudence" qui est un don de l'Esprit.
On peut interpréter "prudence" de manière négative, certes,
mais ce n'est pas en ce sens que le pape parle. De toutes façons on lui fera dire ce qu'on voudrait qu'il dise, dans tenir compte de la globalité de sa pensée (on le prend pour une star de cinéma...).
A mon sens, il n'a pas changé d'avis
(et tout ce qu'il dit en ce moment va dans ce sens) : il est sur ce point,
très radical, d'un radicalisme évangélique.
La teneur globale de ce qu'il a dit aux jésuites,
en Congrégation générale, donne à penser qu'il n'a pas changé d'avis, même s'il ne parle pas des migrants ou réfugiés dans son adresse aux jésuites (ce n'était pas son sujet d'alors).
Amicalement.
11 heures 10 + Prier… le
fonctionnement social. Je prendrai soin
de mon troupeau, dit le Seigneur ; je lui donnerai moi-même un
berger pour le conduire. Et moi, le Seigneur, je serai leur
Dieu. Programme de l’Introit. Et aboutissement selon le
psaume. Maintenant notre marche prend fin devant tes
portes, Jérusalem !... C’est là que montent les tribus, les
tribus du Seigneur. C’est là qu’Israël doit rendre grâce au nom
du Seigneur. C‘est là le siège du droit, le siège de la maison
de David. Enracinement,
orientation. Conseils et pédagogies aussi simples que
naturelles. Le terreau de notre vie spirituelle, de notre
équilibre qui ne se fait totalement qu’en Dieu, est tout
humain, tout concret. Ils vont à leur perte. Leur dieu,
c’est leur ventre, et ils mettent leur gloire dans ce qui fait
leur honte ; ils ne pensent qu’aux choses de la terre. Le combat est sur ce
terrain. C’est la conscience que nous donne notre vie
spirituelle qui nous permet de nous vaincre, de nous
améliorer, de tenir. Tenez bon dans le Seigneur, mes
bien-aimés… Nous, nous avons notre citoyenneté dans les cieux :
d’où nous attendons comme sauveur le Seigneur Jésus Christ, lui
qui transformera nos pauvres corps, à l’image de son corps
glorieux. [1] Chance qu’est la
vieillesse, car elle fait prendre conscience de cette pauvreté
native : nos corps, dont seule nous arrache, et en gloire,
l’Incarnation du Fils de Dieu. Perspective, orientation,
combat que Jésus prend – pour nous – avec sérieux. La fin,
notre salut, justifie les moyens : éloge de l’indélicatesse !
les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les
fils de la lumière. Contraste
selon les textes d’aujourd’hui : affectivité et sensibilité
débordantes de Paul : mes frères bien-aimés pour qui j’ai
tant d’affection, vous, ma joie et ma couronne, tenez bon dans
le Seigneur, mes bien-aimés…
et sécheresse du Christ à première lecture. Parabole de
l’intendant s’adressant à ses seuls disciples. La dénonciation
du gérant, l’état des lieux pour celui-ci et des possibilités,
la stratégie. Celle-ci gagnante : le maître fit l’éloge
de ce gérant malhonnête car il avait agi avec habileté. Oui, nous avons le devoir
de gagner, même humainement. Le gérant d’ailleurs s’est rendu
service à lui-même en rendant service à d’autres, en se
faisant des obligés. – Les thèmes en paraboles dans la
prédication ou selon les répliques de Jésus : une psychologie,
une sociologie. Une approche de Dieu par notre quotidien.
Tristesse… intense. Ce prêtre
commensal de mon cher Denis : Clovis Le P. si fin chaleureux,
naturel, vrai. Faire-part presqu’accidentel de sa mort.
J’avais promis de continuer de venir à Saint-Joachim, après le
départ de mon ami, rien que pour lui et ces jours-ci, j’étais
à programmer un déjeuner là-bas pour lequel j’aurais demandé à
être à sa table. Et voilà que… Idem, le Père Joseph M. si
intéressant, présent, autant physique que spirituel. Désormais
seul chez lui, pas bien loin de nous, sa gouvernante
centenaire, puis son frère aîné, prêtre comme lui déjà parti,
je pensais aller particiuper à sa messe, dite sur place et
rester à échanger avec lui. Et je ne l’ai pas fait. Le voici,
dans cette même maison de retraite. Que d’affections et
rencontres dont j’ai été prodigué, et je n’en prends pas assez
soin. – Que nos querelles sont lamentables, inhumaines, cf.
hier soir.
06 heures 30 + Ce que j’ai pensé de
l’exercice d’hier soir. – Débat atterrant, effondrant.
Quelques évidences, je n’ai pas suivi les commentaires suivant
aussitôt l’exercice et ne sais donc pas si celui-ci a été mis
en cause en tant que tel..
1° Je crois que nous devons d’abord
nous rendre compte que de « bonnes idées » en bonnes idées,
nous avons depuis 1973 complètement perdu de vue l’esprit de
la Cinquième République et de la fondation voulue puis
pratiquée par de GAULLE à ses risques et périls personnels,
puisque l’élection présidentielle au suffrage direct à
laquelle il s’est soumis les 5 et 19 Décembre 1965, l’a
banalisé (au moins pour les esprits et commentateurs un peu
courts, mais le Comte de Paris l’avait également bien senti,
désormais DG tiendrait son pouvoir non d’une légitimité propre
et exceptionnelle, le 18-Juin, puis les services rendus dont
la paix en Algérie, mais d’un mandat électif qu’il invoqua
d’ailleurs en Janvier 1969 contre la hâte de POMPIDOU) et que
le referendum négatif du 27 Avril 1969 l’obligeait à
démissionner.
La « bonne idée » du quinquennat,
pour démocratiser en faisant voter plus souvent… (que GP ne put faire
passer dans les faits dès 1973) était en réalité le confort de
ceux qui le proposaient : GP sa réélection plus proche, ce qui
était nécessaire du fait de sa maladie, et JC acceptant la
proposition de ses adversaires, dont la gauche, pour ôter un
argument d’âge à sa propre réélection. La coincidence de durée
des deux mandats présidentiel et législatif nous a conduit à
cette conception qu’ont désormais tous les présidents : être
responsable de tout, ne pas avoir le temps, sauf second
mandat, d’où surcommunication et gâchis médiatique, pollution
des médias.
Deuxième « bonne idée » (proposition
BARRE/ROCARD) : inverser le calendrier des consultations. Pour
2002, on avait en effet les législatives quelques mois avant
les présidentielles. Ce qui posait la question de la recherche
des parrainages pour les candidatures et mettait le nouveau
président devant le fait accompli d’une majorité qui ne serait
pas forcément la sienne, en tout cas celle qui se serait
formée à son appel. Mais en légiférant pour que les
législatives, en 2002 (on ne se voulait pas fondateur à
l’époque) aient donc lieu dans les semaine suivant l’élection
présidentielle, on a figé tout le système politique français,
au plan national, pour cinq ans. L’argument du quinquennat, le
Président manque de légitimité face à l’Assemblée plus
fréquemment réélue, tombait si l’on présidait à la DG :
engagement présidentiel de partir si la renouvellement de
l’Assemblée ne donnait pas une majorité conforme aux
orientations et aux projets du président, et recours au
referendum sur les grandes questions ou aux grands moments.
Perdu de vue depuis : hier comme dans la littérature des
candidats depuis le referendum négatif du 27 Mai 2005 (après
lequel JC se maintint alors que la consultation était de sa
seule initiative – de même qu’il s’était maintenu après la
dissolution manquée d’Avril-Juin 1997 – JC qu’on encense toutes ces années-ci
alors qu’il a modélisé et préparé toutes nos errances depuis
2002), c’était à qui mieux la définition du referendum
« machine à perdre ».
Et troisième « bonne idée », les
primaires… nous en voyons le résultat. Un concours, niveau
BEPC, sur des thèmes choisis par un jury archiscolaire, têtes
de chapitres d’une action gouvernementale sans esprit ni élan
d’ensemble, qu’on détaille paragraphe par paragraphe. Un
abaissement général des candidats, se pliant au tronçonnage
des idées, des programmes et même des personnalités. Si FH est
en grande partie responsable d’un « affaiblissement » de la
fonction présidentielle, les primaires le sont autant.
Résultat aussi, les partis qui n’ont plus d’adhérents et
d’ailleurs ne savent pas quoi leur donner à faire, sinon de
trancher par de multiples votes les compétitions entre chefs,
montrent par cet exercice les divisions et les haines
internes. On aboutit d’ailleurs à une nouvelle classification
des candidatures, celles issues de primaires et celles
spontanées, hors partis, vg. MACRON ou laborieusement
négociées entre mouvements, MELENCHON et autres. Il est clair,
a contrario, qu’une candidature présidentielle ne se fait que
devant le peuple, l’ensemble des Français et non devant les
adhérents d’un quelconque parti ou d’une quelconque mouvance.
C’est l’erreur totale de NS comme de FH que d’avoir à se faire
pardonner leur candidature propre en concédant le passage en
primaires.
Enfin, mais est-ce une idée ? est-ce
une erreur ? est-ce un simple passage obligé en Mai 1981 mais
dont on a fait ensuite une philosophie puis une définition de
la démocratie chez nous ? l’alternance au pouvoir. Elle n’a
abouti qu’à rogner les aspérités de nos différences de points
de vue et des éventuelles alternatives de décisions et
d’orientations politiques. Le drame de 1981 est qu’on est
passé d’un clivage pour ou contre le régime fondé en 1958,
clivage qui valut jusqu’à l’élection de 1969, à un clivage
gauche et son contraire ou son opposition, à partir de 1974 et
surtout du programme commun de gouvernement convenu en 1972.
Même et surtout Valéry GISCARD d’ESTAING, et a fortiori
Jacques CHABAN-DELMAS s’il avait été élu (ce qui eût été une
excellente chose, en Mai 1974). La gauche n’a jamais été
honteuse, sauf dans cette spirale du renoncement à se
réimaginer et en termes de gouvernement depuis 2012. La droite
n’existait plus dans la psychologie française jusqu’à la fin
des années 1980. La défaite de la majorité parlementaire de
gauche en 1986 ne fut pas vécue comme une victoire de la
droite, qui ne se pensait pas encore telle (c’est
l’inspiration de NS sous BALLADUR, soyons la droite et n’en
ayons pas honte) mais ce fut comme un retour à la normale : la
gauche n’a pas de légitimité au gouvernement parce qu’elle ne
sait pas gouverner et que « le socialisme cela ne marche pas,
Monsieur Mitterrand » (dixit VGE en 1974, en débat, le premier
entre les deux candidats restant pour le second tour).
Depuis : le clivage soi-disant droite/gauche. Une gauche ne
pouvant plus se définir par son actif gouvernemental
puisqu’elle n’en a plus en tant que telle, et une droite ne se
définissant que contre la gauche à qui est déniée toute
capacité et que l’on caricature en feignant de croire qu’elle
est socialiste au sens soviétique ou idéologique. Ce qui a
dispensé, au moins la France, depuis vingt ans d’analyser le
libéralisme selon ses résultats… aussi piteux, sinon davantage
que le socialisme, version du passé. Alternance ? mimétisme,
sauf en paroles. Division droite/gauche ? soif au contraire de
consensus. Tout le centre se fait là-dessus (alors
qu’originellement, il se fit en référence strictement
européenne, et même fédéraliste européenne). Mais le centre se
divise lui-même selon une alliance ou pas avec la droite.
Sus-entendu, le partage des sièges censément produits par des
voix considérées comme acquises par avance.
La mise à l’ordre du jour des
alliances avec François BAYROU ou de l’attitude à avoir envers
le Front national a montré, jusqu’au cri, que cette « classe
politique » dont chaque membre, chaque candidat jure qu’il
faut la renouveler, la changer, etc… est plus que jamais
depuis cent cinquante ans dans un jeu de partis, d’alliances,
de combinaisons avec des sous-entendus, des accusations
souvent haineuses et pas facile à vérifier. NS et BLM (LE
MAIRE) et NKM (KOSCIUSZKO-MORIZET). Dire ‘avance avec qui l’on
s’allie pour soi-disant éclairer l’électeur etc. et qui a
appelé à voter qui ? et qui a fait élire qui ? Où sont les
Français, les électeurs que l’on suppose figés et donc
exploités dans leur fixisme. Avec comme cadre, des
institutions qui figent.
2° Ce qui a été dit pendant le
débat est tout aussi atterrant.
L’énumération des énormités… A qui
mieux mieux les « places » de prison, comme s’il s’agissait de
chambres d’hôtel… et les effectifs policiers. Alors que le
fond est la formation de ces forces de sécurité. Il y a des
briscards, comme dans l’armée et les adjudants, mais il y a
des novices et des ambiances. Le débat sur la légitime défense
a montré des dérapages possibles effrayants. La désinvolture
vis-à-vis de la Convention européenne des droits de l’homme :
JUPPE… voire du système juridictionnel européen, ce qui n’est
pas du tout la même chose. La comparaison des salaires et des
horaires des enseignants et des policiers. La daube du travail
de rédaction et d’administration des gendarmes. L’affectation
des forces de sécurité privées à des tâches publique…
effrayant. NS a donné le meilleur de lui-même… remplacer
d’office à son avènement les 35 directeurs généraux
d’administration centrale (pourquoi ce chiffre, selon quelle
étude de l’organigramme) pour être certain que les nouveaux
seront de la bonne obédience, alors que la tradition
française, celle d’un pays qui a été « fait » par son Etat,
est l’obéissance de l’administration au gouvernement, de même
pour les armées. Ou une analyse de FH, sous influence et
domination des « frondeurs », des écolo. et de
l’extrême-gauche. Enormités de chacun en relations
extérieures. La Syrie, c’est NS qui a légitimé Bachar en
l’invitant à notre 14-Juillet en 2010. L’intervention en
Libye, exactement comme celle des Américains en Afghanistan
puis en Irak instaure le pire, pire que ce que l’on a abattu.
Des slogans enfin du genre : libérer la France de l’emprise
syndicale
Deux lacunes énormes. La première de
considérer que FH n’a rien fait depuis son élection. C’est
faux. Ses réformes en matière sociale, parfois de « gauche »,
mais pour l’essentiel dans le sens du libéralisme cher à la
« droite », la loi Travail, les dispositifs MACRON. Et dans
l’affaire djihadiste, il a fait tout le possible et la
« droite » aurait fait moins. Il était prêt à tirer en Syrie,
si ses ambassadeurs ne l’avaient pas induit en erreur. Tout le
système sécuritaire, y compris le fichier T.E.S. dont personne
n’a parlé, est son fait, ou plutôt celui de CAZENEUVE. La
déchéance de nationalité sur laquelle FH a trébuché, le chorus
y est favorable avec toujours la même confusion sur la double
nationalité inconnue en droit positif français. La seconde et
elle condamne tout l’exercice faute que cela ait été au moins
un des thèmes, sinon même le thème d’une émission exclusive,
c’est l’Europe. D’elle dépend tout. Rien ne peut se faire ni
se vivre à nous seuls et pour nous seuls. Et c’est une
incitation excellente et c’est à notre honneur, nous sommes
les seuls à pouvoir relancer le mouvement. Seul à proposer en
1950, car l’Allemagne qui était « le » sujet ne le pouvait
d’elle-même. ADENAUER le tenta (article dans le Monde précédant d’un mois la "
déclaration Schuman " en 1950). Et seul maintenant car la
preuve a été faite que l’Allemagne au fait de son influence en
Europe depuis dix ans : son économie, sa cohésion entre
entreprises petites et grandes, la personnalité d’Angela
MERKEL, n’a rien su proposer en matière européenne.
Proposition qui ne peut être que de passer, au plus vite, de
l’inter-gouvernemental (paravent d’une Commission travaillant
sous influence, peut-être) à la démocratie (l‘élection directe
du président de l’Union, prérogative d’en appeler au
referendum européen).
3° les personnes ou personnalités, quand même.
La moins mauvaise, et peut-être le
seul qualifié pour être le prochain président de la
République, François FILLON, équilibré, n’en voulant à
personne, ne s’en prenant à personne, ne revendiquant aucune
supériorité d’expérience. NS fait peur, crispé, haineux,
méprisant, les regards, sommaire. Il serait pire qu’il a été.
NKM a des idées originales, pas beaucoup mais elle est la
seule à en avoir. Comme tous, elle est sommaire pour
l’éducation, elle a de l’idéal en politique extérieure, mais
elle se révèle vindicative et rancunière. Jean-François COPE
n’est pas forcément idiot mais son obsession des ordonnances
en début de mandat fait fi des possibilités de la Constitution
en votation parlementaire et de l’état de grâce de quelques
mois. Bruno LE MAIRE me paraît sans profondeur, même si ses
remarques sur la culture et notre langue sont justes.
Jean-Frédéric POISSON a commis deux types d’erreur. La
première a été de concourir à cette primaire qui van, en
principe, l’empêcher de se présenter par lui-même. Or, se
présentant simplement en chrétien-démocrate aussi sommaire et
anti-européen qu’il est ce qui surprend pour cette famille de
pensée, il aurait un bon score, certainement plus de 5%. La
seconde erreur, c’est évidemment ses aveux sur la relation
avec le Front national. Quant à Alain JUPPE, ce sera pire qu’à
Matignon il ya vingt ans. Son argument de vente, c’est qu’il
tiendra le cap jusqu’au bout, la persévérance, etc…
Le point commun est la dénégation de
la démocratie, sauf NKM. Soit la pétition d’obstination
pendant cinq ans, soit les ordonnances, soit le mépris les uns
des autres et pas seulement du camp adverse. Et évidemment,
l’exclusion – en parole – de l’épouvantail et du faire-valoir
qu’est le Front national. Pas la moindte explication pour son
succès en intentions de vote, pas le moindre discernement pour
ramener dans l’ensemble dit démocratique et le parti et ses
électeurs.
Nous avons donc une immense révision
de vie à faire nationalement. Et en même temps nous devons
insuffler le même exercice à l’Europe. Naturellement il peut y
avoir un miracle, quel que soit l’élu, de quelque bord,
expérience ou inexpérience. Il peut aussi y avoir quelque
cataclysme socio-politique. Enfin, l’économie spéculative,
libidineuse de l’ensemble occidental dit libéral laissant à la
marge ou en exploitation l’Afrique et l’Amérique latine, avec
le double jeu des deux grandes dictatures à économie
centralisée mais à lucre permis pour quelques-uns, peut p… à
tout moment.
[1]
- Ezéchiel XXXIV 11 à 24 passim ; Paul aux Philippiens III 17 à
IV 1 ; psaume CXXII ; évangile selon saint Luc XVI 1 à 8
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