lundi 29 juillet 2013

voir si leur conduite correspond à la clameur venue jusqu'à moi - textes du jour

Lundi 29 Juillet 2013

                         Rentrés vermoulus de la veille et moi épuisé des neuf-dix heures de route. Etat physique inchangé.  Image d’une vie à reprendre « en mains ». Les actualités aussi dépenaillées que moi, après le train de Brétigny et celui de Saint-Jacques de Compostelle, voici l’autocar d’Italie. Titre du Monde sur l’UMP, JUPPE en arbitre et SARKOZY reste dans le jeu. Quelques phrases du pape à Rio, la voix est bien, du texte je saurai sur le site du Vatican, l’exercice prochain à Cracovie, chacun comprend pour uoi. Zenit annonce un » discernement du pape sur l’Amérique latine ». Là est le sujet, la doctrine de la libération du Père BOFF a été un signe, l’Eglise doit répondre l’évangile en étant dans le monde et pas seulement : dans ses luttes. Elle y est par beaucoup de ses fidèles et une partie de son clergé, dans certains pays, elle paraît tout autrement en Europe et dans le « magistère », je lirai tout cela de près. Pour l’heure, amour et devoir m’appellent à de nouveaux moments de retrouvailles de ma chère femme. – Prier… j’ai inversé les textes liturgiques hier matin dans ma hâte, méditant la profession de foi de Marthe. Je prends ceux de dimanche matin maintenant [1]. L’enseignement majeur du Notre Père. Dialogues en suspension avec François L. évoquant des lectres de l’ancien de Boquen, n’entrant chez les Cisterciens que pour y trouver ou et comment méditer et atteindre ou saisir l’absolu (la perfection, disent d’autres), et déposé après une dizaine d’abbatiat ou de prieuré, parti en Chine six ou sept ans pour étudier le taoisme. Tands que le Père MOIGNT dont je ne lis depuis des ans que des choses simples et bien aurait affirmé – avec la tranquillité de Lucif – que l’ère ou le temps des religions monothéismes est terminé. Comment quelqu’un, parti dans la vie, ayant commencé selon la révélation évangélique et l’accompagnement d’une personne divine certes, mais précise, incarnée, temporelle, aux paroles notées et mémorisé, peut-il aller s’égarer vers la beauté, l’abislu, le silence, la perfection, etc… tous les attirbus d’un soi potentiel ou putatif, tournant le dos à Dieu et probablement sans plus de prière. Je ne sais le comprendre, c’est sans doute le grand scandale de l’intelligence, pire en cela que la beauté, mirage des adolescences longtemps persistantes en nous… que de se prendre pour repère, crible de tout, et surtout du sens de la marche, dans toutes els acceptions de ce mot…  Que ton nom, soit sanctifié, que ton règne arrive. La version de Luc – vérifier chez les autres synoptiques – omet la prière : que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Paul explique peut-être ce qui m’accable parfois quand j’essaie de rendre à ceux qui contre-témoignent de l’intelligence humaine : la perfection, l’absolu, la recherche-même, la méditatxion pour elle-même. Le rite. A regarder l’Eglise et la vie chrétienne comme un rite et un attachement aux dévotions et à la psychologie du pééché, à l’échangisme apeuré et orgueilleux avec Dieu, peut-être ont-ils eu une envire – alors compréhensible – d’aller ailleurs… Dieu vous a donné la vie avec le Christ. Il nous a pardonné tous nos péchés. Il a supprimé le billet de la dette qui nous accablait depuis que les commandements pensaient sur nous : il l’a annulé en le clouant à la croix du Christ.  Mais Jéssus ces chercheurs un moment égarés puisqu’il reprend leur démarche même (il faudra que je lise plus à fond les livres de référebce anciens ou de maintenant, de ces deux religieux) : cherchez, vous trouverez. Mais pas quelque chose, si consdérable ou honorable que ce soir, chez quelqu’un puis : frappez, la porte vous sera ouverte. Quelqu’un l’ouvre que l’entrant, le chercheur, le marcheur ne voit pas d’abord. Il a cherché. Pour celui qui frappe, la porte s’ouvre….combien plus le Père Céleste donnera-t-il l’Epsir Saint à ceux qui le demandent. Et comme pour la prière qu’Il nous a enseignée, Jésus a la délicatesse répétitive de prendre l’image de nous, les hommes, pour nous donner quelque idée de la bonté de Dieu, envers nous tous. Geste des hommes entraînant et redoublant la sollicitude de Dieu, le plaidoyer d’Abraham pour Sodome. Que mon Seigneur ne se mette pas en colère, si j’ose parler encore… Le péché de Sodome et de Gomorrhe, allusions lourdes des catéchismes et manuels pas anciens : la sodomie, les mœurs et orientations sexuelles. La bonté, la pitié de Dieu et les exhortations d’Abraham ont aujourd’hui pour écho la passion haineuse des théoriciens anti-mariage homosexuel, et anti-homosexualité. Qui écoutons-nous ? Qui chechons-nous ? Ces questions décisives : Jésus au jardin des Oliviers, entrant dans sa passion… Jésus proche de son tombeau, ressuscité… qui cherchez-vous ? que cherches-tu ? Pas quoi ? qui !


[1] - Genèse XVIII 20 à 32 ; psaume CXXXVIII ; Paul aux Colossiens II 12 à 14 ; évangile selon saint Luc XI 1 à 13
 

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