jeudi 4 juillet 2013

qu'est-ce qui est le plus facile ? - textes du jour

Jeudi 4 Juillet 2013

Prier.. nu… des livres m’effrayent soit par leur platitude malgré la notoriété et la qualité de l’auteur, soir l’ampleur d’une recherche qui n’atteindra cependant pas le lecteur à l’âme, mais était-ce l’objet [1] ? « L’Eglise servante et pauvre » (vœu de CONGAR avant qu’il se sache, en d’autres points, exaucé par la convocation d’un concile), le pape des pauvres… la pauvreté, précisément parce qu’on est pauvre mais alors sans parole, car approcher la pauvreté de l’extérieur … travailler à un remédier par la justice sociale : oui… un magistère de l’Eglise impitoyable pour les ingéalités de fait et pour les ingéniosités doctrinales justifiant séculation, rentabilité, proft non réinvesti, tout ce qui détache l’argent de la production, tout ce qui fait de la production (quand on produit encore…) un enjeu au lieu d’une réunion… Le sacrifice programmé d’Isaac [2], un Dieu sadique ? Prend ton fils, ton fils unique, celui que tu aimes, Isaac, va au pays de Moriah, et là tu l’offriras en sacrifice sur la montagne que je t’indquerai. Exécution… Abraham est celui répond : Me voici… Abraham se leva de bon matin. Le récit devient pathétique, ce qui est dit… la marche, les serviteurs la durée… Restez ici avec l’âne. Moi et l’enfant nous irons jusque là-bas pour adorer, puis nous reviendrons vers vous … Mon père ! - Eh bien, mon fils ? - Voilà le feu et le bois, mais où est l’agneau pour l’ holocauste ? – Dieu saura bien trouver l’agbeau oour l’holocauste, mon fils… et ils s’en allaient tous les deux ensemble… il lia son fils Isaac et le mit sur l’autel par-dessus le bois… Ne porte pas la main sur l’enfant ! Ne lui fais aucun mal ! Je sais maintenant que tu crains Dieu : tu ne m’as pas refusé ton fils, ton fils unique…. Alors Abraham retourna auprès de ses serviteurs et esemble ils se mirent en route pour Bershéba : et Abraham y habita.  Le texte ne se veut qu’uitle à notre foi : pas de littérature, le pathétique et il y en a souvent, est second, il est la préparation de notre âme, de nos sens pour bien davantage : la foi. Rien n’est donc dit du dialogue entre fils et père, les interrogations d’Isaac sur ce qui se préparait et sur ce qui se transforma. De même, la transmission de la foi d’Abraham à Isaac est sans paroles qui nous soient parvenues. Jésus exauce la foi. Le paralysé guéri : confiance, mon fils, tes péchés te sont pardonnés. Phrase quasi-rituelle du Christ se conformant sans doute à l’analyse de l’époque : la maladie est le fait du péché. Donc, l’effacer, c’est opérer la guérison aussi, sinon surtout, de la chair…Qu’est-ce qui est le plus facile ? de dire : Tes péchés sont pardonnés, ou bien de dire : Lève-toi et marche. ….. L’homme se leva et rentra chez lui… Alors Abraham retourna auprès de ses servirteurs et ensemble ils se mirent en route…


[1] - à 90 euros  le volume et faisant paraît-il un tabac… de John P. MEIER . Un certain juif Jésus . Les données de l’histoire . I Les sources, les origines, les états – II La parole et les faits – III Attachement, ruptures – IV La loi et l’amour… mais au total, ce peut être intéressant. Je n’ai pas les moyens de faire l’invetissement. En réserve aussi l’achat d’une compilation, BOKHARI ( ?) de hadith et de commentaires qui me parait fondamentale depuis années, l’édition-traduction des années 1910, vaut à peu près autant

[2] - Genèse XXIII 1 à 19 passim ; psaume CXVI ; évangile selon saint Matthieu IX 1 à 8
 

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