lundi 5 septembre 2011

la gloire sans prix de ce mystère - textes du jour

Lundi 5 Septembre 2011


Prier…[1] immoralité du monde actuel, du moins en version française quotidienne, éprouvée ou entendue de récits d’expérience. La flexibilité, la mobilité, l’adaptation, alors que toute la leçon religieuse, et le rapport à Dieu, aux autres et à qui l’on aime sont persévérance et fidélité. Je n’ai mon repos qu’en Dieu seul ; oui, mon espoir vient de lui. S’adapter à ce qui n’a pas de repères et n’en présente aucun – à perte de vue et de raison, et veut même effacer ceux qui subsisterait ou qu’on lui apporterait. Oui, il faut changer le monde. Est-il permis, le jour du sabbat, de f aire le bien, ou de faire le mal ? de sauver une vie, ou de la perdre ? - Alors, promenant son regard sur eux tous… Nous sommes passés d’un fixisme, peut-être excessif, à une cécité pire : la pantomine sur fond glissant perpétuellement et de plus en plus vite. Alors que les repères – la réalité – existent. Nous sommes dans un monde fictif, d’apparence, nous sommes revenus à la caverne de Platon, il y aussi la caverne de l’épreuve, les sept dormants du Moyen-Age et du Coran. Il connaissait leurs pensées… Quant à eux, ils furent remplis de fureur et ils discutaient entre eux sur ce qu’ils allaient faire à Jésus. L’épisode de l’homme qui avait la main paralysée. Bataille menée par le Sauveur, en pure perte apparemment… relais des apôtres, des disciples, de nous. Je combats pour que leurs cœurs soient remplis de courage et qu’ils soient rassemblés dans l’amour, afin d’acquérir toute la richesse de l’intelligence parfaite, et la vraie connaissance du mystère de Dieu. L’amour, la foi, la connaissance, étapes, chemins pour la totalité de notre entrée – volontatire et pourtant grâcieuse – en Dieu. Le mystère qui était caché depuis toujours… la gloire sans prix de ce mystère… La vie religieuse, la dimension religieuse, la recherche de Dieu, la perception de tout et surtout des autres et de nous-mêmes, en Dieu et selon Lui, sont le réalisme. Ce mystère, c’est la réalité tant refusée par les clowns agités pour la montre, que nous sommes et à laquelle nous consentons, malgré nous… Comptez sur lui en tous temps, vous le peuple. Devant lui, épanchez votre cœur. … Il y avait là un homme dont la main droite était paralysée. Les scribes et les pharisiens observaient Jésus afin de voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat ; ils auraient ainsi un motif pour l’accuser. L’acharnement de nos erreurs, de nos impostures à se défendre contre la lumière et le salut. Oui, mon espoir vient de lui.
[1] - Paul aux Colossiens I 24 à II 3 ; psaume XLII ; évangile selon saint Luc VI 6 à 11

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