Deuxième « disparition » de
personnel encadrant : administratif ou enseignant à Y....
Les clients-élèves dénoncent leurs professeurs quand ceux-ci
les ennuient ou les notent mal ou ne les gratifient pas
assez de supports de cours. Culture et orthographe dans
l’équipe de direction… L’enseignement
privé quand il est un investissement. A ne nullement
confondre avec les établissements d’inspiration religieuse
ou explicitement pédagogique. Ministre de l’Education ?
faire tranquillement un audit et des programmes et de la
part de pédagogie, de psychologie dans la formation des
enseignants, enfin de la capacité à animer, encadrer,
organiser chez les encadrants, type principal ou proviseur.
Prendre son temps, écouter. Savoir que là est le creuset de
l’esprit national et civique. Donc, rester dix ans… Victor
DURUY, Jules FERRY (malgré ses renversements et renvois du
pouvoir, il est demeuré… encore aujourd’hui). L’autre
creuset mais un peu plus avant dans l’âge, évidemment le
service militaire et civique, probablement transeuropéen,
universel : esprit de défense, patriotisme européen,
brassage social, temps de réflexion pour toutes orientations
professionnelles, matrimoniales, culturelles. Si ces deux
tâches sont décidées et institutionnellement fondées et
refondées, notre pays sort de l’ornière, redevient
exemplaire et contagieux. – Les secrets de l‘Histoire,
superbe émission pour nous connaître nous-mêmes et
reconnaître nos modèles. Henri III hier, méconnaissable
relativement à ce qui en est véhiculé. L’homosexualité est
peu probable. La volonté acharnée mais si contrariée de
l’unité des âmes. L’épisode polonais et un étonnant voyage
royal à travers l’Europe, avec une minuscule escorte. Le
bien taillé, mon fils, maintenant il faut coudre, n’est
nullement un mot de la rein-mère après la Saint-Barthélemy,
mais à la suite de l’assassinat du duc de Guise. Le duc, de
la lignée de Charlemagne (les Carolingiens et les
Capétiens…) était un véritable compétiteur. Epoque sans
principal ministre. Le roi fixe le pouvoir à Paris, il est
le plus brillant et le préféré des quatre fils de Catherine
de MEDICIS. La leçon, valable pour chacun de nos rois : la
conscience de sa responsabilité…
Prier… les saints et les
canonisations, la présentation souvent critiquable ou datée
de la lettre quotidienne : evangelizo.org que je reçois… trop de fondatrices,
de saints prêtres des deux derniers siècles aux pieds
desquels rampent les bénéficiaires d’une charité en
uniforme. En revanche, les textes pontificaux sont
excellents et pédagogiques. Sébastien, français ! né à
Narbonne. Une protestation, qui n’est pas immédiatement
entendue : les chrétiens sont les meilleurs soutiens de
l’empire romain. Prier aujourd’hui : nos institutions, nos
ressources humaines, les dégénérescences actuelles, nos
réserves de lucidité et de méditation [1].
Tu n’es qu’un enfant, et
lui, c’est un homme de guerre depuis sa jeunesse… L’histoire de David, le
personnage de Samuel, « faiseur de rois » au sens littéral,
la complexité de leurs relations à chacun avec Saül, les
multiples enjeux, les amours et amitiés, plus que du roman,
et c’est de ce creuset historique et psychologique que vont
naître et l’ascendance du Messie et la plus forte et
didactique prière jamais chantée et écrite dans l’histoire
de l’humanité : les psaumes. Dieu gagne pour l’homme, fait
gagner l’histoire du salut par l’homme avec des moyens
naturels et selon les talents de celui-ci. David prit
en main son bâton, il se choisit dans le torrent cinq cailloux
bien lisses et les mit dans son sac de berger, dans une
poche ; puis la fronde à la main, il s’avança vers le
Philistin… il atteignit le Philistin au front, le caillou s’y
enfonça, et Goliath tomba face contre terre… David courut :
arrivé près du Philistin, il lui prit son épée qu’il tira du
fourreau et le tua en lui coupant la tête. Quand les
Philistins virent que leur héros était mort, ils prirent la
fuite. Le psalmiste,
David ? commente : béni soit le Seigneur, mon rocher !
Il exerce mes mains pour le combat, il m’entraîne à la
bataille… Puis la suite
est un Magnificat,
celui du jeune roi… il est le bouclier qui l’abrite, il
me donne pouvoir sur mon peuple. Pour toi, je chanterai un
chant nouveau, pour toi, je jouerai sur la harpe à dix corses,
pour toi qui donnes aux rois la victoire et sauves de l’épée
meurtrière David, ton serviteur. Minutie et grandeur du
récit, dilatation du cœur humain reconnaissant providence,
sollicitude. Ce dont les contemporains de Jésus sont
incapables. On observait Jésus pour voir s’il guérirait
le jour du sabbat… « Est-il
permis,
le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ?de
sauver une vie ou de tuer ? » Mais eux se taisaient. Alors
promenant sur eux un regard de colère, navré de
l’endurcissement de leurs cœurs, il dit à l’homme… Une fois sortis, les
pharisiens se réunirent en conseil avec les partisans d’Hérode
contre Jésus, pour voir comment le faire périr. Les divers types de
réponses de l’homme à Dieu. Le regard de Dieu quand Il
embrasse l’humanité entière, le regard particulier du
Christ : Jésus le regarda et l’aima. Ou Son regard
circulaire sur ses disciples, sur ses détracteurs, et sur
ceux qui entourent la croix de Son supplice.
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