Prier, nu… Les sourcils de STALINE, la glace des yeux
glauques sans sourcils de POUTINE… l’eau sur Mars… la ritournelle des
invocations du « modèle social » français parce que précisément il n’est
plus : sécurité sociale, solidarité des persosnnes et des collectivités,
planification concertante entre tous les « acteurs » de l’économie, c’est
devenu libéralisme, mot splendide appliqué à la politique et qui fit tout le
mouvement de l’histoire du XIXème siècle et qui enfanta les doctrines et textes
sur les droits de l’homme, mais appliqué à l’économie, il signifie la jungle où
la dernière victime, l’outil de souveraineté et de démocratie pour les peuples,
à savoir les Etats, est en cours de dévorance. C’est le résumé de mes
convictions politiques : dans les limbes de la Résistance, ce fut la
réponse française au totalitarisme. Nous en subissons un autre et ne savons
répondre. – Textes conciliaires sur la mission, l’évangélisation et toujours
cette distinction entre clergé et laicat. Il crève les yeux à lire les
évangiles qu’il y a des fonctions sans doute, y compris celle de trésorier
confié à Judas dont le métier n’est pas dit, et que sans doute Matthieu eut
mieux accompli, mais il n’y a pas de différence essentielle. – es textes de
Prions en Eglise ne coincident pas avec l’envoi quotidien d’evangelizo.org. Tant
mieux, lire et prier aujourd’hui l’envoi en mission des Soixante-Douze et l’insistance
du Christ sur l’esprit d’enfance. Je
vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les petits
enfants, vous n’entrerez point dans le Royaume des cieux. [1]D’expérience par notre fille, l’esprit d’enfance
n’est nullement la dépendance, l’avidité de sécurité ou l’attitude vis-à-vis de
l’apprentissage ou pas. Il est d’abord un don aux parents, un don d’amour d’une
nature et d’une expression dont nous ne savons plus mle secret, nous les
adultes. Il ests au-delà de la confiance, il est avant tout dialogue et il est
tout autant pétition et démonstration de liberté, liberté d’une personnalité
qui se construti et s’affirme, qui a sans doute ses besoins de terreau, mais
qui est irréfragable, et alimente – précisément – le dialogue. L’offrande de
soi, c’est le dialogue. La relation de l’homme à Dieu est donc excellemment
donnée par celle de l’enfant à ses parents de chair et de cœur. Les parents, ma
chère femme et moi plus encore, en sommes-nous dignes ?Pour moi, je le
sens, c’est bien imparfait. Ainsi vous serez nourris et rassasiés du lait
de ses consolations, et vous puiserez avec délices à l’abondance de sa gloire. De paternité parfaite, que celle de Dieu. Et
évidemment, Marie fille de Dieu, première chrétienne, modèle de maternité, mère
de Dieu. Modèle de vie. Plus que le bonheur, le mouvement de la joie, intime et
exubérant à la fois. Vous serez consolés. Vous le verrez, et votre cœur se
réjouir ; vos membres comme l’herbe nouvelle,seront rajeunis. … Vous serez
comme des nourrissons que l’on porte sur son bras, que l’on caresse sur ses
genoux. Il est vraimenyt signfiicatif que
Jésus au Temple soit juste à cet âge charnière entre l’enfance et l’adolescence.
Mon âme est en moi comme un enfant, comme un petit enfant contre sa mère. Et l’autre proposition d’évangile est celle
de l’âge adulte, d’une vigueur employée par Dieu. Je ne poursuis ni grands
desseins, ni merveilles qui me dépassent. Non, mais je tiens mon âme égale et
silencieuse. J’aime et j’ai confiance. Je
suis aimé. De l’aumonier de la clinique Océane où agonisa notre cher Frère
Claude, moine de Kergonan, ce témoignage : Il se savait aimé. Et le
cercle des enfants et petits-enfants de notre cher Jean, décédé dans la même
clinique : nous t’aimons, chacun à l’appel
de son prénom, le disait, et le mourant acquiesçait et attestait. Attends
le Seigneur, Israël, maintenant et à jamais. C’est la tension de toute vie, de toute la création, en conscience ou
au tréfonds. Par nature et pour nous en liberté, tôt ou tard, maintenant et
à l’heure de notre mort. Amen.
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