dimanche 7 septembre 2014

quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux - textes du jour

Dimanche 7 Septembre 2014 Tour du cadran. Abandon de toute énergie, donc de toute volonté. A inquiéter ma chère femme et notre fille, mais expérience pour elles – peut-être, je le souhaite – de notre interdépendance et de notre solidarité pour vivre et pour « réussir », et pour moi, bien plus encore que cette sensation m’habitant depuis notre mariage et la naissance de notre fille, la réalité d’expérience que beaucoup dépend de moi, de mes forces, de ce qui m’est donné et du discernement lequel je l’applique. De force, que la prière pour la grâce et pour remercier de recevoir celle-ci. Toute dépression est une dictée de la mort, et celle-ci procède, comme au biologique, par la négation de la vie, c’est-à-dire de la continuité et de l’aboutissement de la vie. – Rentré de notre après-midi pourtant sitmulante (reprise du cours de claquttes pour notre fille, début de elcture de l’excellent livre de DUFLOT, glane chez Emmaüs dont un inédit possible de FM et un très beau texte de sa fille adultérine), déçu depuis la veille après une attente de trois semaines par la non-restauration que j’ai constatée de mon ordinateur à l’identique de sa présentation d’avant la panne ce qui va me forcer, sauf miracle qu’opèrerait une autre officine, à tout réapparendre comme l’amputé de la main droite ou l’hémiplégique ‘nayant plus que la gauche…, ahuri par une telle décrépitude du pays dans ses apparences politiques et économétriques, je me suis laissé aller : journaux et lit, sans espérance de faire efficacement mes immédiates rédactions et gestions, ni à terme de mener à bien les divers projets d’écriture et de posture, que j’ai en vue depuis des années, avec pour symbole la cabane commencée de notre fille, en « gestation », sol et pieux faits, une paroi aussi et le reste attendant depuis quatre ans… Estime de soi, espérance, quand ensemble, elles font défaut, nous allons mal. Prier… Encore une fois, je vous le dis : si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quelque chose, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux. Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. Sans doute, les commandements, le Décalogue, mais surtout le fondement des sacrements que nous nous administrons en Eglsie selon les exemples et pratiques évangéliques, les missions données aux siens par le Christ. Le « plusieurs » qui est en nous, les démons de l’évangile qui s’appellent et sont « légion », la conciliation et le remède, l’unité intérieure par la prière et l’espérance, par la fidélité une fois le discernement opéré et reçu. Plus encore l’unité, l’union entre nous, de rpoche à proche, et immédiatement. Autre façon de prier : aimer. Ces commandements et tous les autres se résument dans cette parole : tu aimeras ton prochain comme toi-même. L’amour ne fait rien de mal au prochain. … Aujourd’hui, écouterez-vous sa parole ? Nos devoirs mutuels d’accompagnement et de mise en garde (interprétation littérale mais abusive, parce que pas aimante : je fais de toi un guetteur pour la maison d’Israël) : si tu ne lui dis pas d’abandonner sa conduite mauvaise, lui, le méchant, mourra de son pécéhé, mais à toi, je demanderai compte de son sang. Pédagogie et psychologie : mourir de son péché, c’est-à-dire des conséquences de soi… tandis que l’ensemble de nos relations, de nos actions, notre vie au monde, notre « politique extérieure » sont jugés par Dieu, indépendamment de nos intentions ou de nos évaluations propres ou de celles d’autrui et de la société. Nous sommes le peuple qu’il conduit.

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