jeudi 25 septembre 2014

Jean, je l’ai fait décapiter, mais qui est cet homme dont j’entends tellement parler ? + textes du jour

Jeudi 25 Septembre 2014 Tout dort… Rattraper le temps perdu… depuis des années… quelle course et quelle immobilité. – Prier… Dieu a mis toute la durée du temps dans l’esprit de l’homme, et pourtant celuic-i est incapable d’embrasser l’œuvre que Dieu a faite du début jusu’à la fin. Une fois de plus, j’arrive à ce moment et aux textes proposés par l’Eglise, dans tel état d’âme et telles préoccupations et ce que le croyant – j’en suis un, grâce à Dieu, sait être la Parole divine, m’attend, me reçàoit, m’enveloppe et me console. D’œuvre que Dieu, mais de mobilisation que la nôtre, selon le mystère de notre liberté et la magnificence de Sa volonté . Qu’estce que l’homme pour que tu le connaisses, Seigneur, le fils d’un homme, pour que tu comptes avec lui ? Hervé … les luenttes, le regard, le visage émacié. Témoignage de nos amis des Hauts-Plateaux vietnamiens, et il y aura celui de ses compagnons algériens. Il doit recevoir le témoignage de nous tous. Simplement. La montagne… Je m’aperçois à cet instant que je me suis trompé d’office, tant pis. En prière, jamais « un coup d’avance ». Tu fais retourner l’homme à la poussière… Apprends-nous la vraie mesure de nos jours. Textes encore plus hallucinant de justese, de correspondance avec ce que nous vivons. Jean, je l’ai fait décapiter, mais qui est cet homme dont j’entends tellement parler ? Les martyrs mènent à Dieu. Ce que parfois un homme représente pour tous, une question, et finalement la réponse. Ce qui a existé, c’est cela qui existera. Ce qui s’est fait, c’est cela qui se fera. L’ésotérisme, parfois, de l’Ancien Testament, mais aussi de tous nos grands textes d’approche ou de révélation, le Coran, au nom duquel, prétendûment… Le discernement à nu parfois ne peut être que la prière. Voilà enfin du nouveau ! Non, cela existait déjà dans les siècles passés. Seulement, il ne reste pas de souvenir d’autrefois. De même, les événements futurs ne laisseront pas de souvenir d’eux. Horreur de la mort, lumière du sacrifice et du témoignage. Que nos cœurs pénètrent la sagesse. Reviens, Seigneur, pourquoi tarder ? … Que vienne sur nous la douceur du Seigneur notre Dieu ! Consolide pour nous l’ouvrage de nos mains. Rends-nous au destin que Tu as voulu pour nous tous, sans distinction de chemin ni d’appellation vers Toi et prends en premier, dans Tes bras, dans Ton cœur, Ton fils Hervé et les siens et ceux qui le pleurent et nous tous, en cette époque de brume et de sang, d’apparente régression où « processus de paix » (Palestine ou Ukraine ou ailleurs et partout) veut dire négation de la paix… Sans Toi, l’homme bafouille, avec Toi, tout a sens et d’abord le sacrifice subi, les heures d’avant… la certitude humaine d’une vie qui va être tranchée, ôdieusement, par la tête, mais dont il se fera une telle lumière.

Aucun commentaire: