lundi 15 septembre 2014

près de la croix de Jésus - textes du jour

Lundi 15 Septembre 2014 Grâce et univers d’hier. Pu après-dîner relire et beaucoup amender et compléter le projet de conclusions ultimes pour notre affaire contre le Lyonnais. Aboutissement de quatre-cinq ans d’ennuis et d’anxiétés, d’impuissance, tranchés en notre « faveur » ? Marguerite concluait elle de son côté, qu’elle ne pourrait donc jamais travailler au LCL. Je lui réponds que toutes les banques sont pareilles, même la nôtre ici. Je serai surpis d’ailleurs que finalement compte tenu de ce que nous voyons, vivons et entendons avec elel, de ce qu’elle dit vouloir et de ses dons manifestes, de sa granquillité et de sa spontanéité, d’une certaine vitesse des sentiments et de son indépendance de raisonnement qu’elle veuille « faire un métier » de gestion en bureaux. Transparence de toute une journée, brièveté de cette nuit mais douceur. Cet après-midi, mise au net de ce que j’ai réfléchi, en voiture, sur notre situation et nos conjonctres nationales, et sur l’état actuel du monde s’il faut le symboliser – ce que je crois – par ce troisième assassinat filmé et diffusé. – Puis ma rédaction périodique (depuis Novembre 2006) reprise : le mot de la fin ? Mars-Septembre 2014, observation et réflexion en politique et société. Prier…[1] surtout dans son expression, la théologie de saint Paul est ici difficile. Il est vrai que c’est le « nœud » du mystère décsif et rayonnant : humanité et divinité du Christ, tout autant l’une que l’autre. Le Fils de Dieu, conduit à sa perfection, comme s’Il n’était pas constamment, par nature, parfait ? et le chemin de cette perfection ? le dolorisme ? par les souffrances de sa Passion… dont la vertu pédagogique serait d’avori fait apprendre l’obéissance à Jésus ? Jésus, esclave des hommes pendant ce « triduum », soit ! mais de Son Père ? Bien qu’il soit le Fils, il a pourtant appris l’obéissance par les souffrances de sa Passion, et, ainsi conduit à sa perfection, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent, la cause du salut éternel. En revanche, le drame et la situation sont limpides, c’est toujours l’incarnation qui fait approcher de Dieu, comprebndre Son mystère et contempler son indicibilité. Près de la croix de Jésus se tenait sa mère… Le Christ, pendant sa vie mortelle, a présenté, avec un grand cri et dans les larmes, sa prière et sa supplication à Dieu qui pouvait le sauver de la mort. Et dans une telle détresse, mère et fils selon notre humanité, le Sauveur a pour dernier mouvement et dernières paroles, le testament qui conclut ; l’adoption mystique et le soin précis et concret. « Femme, voici ton fils »… « Voici ta mère ». Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. Au soir de la mort de Jésus, Marie commence d’habiter chez le disciple qu’il aimait, et au matin de Pâques, c’est chez Jean qu’elle s’éveillera humainement et c’est certainement de celui-ci qu’elle apprendra factuellement… Hier Plage Benoît à la Baule tout l’après-midi : Eva avec nous, du charme, une future beauté spéciale, les cheveux sont beaux, le corps sera vite attirant, mais elle n’a pas l’instant, la mobilité et la diversité, le primesaut de notre fille qui me passionneraient même si elle n’était pas ma fille… Tandis qu’Eva et Marguerite préparent des tableaux chorégraphiés : le duo infaillible…puis vont à la mer et en reviennent, la marée est très basse et nous n’avons apporté ni quilles ni boules, nous lisons chacun, Edith « le » livre qu’elle trouve intéressant, révélateur, justifié ; elle en a lu avec aisance les deux tiers, le « héros » est pis que cynique : constamment menteur, il n’est pas seul à être traité [2], et moi un roman philosophique [3], mais écrit en vécu d’une quinzaine d’heures, sans qu’un seul événement se produise sauf celui de la fin, qui d’ailleurs reste inachevé. Tout le mouvement est dans la notation d’une conscience de soi entre une mémoire subie et réanalysée, obsessive, et la façon de vivre, de survivre de minutes en minutes. Deux milieux, l’histoire de la shoah en fait et en personnages, le comportement physique apparent d’une jeune Parisiene de la nuit d’un samedi à l’apès-midi d’un dimanche, de la rue d’Hauteville à kl’hippodrome d’Auteuil via la rue acob. J’ai devant l’écran plat et silencieux de la plage peu achalandée aujourd’hui, et comme souvent antan, j’ai dialogué par écrit avec ce que m’apporte l’auteur, et cet après-midi, cela été beaucoup.… Paru en juin, je ne l’ai aheté que selon l’une des chroniques littéraires de France-Infos. vendredi. Gent bien plus quelconque et bien moins nombreuse que les semaines précédentes quand c’étaient encore les vacances. Pas d’adolescentes, quelques femmes jeunes mais aucune « beauté » véritabe, parfiois c’est bien pile, parfois de face, parfois de profil ou de sihouette jamais dans l’ensemble. Quant au charme ou à l’échange ? Depuis des années : coincidence avec notre mariage ? ou l’âge que j’ai subi, je n’ai plus la tentation d’une autre femme, ni en pensée, ni en fait, le « paysage » s’en ressent., alors que j’ai toujours joui du choc de la contemplation. De plus en plus, reconquérir le plaisir ensemble, et de ma fille ressentir la protection, sont mon état et ma perspective. – Des lieux de famille depuis quatre-vingt ans, de nos vacances depuis soixante ans, où je viens maintenant sans résider et avec qui je n’aurais imaginé ou espéré vivre ni qu’elles/ils existassent jamais, mais les « clubs » sont là en été, l’école de voile à la Pointe du Pouliguen aussi, sans doute les immeubles le long du « remblai » ont chassé les villas, le goudron le sable mais un peu d’arbres revient, les balises et les îlots en ligne d’horizon n’ont pas changé. J’avais dix ans, vingt ans, je ne « savais » rien. Les vacances était alors un temps extra-ordinaire et conféraient à tout de la lumière inhabituelle : nous ne savions pas ce qu’est la beauté, en aucun genre, les émotions étaient au premier degré, rien ne s’élucidait et rien ne commençait, l’amour encore moins. Du moins, dans ce que je vivais, côte à côte…. On partageaii des situations, celle d’une génération, nos aspirations et croyances aussi, des projets surtout, mais pas nos solitudes. Celles-ci à entendre mes camarades de collège, étaient supportables et naturelles. -------------------------------------------------------------------------------- [1] - lettre aux Hébreux V 7à 9 ; psaume XXXI ; évangile selon saint Jean XIX 25 à 27 [2] - Valérie Trieweiler, Merci pour cet instant (Les Arènes . Septembre 2014 . 319 pages) [3] - Frederika Amalia Finkelstein, L’ouibli (L’Arpenteur Gallimard . Juin 2014 . 173 pages )

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