mardi 23 août 2016

vous avez négligé ce qui est le plus important dans la loi : la justice, la miséricorde et la fidélité - textes du jour

Mardi 23 Août 2016


Le néant… les « livres » des deux candidats de 2012. Commentaire d’un des « féaux » de NS sur son tout pour la France ? des propositions qui « décoiffent » : lesquelles ? interdire les regroupements familiaux, décidés par VGE il y a quarante ans. Quant à ce que je lis ou entends dire du livre d’entretiens privés avec le président »… je n’ai pas eu de bol avec le chômage. Et chacun de ressasser : je… je… la personne qui m’a « élevé » et aussi, mais de façon moins imprégnante,  mes sept frères et sœurs cadets, homonyme de mon prénom, épouse d’un Cévenol protestant, Madame BERTRAND, née à Confolens, un français et un accent merveilleux. Elle rappelait que le roi dit : nous voulons, et non pas : je veux. Editer la compilation de mes messages à l’Elysée depuis 2007, le titre m’en vient maintenant : ce qu’il pouvait faire (NS, puis FH – mais ce n’eût pas été la même chose, circonstances et personnalités, car ces deux présidents, il me semblait en écrivant chacun de mes messages, les appeler au meilleur de leur personnalité, de leur psychologie et du patrimoine de leur famille politique s’ils s’en reconnaissent chacun une…), ce qu’il pouvait faire et n’a pas fait … et donc ne fera pas, mais ce suffixe n’aura sans doute pas lieu d’être. Le temps que paraissent mes deux livres de « contes », les candidatures auront été décidées. Je crois non seulement que Marine ne sera pas au second tour, mais ni l’un ni l’autre des duettistes n’ira au premier. Quoique je ne les aime pas, et qu’ils ont été contaminé par la vieillesse des thèmes et des comportements de leurs chefs respectifs : LEMAIRE et MACRON seraient intéressant à regarder débattre. On avancerait vers un consensus, sans doute médiocre, mais on quitterait le simplisme. – Une candidature, des primaires… nous ne sommes pas sur le bon chemin. Une élection ratifie un existant ou le refuse et force à chercher tout autre chose (le quorum de participation pour la validité de tout scrutin affectant une collectivité publique, à commencer par celle qui nous est, seule, commune en France : la communauté nationale). Au contraire, les services rendus, la grâce de Dieu, du passé déjà pour répondre de l’avenir, même si ce doit finalement être une erreur ou un désastre ou un chantier qui ne sera pas achevé… Jeanne d’Arc, plus près de nous les BONAPARTE, le second (3ème du nom pour régner) devant évidemment tout au premier, CLEMENCEAU, PMF et l’homme du 18-Juin en 1958… et son modèle de chef : son colonel, plus tard le vainqueur de Verdun, à qui est originellement dédié le fil de l’épée. A remarquer que celles ou ceux qui s’imposent, n’ont personne pour leur mettre le pied à l’étrier.
Lire de l’inédit, lire quelqu’un d’anonyme, même déjà compagne ou compagnon de vue, de prière, voire de conférence, mais que je n’ai pas lu, pas encore… et l’initiation, chaque fois première, entrer, sans caution ni recommandation de tiers dans un texte. Et hier je suis entré dans une vie, dans les aspects divers de l’amour que procure une vie à celle qui écoute, voit, entend, rédige son journal, se prêt à des culpabilités, laisse sa mémoire tantôt tranquille, tantôt en éveil. Ce manuscrit sur le fond m’apprend quelque chose de totalement oublié dans le débat sur l’Algérie française : entre les musulmans et les Européens, dits les pieds-noirs, il pouvait y avoir un tiers décisif, qui aurait donné de la quille à cette embarcation magnifique et qui aurait justifié l'amarrage, non la fusion, avec la métropole, une nouvelle vague démographique, pas très nombreuse, mais très technique, toute neuve à l’Algérie, les fonctionnaires, les militaires s’établissant là comme les légionnaires sur le limes, des passionnés, eux aussi pour cette terre, mais d’une culture exogène et refaisant de l’humus, de l’humus pouvant être vraiment partagé. L’autre élément, très neuf et très nécessaire, qu’apporte le livre de mon amie : le dialogue avec l’Islam, non en théorie, mais en amitiés humaines. Evidemment, pour le moment vingt-cinq pages lues d’un texte actuellement fort de pas cinquante, mais dont j’espère qu’il triplera et sera l’an prochain aux divers concours littéraires, un récit d’amour qui continue : ma chère femme les rencontrant avec moi, en couple, près de la plage où nous allons en trinité, et le long de laquelle à l’emplacement d’un ancien ermitage ils ont une maison de vacances, les avait trouvé beaux et très assortis. Le texte m’apprend enfin que la balise marquant la baie à Bétahon, porte le nom de l’ermite. Bertrand… ce ne pouvait donc être autrement.
Prier d’action de grâces et de demande de la paix…tandis que notre fille dort encore (tout à l’heure accro-branche, puis cet après-midi voile) et que ma chère femme est partie enseigner deux jeunes sœurs, début de collège et début de lycée. Que notre Seigneur Jésus Christ lui-même, et Dieu notre Père qui nous a aimés et nous a pour toujours donné réconfort et bonne espérance par sa grâce, réconfortent vos cœurs et les affermissent en tout ce que vous pouvez faire et dire de bien. Paul a ceci d’incomparable qu’il est total, qu’il est complet : Juifs, pharisien sans doute au possible… citoyen romain… apôtre des Gentils… tout en culture, mais aussi en spiritualité, en théologie, et en affectivité, en sens de la famille, de l’adoption, en compréhension et en empathie avec toutes les cultures et toutes les situations. Paul, le géant des protestants, et celui qui fit se convertir ou tout comme mon éminent ami, juriste soviétique, et ministre de la Justice dans la République du Kazakhstan. Les relations entre celle-ci et le Vatican, c’est lui. C’est Paul de Tarse et de Damas. Tenez bon et gardez ferme les traditions que nous avons enseignées, soit de vive voix, soit par lettre. [1] Et c’est le Christ s’adressant au coreligionnaire-type de son Apôtre, qui tente de l’enseigner : vous purifiez l’extérieur de la coupe et de l’assiette, mais l’intérieur est rempli de cupidité et d’intempérance ! Pharisien aveugle, purifie d’abord l’intérieur de la coupe, afin que l’extérieur aussi devienne pur…. Vous avez négligé ce qui est le plus important dans la loi : la justice, la miséricorde et la fidélité.


[1] - 2ème lettre de Paul aux Thessaloniciens II 1 à 17 passim ; psaume XLVI ; évangile selon saint Matthieu XXIII 23 à 26

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