samedi 5 mars 2022

tu restaureras les fondations séculaires... je te ferai chevaucher sur les hauteurs du pays - textes du jour

 Samedi 5 Mars 2022

vous avez la vie éternelle . 7 Janvier 2022

sur Dieu, je prends appui, plus rien ne me fait peur . 20 Janvier 2022

son amour envers moi s'est montré le le plus fort . 25 Janvier 2022

dernières diffusions de ce courriel-partage que je souhaite - vraiment - redevenir quotidien. Grâce surtout à vos "accusés de réception", plus encore vos critiques, suggestions et compléments. Je vous donne ce que j'ai écrit depuis le 25 Janvier, mais n'achevant pas ou emprisonné de fatigue par l'emprise, pas encore desserrée, des séquelles du corona virus, je ne vous l'ai pas adressé aussitôt.


07 heures 43 + Comme hier matin, action de grâce : le masque anti-apnée m’a donné une nuit sans éveil et un réveil à l’heure que je m’étais donnée, six heures et demi, pour le lever de mes aimées : « portes ouvertes » au lycée Chateaubriand à Rennes. Parcours-Sup. ingénieux et égalitaire en soi, émancipant même les bacheliers des suggestions ou souhaits de leurs parents mais fondant tout sur le contrôle continu et sa pression de chaque semaine. Et c’est l’ambiance d’un établissement qui prime. Saint-François-Xavier excellent jusqu’à présent, me semble maintenant pousser notre fille à la sous-estimation d’elle-même et à la timidité. Lui faire faire ses lettres de motivation et écrire de mon côté à Louis-le-Grand et Henri-IV. Les deux lycées historiques et phares de Paris sont si réputés que selon les statistiques, ils sont parmi les moins demandés puisque les demander, c’est la certitude d’y être refusé.

Délicatesse de Bayard m‘ayant ré-adressé sur demande le fascicule de ce mois, que je ne retrouvais pas : égaré par ma faute ? ou par la poste ?

Prier… je te ferai chevaucher sur les hauteurs du pays… Ecoute, Seigneur, réponds-moi, car je suis pauvre et malheureux… toi que j’appelle chaque jour… Ver toi, j’élève mon âme ! Toi qui es bon et qui pardonne. 1 L’enseignement d’Isaïe et le chemin de la promesse : si tu donnes à celui qui a faim ce que toi, tu désires, et si tu combles le désir du malheureux, ta lumière se lèvera dans les ténèbres et ton obscurité sera lumière de midi. Le Seigneur sera toujours ton guide… L’appel de Lévi, pour nous Matthieu, l’évangéliste… Jésus sortit et remarqua un publicain, c’est à dire un collecteur d’impôts, du nom de Lévi assis au bureau des impôts, il lui dit : « Suis-moi ». Abandonnant tout, l’homme se leva ; et il le suivait. Une vocation qui n’est pas un cheminement intérieur, souvent débattu – ce que j’ai moi-même vécu et qui a structuré toute mon adolescence – mais l’appel pur et simple : celui de Lévi 2. Et la réponse automatique avec le dénuement (évangélique) qui va avec. Automaticité des pêcheurs au bord du lac. Repas d’honneur, comme celui offert par Zachée à Jésus. Répétition par le Christ de ce qu’est et sera Sa chalandise : les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes mais des pécheurs pour qu’ils se convertissent. Et aussi Ses adversaires et détracteurs, pour des raisons rituelles. Le repas-communion, rite essentiel des chrétiens, les évangiles sont pour beaucoup de leur scénographie des aventures, des paraboles, des scènes de table et de banquet. - Qualité de wikipédia : j’y vérifie Lévi et Zachée, et reçois en sus les hypothèses les plus à jour sur l’historiographie de la confection des Evangiles. Le dialogue, impérativement nécessaire à vivre entre chrétiens et musulmans, ne doit pas seulement être la commune attitude de prière et de relation à Dieu, mais bien de creuser l’histoire de l’écriture des Livres saints de chacun, et ensuite cheminer pour la paix dans le monde et la possibilités d’échanges en tous genres, la puissance publique me semble ne pouvoir faire plus que ce à quoi elle s’emploie, surtout en limitant et en se méfiant… l’âme du monde, la rencontre avec les religions et morales d’au-delà de l’Indus, et déchiffrer les êtres nationaux sinon nationalistes selon ces références implicites : la Chine et Confucius. Evidence des racines chrétiennes de l’Europe, encore plus que les diversités ethniques : à la lumière sanglante des incendies allumés par POUTINE en Ukraine, pas tant pour border mieux ses frontières que pour disposer entièrement de la Mer Noire et bientôt des Détroits. La rivalité ERDOGAN-POUTINE est ancestrale et stratégique, même si aujourd’hui les deux semblent les « diables » de l’Europe. Le Turc est en mauvaise posture électorale et le scrutin est proche, mais, membre de l’O.T.A.N. il a fermé les détroits aux navires non immatriculés en mer Noire. Les demandes d’adhésion à l’Union : la Moldavie et la Géorgie sont l’exacte réponse en géo-stratégie, ces deux pays font la même démarche de nous choisir que les immigrants du Proche-Orient, d’Afghanistan, d’Afrique orientale. Sommes-nous conscients de l’honneur qui nous est fait, et donc nous oblige.

De la prière – synthèse de la vie, puise-t-elle être la synthèse et l’unité de mon existence finissante (Marguerite, tandis que mes aimées roulent vers Rennes et la matinée « portes ouvertes » d’une des « prépas » envisagées, me téléphone la recommandation de sa mère, ma décisive épouse : ne te disperse pas...) – de la prière à la synthèse de ce que nous avons vécu ces semaines-ci, et probablement continuer de vivre encore.

10 heures 04 + Les arbres en hiver, le long de nos routes : pas de pectinés, alors que j’en ai plantés chez nous, dès mon arrivée ici (1993). Ils sont dénudés, de fins plombs de vitrail, merveilles au soleil couchant, vie intense de présence et d’attente. Devant mes yeux, le clavier, l’écran, les bronzes de FALTERMEIER, les portraits de ma mère, du colonel BELTRAM et le dessin-anniversaire que m’offrit aussitôt ma future femme. Tu t’es tellement trompé dans ta vie, Bertrand. Elle évoque de vraies erreurs, et aussi mes diagnostics politiques manqués (NS ne finirait pas son mandat et ainsi de suite), mais je ne me suis pas trompé en la recevant pour la seule femme que j’ai épousée, et à jamais. Plus loin nos arbres à travers prés, le vieux où viennent en rendez-vous des oiseaux, le talus aux palmiers, les cèdres, puis les hêtres, les pins, les chênes. Au lin à ma droite, le Penerf et le mouvement des mariées de la ria. Sous ma table et sur le fauteuil devant moi, mais donc invisibles : Fonzy et Lupa, nos chiens. Tina reviendra mardi, incompatibilité de deux femmes. Lupa, emmenée la semaine prochaine par Edith à Strasbour : en garde mutuelle de mon beau-frère, la seule solution pratique après le sauvetage de la jeune croisée pitt-bull. Je travaille ainsi, je dois travailler, le temps presse : mes forces à chaque minute peuvent me manquer, ont-elles jamais été miennes : prêt de la vie, prêt de Dieu, et dans un mois à quelques jours près, j’entrerai dans ma 80ème année. Ni livre marquant, donc pas d’éditeur, ni reconquête d’une position médiatique, ces vingt-sept ans, depuis mon rappel du Kazakhstan (affectation qui aura été la chance la plus insigne de ma vie professionnelle : l’implosion soviétique, témoignage à rendre aussi nécessaire que celui de l’emprise du corona virus, que j’entreprends de mettre au net, incessamment maintenant). Ma tentative d’entrer dans la campagne présidentielle officielles selon les médias, pour dire ce qui me paraît nous manquer nationalement et pour l’Europe, en instruments... a été encore plus vaine que les précédentes : ma fatigue, cette fatigue qui m’est infligée et est devenue mienne, et mystérieusement les pannes à répétition d’orange, comme si elles avaient été ciblées. Je vois maintenant comment être et faire, et les correspondances internet que j’ai à peine ébauchées cette année, mais j’en écrit de vraies, je vais les continuer, car nous entrons dans des temps formateurs.

Vie nationale : ces trois mois ont confirmé la disparition des partis, déjà constatée par EM en 2017, mais ce pouvait être alors la faute de FH ne se représentant pas « à tout prix » c’est-à-dire au risque de ne pas être réélu, et surtout le fait de la chute imprévisible de FILLON. Cette fois, leurs réseaux persistent au même titre que celui créé par le charisme d’Arlette LAGUILLER (Nathalie ARTHAUD) mais les parrainages qui les signifient, ne correspondent pas à l’opinion. Ils ne forment plus la pensée générale, ils ne génèrent plus de champions. A vrai dire, les partis sous la Vème République n’ont pas fait les candidats, ils ont été faits par les candidats (VGE, JC, NS). Nous allons voir si celui esquissé par EM, mais qui a collectionné les revers électoraux, va exister vraiment à présent. Seul événement, l’arrivée d’Eric ZEMMOUR sans signification, je crois, sur l’échiquier sinon qu’elle a montré les orientations de fond (ralliements de « personnalités » ou mimétisme de Valérie PECRESSE) de ce qui s’appelle depuis peu les Républicains… appellation qu’il eût fallu ne pas permettre (article de Jean-Noël JEANNENEY dans le Figaro). Un quinquennat d’apparence, de trouvailles prétendues démocratique : grand débat national, conférence citoyenne sur le climat, mais impuissance pour la réforme des retraites si celle-ci est nécessaire, combien de fois le sujet a-t-il été « sur e devant de la scène » depuis 1997 avec à la clé le sauvetage des régimes… certes, les deux empêchements, les « gilets jaunes », la pandémie. Mais le plus pur produit des défauts attribués à l’E.N.A. la supprime pour la raison vraie que c’est son portrait, car les énarques sont concurrentiels et pas en réseaux, la culture du service public et de l’État est leur structure morale et c’est celle du pays. Le recrutement par concours avec en sus des filières par concours internes produisent que la majorité des élèves ne sont pas dotés ni de fortune, ni d’hérédité. EM n’a pas vu les novations structurelles à opérer pour l’Europe (élection directe du président ou de la présidente de l’Union) et pour la vie nationale, mettre fin à ce « figisme » quinquennal en rétablissant le septennat, sans limiter le nombre des mandats. Cette limite imaginée par BALLADUR et acceptée par NS va peser sur l’élu de Mai prochain : on sera en guerres de succession et en fin de règne en pas trois ans, et toujours sans contrôle parlementaire. L’entrée en lice d’EM a été dédaigneuse pour les autres candidats à la peine et de peu de financements (sauf MELENCHON mystérieusement... JLM pour la suite) : je suis d’une autre race par fonction, c’est le discours implicite. La lettre aux Français (le titre emprunte à l’excellent opuscule, format 21x27 de FM en 1988) pose, dans sa version EM deux questions : l’en-tête, « le président de la République française », telle que montrée à la télévision au-dessus de l’adresse manuscrite, est un recel. Ce n’est pas le Président mais un candidat qui écrit, et les journaux dits de province et ainsi gratifiés, vont-ils ouvrir aux même prix et pour le même espace leurs colonnes aux autres candidats. Les propos de tous, EM compris, sont archi-connus. La vérité est qu’une élection présidentielle est le choix d’une personne, à tort ou à raison, mais pas d’un programme, encore moins de la variété ou de la nouveauté ou du clacissisme de la carte sur laquelle commander... Hors EM et très lointainement JLM (la formation professionnelle à mi-course du gouvernement quinquennal de Lionel JOSPIN (plus loin LJ), et Valérie PECRESSE, très contestée à l’Education nationale, et ayant (imprévisiblement ?) fait fiasco en agora, aucun autre des candidats homologués n’a d’expérience gouvernementale. Je déplore que Christiane TAUBIRA ne soit pas candidate : apport aux mœurs et à la société, à une certaine légitimation d’orientation et d’aspirations (« le mariage pour tous ») aussi important que celui, il y a près de cinquante ans, de Simone VEIL. Refus obstiné des gauches et de se rassembler et de la reconnaître comme leur meilleure version aujourd’hui pour la France : notre rayonnement national, la richesses de nos mixités selon nos Outre-Mers. Dans la dernière version de mes recherches de parrainages, j’ai sollicité qu’elle soit appuyée et parrainée par des maires autant que par des députés. Avec Marguerite, dimanche dernier, à la « maison du peuple » de Rennes, ce qui fut sa dernière réunion publique : excellente avec deux développements sur le sens de la diversité dans nos Outre-Mers, et sur l’apport des handicapés à notre psychologie nationale.

L’Ukraine est la gloire et la preuve d’une Union européenne qui n’est plus aimée des siens depuis bien avant Maastricht (1992). Ce pays dont l’histoire est millénaire et engendra la Russie, en a été distinct à ses propres origines nationales ui cultivaient des assemblages bien différents de la Baltique à la Mer Noire. L’adhésion à l’Union, débattue au sommet de Bucarest, il y a quinze ans, reconstituera les géographies médiévales. L’agression russe a été permise par notre absence de réaction aux annexions de la Crimée et quasiment des Républiques auto-proclamées du Donbass et du Donetz :les sanctions d’aujourd’hui, vraiment sérieuses, décidées à l’époque, auraient probablement fait éviter le drame d’aujourd’hui. La reconstruction de l’Ukraine sera la grande tache commune de l’Union européenne et des Etats-Unis : nous réalisons que c’était pour l’URSS le principal parc de centrales nucléaires et de réserves houillères. A un premier retour du Kazahstan via Moscou à l’automne de 1992, juste au contrôle des passeports, à l’époque un peu angoissé, il me fut glissé anonymement dans ma serviette une grosse enveloppe de photos à passer évidemment l’Ouest : la flotte de la Mer Noire, imposante s’il en était. L’attaque par POUTINE n’a pas été, je crois, tellement préméditée. Il y des circonstances intérieures que nous ne connaissons pas et surtout un état de santé personnelle : les fameux vingt mètres de distance entre le dictateur et toute personne signifie une très grave vulnérabilité au virus, le visage de plus en plus bouffi me paraît (d’expérience personnelle) l’effet de la cortisone (cf. Georges POMPIDOU). Je ne crois pas qu’aucun militaire ex-soviétique n’exécutera un ordre de feu nucléaire. La fin va donc venir d’une conjuration intérieure. La démocratie latente dans les esprits en Russie s’éveille décisivement. Coïncidence de plus : le seul essai de démocrate sous les Tzars fut celui de STOLYPINE, Ukrainien, je fis pélerinage sur sa tombe, à Kiev, juste après avoir pris mes fonctions à Almaty. Mon ordinateur dans ma valise laissée en consigne, fut comme de mise violé mais il ne contenait et n’a jamais contenu aucun chiffre diplomatique.

17 heures 56 + Aucune évolution ni en Ukraine ni en concours pour l’Elysée. Ce va être une non-campagne : les spectacles seront du côté d’EM, sans coût de campagne : le conseil européen, deux jours à Versailles, comme ses invitations en début de règne. Contexte de non-bilan pour nos équipements et personnels hospitaliers, probabilité de la réforme des retraites par ordonnance. Mensonges par omissions. Le goût des intitulés, des procédures « participatives », inventées ad hoc, mais l’imagination reste toujours courte et n’est pas prospective. POUTINE, nous donnant chaque jour sa bande dessinée et ses imaginations, sans compte-rendu ni communiqué de l’actualité sur le terrain qu’il dévaste mais chichement comme si l’armée russe, dans sa formation engagée, était très inférieure à la réputation qui lui est faite (souvenir pour moi en 1986 de l’Armée rouge ne parvenant pas à réduire un soulèvement à Bakou…), menace de considérer les sanctions contre lui et les aides à ses victimes comme une co-belligérance, sous-entendu la riposte nucléaire. Je ne crois pas du tout à cette menace, mais il apparaît que s’il devait y avoir une négociation « au bord du gouffre », BIDEN n’est pas KENNEDY. Ce dernier, il est vrai, décisivement soutenu par son cadet, Bob. Seul me paraît de bon poids le jeune secrétaire d’État.FM disait à juste titre : « la dissuasion française, c’est moi ! » EM rend, dans la situation psychologique actuelle, un service certain : il est celui qu’appelle POUTINE, et c’est fréquent. Neuf fois depuis les cinq heures d’il y a quinze jours. Calino-thérapie que rechercherait un homme en perte de repères et d’issues ? Je ne crois pas non plus à un coup de main sur la Lettonie, gratifiée d’une minorité russe de quelques 20 % et maladroitement privée localement des droits civiques nationaux. - La Chine… Taïwan : le moment ? Aucun texte ne protège, à la connaissance du public, dont moi, l’île : population de vingt millions de personnes, trois de plus qu’à Hong-Kong. Cette guerre d’Ukraine la protège sans doute. Nous révisons aussi notre géographie et les démographies : étonnement que la population de la Fédération de Russie ne soit que de 120 millions de personnes. Quant à ce qui nous faisait défendre de la Russie et réciproquement, ce n’est pas la leçon de mondialisme que nous administre la Chine, mais le signe qu’une imbrication et des intérêts communs sont vraiment possibles : l’avenir est là. Moyennant un donnant-donnant mettant fin au conflit. Ce que j’ai formulé à EM a-t-il cours en ce moment-ci ? Les acquis russes en 2015 reconnus par l’Ukraine, les Etats-Unis, l’Union européenne, mais « en échange », l’Ukraine est admise dans l’Union européenne et dans l’Alliance atlantique. Je vais l’écrire à POUTINE, aux bons soins de son ambassadeur à Paris. Déjà en 1988, avec l’accord de Jean-Louis BIANCO (secrétaire général de FM), j’avais écrit, par le même canal, à GORBATCHEV : ce qu’il menait et incarner devenait de bénéfice universel, le socialisme compatible enfin avec les droits de l’homme et la démocratie, donc le chemin ouvert à la fin des blocs et des méfiances. Ce fut reçu et compta, ai-je lu ensuite dans le premier des livres d’Andreï GRATCHEV. Ecrire avec celui-ci, ensemble, sur le grand arrangement européen de l’Atlantique à l’Oural : modalités, initiatives, etc. Ce serait bien et utile.

1- Isaïe LVIII 9 à 14 ; psaume LXXXVI ; évangile selon saint Luc XXVII à 32

2- sous Louis-Philippe, le colonel du régiment stationné à Carcassonne épouse la cantinière, née Lévi, ma trisaïeule. Référence qui me fait entendre en 1996, à la Sorbonne, quand j’essaye d’expliquer l’Abbé Pierre, soutenant alors sans discernement et sur recommandation d’un tiers (un Dominicain), mais par amitié ancienne entre parlementaires de la fin des années 1940 et du début des années 1959, Roger GARAUDY. Ce personnage intense qui fait dissidence du bureau politique du Parti communiste français lors du second coup de Prague, l’été de 1968, et bien plus tard se convertir à l’Islam et nie les chambres à gaz...


 

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