lundi 6 décembre 2021

nous avons vu des choses extraordinaires aujourd’hui - textes pour aujourd'hui

 


lundi 6 Décembre 2021

07 heures 17 + Mes aimées parties à l’instant. Eveillé avant cinq heures, pour réveiller vers sept heures moins le quart ma femme chérie, son souffle dans l’obscurité que j’entends si proche de moi, son visage tourné vers moi. L’amour et la vie me donnent chaque aube, ce signe décisif. - Faire effort pour ma figure dans l’âme et la mémoire de notre fille. Je ne peux rien à mon manque d’allant, à cette diminution d’élan, de tonus, mais mon dire, les plaintes que cette sensation et ce constat de fatiguent, toute la première partie de la journée hier, par exemple, me font répéter. Le vieillard par oral, sans l’explication par le lit du malade. L’égocentrisme, qui m’est reproché, les points de vue qui ne seraient que les miens dans les détails infimes mais physiques de notre vie à trois, en trinité. - Rêve de cette nuit, une fois encore, non mémorisé, mais jamais perturbant.

08 heures 01 + Recherché le texte de l’exhortation du pape François, hier soir. Pas encore sur le site du Vatican. Cri… discours cinglant, selon Le Monde. Texte pas encore disponible. Notre trésor, en classe à présente et ma chère femme, à attendre son heure pour le cours qu’elle donne aux « électriciens » à Guéhenno. Et voici le jour, nuances de gris et d’orange sur très peu d’horizon. Correspondance avec Vincent : sa caricature de la politique 1, importée d’un circulation sans origine, son vote et puis Noël à Milan.

Lectio divina 2: nous avons vu des choses extraordinaires aujourd’hui. La guérison du paralytique, descendu aux pieds de Jésus, par le toit de la maison où Il enseigne. Notation singulière sur l’humanité du Christ, distincte de Sa divinité : la puissance du Seigneur était à l’oeuvre pour lui faire opérer des guérisons. C’est le point de vue de la foule. Il y avait dans l’assistance des pharisiens et des docteurs de la Loi, venus de tous les villages de Galilée et de Judée, ainsi que de Jérusalem. C’est le « grand oral ». Qui est-il celui-l ? Il dit des blasphèmes!Qui donc pet pardonner les péchés, sinon Dieu seul ? Jésus commente pour Ses ennemis le miracle qu’Il opère : Qu’est-ce qui est le plus facile ? Dire : « tes péchés sont pardonnés » ou dire : « Lève-toi et marche » ?… Afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a autorité sur la terre pour pardonner les péché… je te le dis, lève-toi, prends ta civière et retourne chez toi… Tous furent saisis de stupeur. Commentaire anticipé d’Isaïe : on verra la gloire du Seigneur, la splendeur de notre Dieu. Le monde change, les guérisons sont générales, universelles. Un univers nouveau. Alors se dessilleront les yeux des aveugles et s’ouvriront les oreilles des sourds. Alors le boiteux bondira comme un cerf, et la bouche du muet criera de joie… Et tout se transforme, plus qu’un tableau, bien plus qu’une animation, une véritable novation de la vie remise de ses blessures. Et toujours le retour à Sion, l’un des points de ma lettre en gestation mentale au Saint-Père, son installation à Jérusalem, le retour aux sources après deux millénaires d’un choix politique et stratégique : Rome. Discours à Hébron, au tombeau des Patriarches que vient de prononcer le tombeur de NETTANYHAOU pour l’Hanouka : les patriarches ancêtres spirituels des chrétiens et des musulmans autant que des Juifs- Pas de vie spirituelle, de vie de l’âme, de ré-équilibre de notre intelligence, de notre perception quotidienne du monde où notre existence physique nous fait marcher, sans lecture des textes, de la Bible, selon le rythme trouvé par l’Eglise. L’Eglise c’est nous de siècle en siècle, à travers tous les pays et toutes les histoires nationales, locales mais concrètes vraies, comme l’encadrement de la toile. Pathétique, mon cher Lucien D. Hier, mais si juste : je lis très peu, mais ce soir, je noterai que j’ai parlé avec Bertrand. De quoi ? La confusion, l’angoisse de notre ensemble, et le doute de la foi. Si l’éternité, je la vis sans mes enfants, je ne la veux pas, mais ils ne baptisent plus leurs propres enfants. Je l’avais assuré que toutes nos affections seront avec nous – résurrection de la chair – pour l’aboutissement de notre vie en Dieu, par Son Fils ressuscité : la vie éternelle. Personnalité et vérité de « mon » maire quand j’arrivai ici, il y a près de vingt-sept ans et qu’il me donna son parrainage pour l’élection présidentielle de 1995.

Le jour se lève comme s’étend une couleur, douce mais impérieuse, en aquarelle, la bande orange derrière les arbres de mon horizon n’a pas épaissi, n’a pas gagné, mais le fumet d’un gros d’abord sombre et presque bleu, est en train de refaire le ciel, de lui donner clarté et bientôt viennent, doucement, s’installer en relief de futurs nuages.

08 heures 52 + Tout s’est « joué » irrépressiblement, en silence, e silence d’un petit quart d’heure, pour que réapparaisse le ciel. Ce n’est pas principalement le lever du soleil, ni celui du jour, mais celui du ciel regagnant tout l’espace. Le vieil arbre, notre vieil arbre, deux pigeons. Depuis plus de quinze jours, je suis – par ma faute – sans appareil-photo : à avoir forcé, sans réflexion, la carte mémoire, alors qu’une autre, identique en tut, était à portée de ma main, j’ai détruit le petit engin. Si j’ai la force et le temps de mon autobiographie je commencerai par mes erreurs, presque toutes tr-s matérielles.

La grâce que me donnait hier encore, même pendant la messe que je faillis quitter... la conscience de ma faiblesse, de ma fatigue, d’une forme d’amputation de moi-même depuis ma sortie d’hôpital – dix-sept mois bientôt – c’est de vivre et comprendre que la santé est un miracle, un don. Le fruit de la solidarité et des progrès accomplis et vécus par l‘humanité, mais avec ce souffle innommé pour les « non-croyants », ce souffle de l’Esprit. Pour l’instant, la fatigue n’est pas revenue, répit. Ces chameaux, du côté de Boumdeid, leur désaltèrement bruyant, les corps immobiles, jambes écartées, cou si long tendu vers l’eau, et le goûlument qui dure si longtemps.

Des visages hier soir (télévision), ce policier irakien, kurde pleurant les siens, qui ont fait partie de ce naufrage dans la Manche, quatre enfants et sa femme, leur maison vendue pour payer le voyage. Une dernière communication avant un second embarquement, le premier un peu plus tôt avait foiré (moteur cassé), les siens lui avaient demandé de prier pour eux. Il pleure, il les veut, silence de la sculpture secouée d’un visage d’un homme qui pleure. Visage de ce Javanais, pleurant, hurlant, semi-porté par un homme pas plus vieux que lui, décor gris uniformément, ciel, sol, ruines des maisons. Visage de cette jeune actrice, Laure CALAMY, présentée par Laurent DELAHOUSSE, dialogue avec une sociologue de même génération, fondatrice d’un périodique Franc-Tireur et appelant à la réflexion, à la synthèse : Caroline FOUREST. La détresse et l’intelligence ne passent pas, invitation forte. A laquelle répond le Pape de nouveau à Lesbos, comme en début de pontificat. Le visage ressemblant un peu à celui de Jean XXIII. Le cri, le rappel, l’exhortation devrait inspirer notre moment électoral. Le coeur et l’intelligence. Au lieu de cela, l’unanimité des cinq candidats à l’investiture LR convaincu de répondre, pas à la réalité, mais à l’opinion qu’ils supposent, tous les cinq, de leurs électeurs, la pire idée de la France, sa représentation la plus mensongère, cette unanimité : le mur contre l’immigration, financer les Polonais pour leur mur. Le thème qui a sans doute pris le plus de temps à chacune des trois comparutions télévisées, ensemble, les Dalton devenus cinq…. Aucune analyse de notre situation nationale, de la totale perte d’Europe puisqu’elle a été anéantie dans les esprits, ces dix dernières années par le manque d’âme des dirigeants. L’intelligence déduit, le coeur imagine et réalise 3. Le pape François : l’immigration, l’écologie, les deux impératifs pour notre humanité au point où elle en est, le point du vivant. Querida Amazonia, le cri à Lesbos.

Cher nous : aucune référence à l’évidente interrogation qui devrait dominer chacune des campagnes : le bilan de ce quinquennat, la mise en accusation d’une personnalité, réputée novatrice et intelligente, sans aucune justificatif cependant, une personnalité née et « formatée » pour le théâtre (la liaison dès ses quinze ans avec son enseignante devenue (en théorie?) sa femme, un président sortant, excellent organisateur et présentateur de spectacles. La signature de l’ordonnance sur le travail : bureau présidentiel, ministres de chaque côté de l’impétrant, le papier sur la table, solennité. Visite nocturne de l’Elysée avec Lurent DELAHOUSSE, déjà couronné, l’Elysée sans personne que les deux acteurs faisant vœux aux Français. Les larmes devant un rescapé du Bataclan. La larme quand s’avance sur le char Bi-Hakeim, le cercueil d’Hubert GERMAIN, appelé à entrer et reposer, dernier en chronologie des Compagnons de la Libération, gisant au Mont-Valérien là où tant furent mis à terre. La présentation mussolinienne devant le président croate, le défilé de lui et du premier saoudien, devant une file courtisane et heureuse, après la signature du contrat des Rafale, la même file que celle passée en revue par Xi, il y a quelques années (documentaire de base sur ses projets et sur sa gloire, de fils ayant compris la disgrâce de son père, important dirigeant) et où figurait un de nos anciens Premiers Ministres, confondu devant cet honneur parmi des dizaines, des centaines d’autres adorateurs. Le « coming out » à forcément supposer quand apparut BENALLAH. La réponse civique, chaque fois, des Français : expression calme des « gilets jaunes », avant la pollution du mouvement partout ponctuel et sympathique dans le pays, qu’opèrent des casseurs et l’inanité du ministre de l’Intérieur de l’époque… réunions, contributions travaux presque dans chaque commune (sauf la mienne, où je dus l’organiser) du « grand débat national » dont l’œuvre est publiquement méprisée par e président de la République en conférence de presse : pas de vote banc, pas de facilitation du referendum d’initiative civique (on a dit : populaire, antan). Mise en scène d’une convention citoyenne pour le climat dont les conclusions seraient soumises – telles quelles – au referendum et il n’en reste qu’une loi, si pâle et tiède qu’elle peut fonder – innovation citoyenne, s’il en est – des recours au tribunal administratif pour manquement de l’État aux engagements de ses dirigeants. La collection, diverse, va se multiplier de manifestations et de cabrioles, dès le 1er Janvier prochain : la présidence en exercice de l’Union européenne par la France. CHURCHILL au premier tour de la conférence de Postdam, et ATTLEE au second tour… en Mai-Juin prochains, MACRON remplacé par ? Sans attendre le départ du Slovène, qui avait si justement défini l’impossibilité européenne par celle de penser tous de la même manière, alors que c’est de cela qu’il s’agit, qu’importent les langues et les accents… voici qu’EM tient dès le jeudi 9, sa conférence de presse inaugurale. Elle n’aurait de sens que s’il en appelait à une élection directe du président de l’Union (ou de la présidente, vg. Ursula von der LEYEN) par tous les Européens. Et les vente de rafle tant qu’elles n’auront pas pour chalandise les Etats-membres de l’Union sont contre-productives.

Tout nous enseigne la précarité de nos environnements politiques, médiatiques, stratégiques : une Chine qui règle le monde (et le prix des carburants parce qu’ l’instar des Etats-Unis, elle « puise dans ses réserves stratégiques »). Qui l’eût imaginé ? il y a dix ans. Un monde, une planète, un pays, le nôtre, le Vieux Monde, notre continent et son archipel anglo-saxon en urgence, une confrontation de nos démocraties si déficientes soient-elles, si parjures de leurs idéaux fondateurs et proclamés, avec la déclaration de leur préemption, sans vergogne, par les dictatures contemporaines, celles de deux pré-septuagénaires, un Russe et un Chinois, le premier au pouvoir depuis bientôt vingt-cinq ans et autorisé à durer encore quinze ans, et le second, seulement arrivé en 2012 quand nous ne pensions et ne voyions, depuis le « printemps arabe » (atroce dérision de cette appellation, d’abord appliquée à la Syrie première émule de la Tunisie) que Daech, Etat islamique (qu’une nouvelle fois nous avons révéré à Ryad, parce que nous sommes payés de nos avions…) et terrorisme, mais pas du tout la Chine, promise au même chef jusqu’au centenaire de la République se disant populaire.

On dit trop que la démocratie, c’est l’élection de quelques mandataires. Non ! la démocrate, c’est : tous au pouvoir, c’est chacun convié à la décision pour ce qui le concerne. De GAULLE est « tombé » sciemment là-dessus : la participation. Elire des mandataires, si l’État est de plus en plus amoindri, le concours à droite pour la suppression d’emploi dans la fonction publique, alors que médecins, soignants, enseignants, forces de l’ordre sont en déficit d’agents, et d’agents bien et longuement formés. De semaine en semaine, l’écho en quelques images d’une énème fermeture d’usine, d’un vieil avoir, d’un vrai savoir-faire. Héroïsme politique d’un Jean CHARBONNEL, ministre de l’Industrie exemplaire, soutenant la lutte des ouvriers et salariés de Lip : antan, il y aura bientôt cinquante ans...Quelques millions suffiraient, il existe une banque publique d’investissements, paraît-il dotée de neuf milliards d’euros. Que fait-elle ?

Le monde hurle, le mouvement migratoire en est l’enseigne sanglante, déchiquetée qui va faire juger notre époque. Ainsi que nous avons jugé avec l’aisance et le cynisme du recul, du déjà vu... nos prédécesseurs sur leur tolérance envers la montée du nazisme et la dictature monstrueuse de HITLER. Du spectacle aussi, il y en avait. Voir EM signer lui-même des contrats, qui sont des ventes d’industries privées à des faiseurs de guerre, alors qu’on ne sait toujours pas si les contrats « australiens » étaient vraiment revêtus d’une signature, au bas de feuillets disposant des acomptes et des dédits.

Comment ne pas prier – toutes les religions de notre monde – que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel… amour et vérité se rencontrer, justice et paix s’embrassent. C’est le psaume LXXXV proposé aujourd’hui à notre réflexion par l’Église. La justice marchera devant lui, et ses pas traceront le chemin. Nous sommes donc en période électorales. Les campagnes sont déclarées, sauf celui qui la pratique à nos frais, et dont le parti évanescent s’est donné un nouveau nom : après la République, les citoyens. Solidité des partis, même si le nombre de leurs adhérents s’est divisé par cent ou mille : parti communiste, parti socialiste. En Grande-Bretagne, en Allemagne, les noms et les partis subsistent, signe, parmi d’autres, de santé démocratique. Chez nous … ? En 2017, la surprise d’une personnalité qui avait donné prise. En 2011, le favori lui aussi, victime de lui-même. Le vide n’est pas aujourd’hui l’évanescence d’une personne, il est notre demande implicite qu’émerge puis s’exprime notre conscience des urgences. Malsain et si aisé de dauber le nouveau-venu qui parle ce langage, mais qui raisonne et expose presque tout à faux. Car l’avenir n’est pas à la nostalgie de Bonaparte, de DG ou des films noir-et-blanc, les Français ne sont pas une ethnie. La France est une construction millénaire, volontaire et spirituelle. L’esprit français. Que nous soyons ralliés par des malheureux ou par des gens de foi en notre ancienne image, est un honneur.

Actuellement, grandeur, honneur, coeur ? Ils sont pourtant, à mon sens, synonyme de réalisme et de plan de travail. Et réponses ? Tandis qu’ Aung San Suu Kyi est condamnée par les putschistes militaires, à quatre ans de prison en Birmanie, pour conclure un procès à huis clos «La France est de retour», clame Zemmour. «La France est de retour», a lancé Eric Zemmour dimanche à ses milliers de partisans à Villepinte (Seine-Saint-Denis), lors d’un premier meeting de campagne marqué par tensions et violences. Avant que le meeting ne démarre, une équipe de l’émission «Quotidien» a été huée par le public, des journalistes de Mediapart ont été violemment pris à partie, et des militants antiracistes ont été lynchés par des supporters de Zemmour alors qu’une action pacifique se déroulait dans la salle. «Nous sommes la France», revendique Mélenchon. Le candidat de La France insoumise a tenu dimanche son premier meeting de campagne, évitant de citer le polémiste d’extrême droite pour mieux défendre son programme social et universaliste. «Nous sommes la France qui défend sa devise : liberté, égalité, fraternité à tout être humain», a-t-il déclamé 4. Echo à l’entrée du nouvel élu de la France, en 2017, au forum de Davos : France is back… (avec un accent grave sur chacun des a).

11 heures 49 + Le jour est maintenant sans couleur, il ne fait pas chaud, pas d’oiseau sur notre vieil arbre.

1- Fwd: Des conseils indispensables ! — Les fausses idées, comme on le sait, naissent souvent sur des "Non Dits"

 Lors d’une soirée mondaine, un jeune étudiant est présenté au Député de la circonscription.Après les formalités de politesse, cet étudiant, un peu hésitant, demande au Député : « Monsieur le Député, je ne voudrais pas trop vous déranger, mais si vous aviez quelques minutes à me consacrer, j’aurais une question à vous poser ».
Le Député, avec un léger sourire, répond :

« Allez-y, jeune homme, j’ai toute ma soirée ».
L’étudiant se lance alors :

« Voilà, Monsieur, à la prochaine rentrée, j’intègre l’Université. Je tenais juste à savoir quel est le cursus à suivre pour devenir politicien ».
« Jeune homme, avant de vous répondre, laissez-moi, à mon tour, vous poser quelques questions. Avant tout, qui est-ce qui vous paie vos études ? ».
« Ce sont mes parents, Monsieur ».
« Bien. Qui vous paie votre logement d’étudiant ? ».
« C’est ma grand-mère maternelle ».
« Bien. Et qui vous donne l’argent pour vous nourrir et pour vos loisirs ? ».
« C’est mon grand-père paternel, Monsieur ».
« Une dernière question : possédez-vous une voiture et, dans l’affirmative, qui vous l’a offerte ? ».
« C’est mon parrain, Monsieur le Député ».

« Et bien voyez-vous, jeune homme, à partir du moment où vous vivez principalement grâce à l’argent des autres, vous êtes déjà un bon politicien…».

2- Isaïe XXXV 1 à 10 ; psaume LXXXV ; évangile selon saint Luc V 17 à 26

3- François à la semaine sociale française : nous ne devons pourtant pas avoir peur de rêver, surtout si ce rêve est partagé et porté ensemble. Comme l’exprimait si bien dom Helder Camara, « lorsque l'on rêve tout seul, ce n'est qu'un rêve ; mais lorsque l'on rêve à plusieurs, c'est le début d’une nouvelle réalité ».

4- Libé matin, à 08 heures 53

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