mardi 25 septembre 2018

- textes du jour

 
mardi 25 septembre 2018
 
08 heures 37 + Pensée constante vers ma chère femme, son appel hier soir pendant le tir à l’arc, son commentaire très favorable selon les photos que je lui avais adressées de notre fille en archer, son appel maintenant : réunion passionnante d’objet et d’unisson, à peu près une centaine et le délégué national de la C.G.T. pour l’éducation, témoignages sur le mépris et l’ignorance voulue de BLANQUER pour les syndicats. La politique de la table rase, débats entamés en fin de la campagne de NS en 2012 : les corps intermédiaires que celui-ci refusait. Leur déliquescence, au lieu d’être un stimulant pour le pouvoir d’État ayant la responsabilité d’en susciter de nouveau le goût chez les Français (outil décisif de participation sociale et politique), est le prétexte pour en rester au constat et exploiter ce qui est pris comme une licence de tout faire. A ce train – cela et la disparition de notre patrimoine industriel – on n’administrera plus qu’un cadavre. - EM et LE DRIAN, l’Assemblée générale des Nations Unies, voir si notre homme a avancé depuis dix-huit mois en perspicacité et vision sur le monde actuel, surtout s’il y a un centre au discours : le levier européen, s’il y a une éthique mondiale : les migrants, l’environnement végétal et animal. J’attends.
 
Je m’attends. Les mises à jour de ce journal pour reprendre un simple rythme quotidien, ma synthèse d’ici ce soir sur le colloque de la semaine dernière – ni les étudiants à qui j’ai donné mon adresse internet ne viennent, ni les deux enseignants intervenus dont j’avais les coordonnées ne me répondent – et pour le retour de mon aimée : la débroussailleuse en route dans les principaux ronciers et encombrements, le LCL tout jeudi. Le journal de notre fille, tout à l’heure notre rendez-vous du mardi pour la messe et le pique-nique dans le parc.
 
Textes déjà… ils continuent d’être austères et rigoureux. La vérité des comportements, la vérité des relations au Christ 1. Force et pénétration des Proverbes, l’auteur, la composition ? à quérir chez wikipédia… Les plans de l’homme actif lui assurent du profit ; mais la précipitation conduit à l’indigence. Une fortune acquise par le mensonge : illusion fugitive de qui cherche la mort… Qui fait la sourde oreille à la clameur des faibles criera lui-même sans obtenir de réponse. Notre adoption par le Christ, mais son affirmation qu’il eût été dur à entendre par les siens de sang, quoique la Vierge Marie Le retrouvant au Temple, à Ses douze ans, se le fit dire, au moins pour son époux… n’est, selon les évangélistes, qui diffèrent, qu’à l’adresse ou de celles et ceux qui l’entourent, ou des intermédiaires, ici chez Luc. « Ta mère et tes frères sont là dehors, qui veulent te voir. » Il leur répondit : « Ma mère et mes frères sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique ». Comment tenir, continuer, espérer ? Guide-moi sur la voie de tes volontés, là, je me plais. J’observerai sans relâche ta loi, toujours et à jamais. Ainsi soit-il !
16 heures 38 +  Message passionnant de S. 2 On n'a idée d’un pays qu'en y étant. C’est ce que j’ai vécu pour quelques-uns, il y a maintenant longtemps. Et ici, dans ce Morbihan, aux églises isolées, aux gens qui peuvent être communicatifs si l’on va à eux : Jean-Luc à la pompe à essence automatique, chez Leclerc, arrivé en France d’Afrique à quatre as, vie d’abord à la Rochelle, travaille en Normandie, puis ici, Merlin en intérimaire, et maintenant à Elven cariste, un enfant de dix-huit mois, heureux, il bavardait quand je suis arrivé avec un camarade de Leroy-Merlin. Systématiquement, j’adresse la parole aux « gens » par ce que je remarque d’eux, la bouteille de vin tenue au bras comme on porte un enfant, la beauté d’un enfant précisément, très joli blond, « petite section » à la Trinité-Surzur, mère probablement célibataire ? Je lui dis la beauté exceptionnelle de l’église de son village, elle répond que c’est en face de l’école, mais elle n’y est encore jamais entrée, je l’y encourage, son fils est baptisé, Sacha, dont j’apprends que cela veut dire Alexandre… « L’hôtesse de caisse », jolie, je le lui dis, débute aujourd’hui, un CAP, voudrait faire de l’hôtellerie, mais es études en Bretagne dans cette filière, je lui souhaite le meilleur. Evidence qui caractérise notre moment national : le détachement des Français vis-à-vis de la politique et de ses personnels, président compris, fatalisme et aussi… mépris. Pas plus que ceux qui nous gouvernent ne nous considèrent comme leurs égaux, pas davantage leurs gestes mais aussi ce qu’ils engagent au sens de l’Histoire et du gouvernement l’intéressent les gens, je n’ose écrire citoyens, et pourtant il s’en faudrait peu pour qu’ils le redeviennent et exigent… test : notre presbytère dont la municipalité actuelle veut disposer pour d’autres occupations et activités que la paroisse, il va être intéressant de savoir si cette analogie avec les privatisations et démantèlement du patrimoine national, provoque protestations, mobilisations et impose une alternative...
Je vais siester après l’appel d’Agathe « aux petits soins » et surtout après avoir couriellé à Phe. 3  Sur le discernement que nous devons apprendre de la Russie. Les dires de LE DRIAN relevant les interventions de la Russie dans la politique française : l’intoxication américaine. Naguère,pour paraître important, il fallait se dire écouté par les « services », aujourd’hui il faut que nous soyons infiltrés par la Russie, comme si nous n’étions pas – bien plus dangereusement – pénétrés de corps et d’âme par l’argent et ces puissances qui cherchent en nous une stabilité qu’elles n’ont pas par elles-mêmes à terme : les dictatures de Chine et d’Arabie.Que nous courtisons : leur vendre, nous vendre.
 
22 heures 52 + Sieste, courses à l’Intermarché, toute cette journée de brefs échanges selon les situations et les attirances. Je constate que l’ « on » est toujours content de recevoir une parole. Promenade à la nuit tombante, coucher du soleil, effets sur les nuages déjà très beaux au naturel (le plein jour) : Lupa, Finette, Sam et Lola jusqu’au Loch.
 
Politique. Aux Nations Unies, donc, le ballet, les photos, la mesure des étreintes et des regards pour le parterre. Le discours d’EM ne m’intéressera que dans la mesure où il fera de la reprise européenne le centre de son propos. J’en doute, et le discours à la Sorbonne ne peut être ni un fondement ni une référence, simple rapport d’inspection sur le fonctionnement actuel de l’intergouvernemental. - Maladresses ? Ou défi ? A la fois, le projet de vignettes pour les poids-lourds, après que Ségolène ROYAL ait capitulé en réunion sur l’écotaxe et les portiques. Les bonnets rouges vont revenir… La manif. pour tous aussi : P.M.A. pour toutes quelle que soit la situation de solitude ou de compagnonnage, quelle que soit l’orientation sexuelle, ce que j’admets tout à fait, mais le problème de la recherche du père va se généraliser, des équilibres et des vies entières en dépendent, lever l’anonymat ? mais alors plus de donneurs. - Manipulation des chiffres et des sommes : les 8 milliards du « plan pauvreté », les 6 milliards de diminution d’impôts. Et puis après les repentances pour le Vel-d’Hiv. Et pour Maurice AUDIN, les harkispour qui ne suffiront jamais des prises en charge d’enfants ou de petits-enfants, ou même quelques cérémonies et monuments. S’il est acquis que la rafle de 1942 fut d’exécution française, mais pas d’âme et hors République, en revanche qui est responsable de l’abandon de ces braves qui se sont compromis pour nous, selon une ambiance qui changea brusquement : DG lui-même ? Je le crains. Et pourquoi cet abandon. D’une certaine manière, encore plus légitimes à recevoir et encore plus français de coeur que les « rapatriés » dits « européens ». Nous n’en finirons jamais de ce cycle moral colonisation-décolonisation, qui fut au fond et en fait la forme des siècles passées pour notre mondialisation actuelle : les populations n’ont pas voulu la colonisation que nous leur imposâmes, même si nos venues et « pacifications » eurent des effets bénéfiques mais au prix d’un danger d’âme et d’un recelde souveraineté et d’auto-détermination, et aujourd’hui personne ne veut accueillir personne. EM et les migrants, sans doute son discours à l’occasion d’une naturalisation à la préfecture du Loiret, mais nous voici à faire dérouter l’Aquarius de Marseille à Malte, seulement 58 réfugiés-naufragés à bord. Quelle lâcheté ! Quelle trouille de l’opinion ! - Politique économique, elle n’est pas une direction d’ensemble, elle est indépendante apparemment d’un plan de privatisation non écrit, mais la liste et les projets existent dans les têtes qui nous gouvernent, dépouillent et spolient. La philosophie de l’État – ou plutôt la philosophie que certains ont de l’État a changé, depuis que les carrières ont pour but l’ragent et plus le bien commun, le service publique, le succès physique et commercial de l’entreprise.. Pour l’heure, la France continue de « faire » moins bien que la moyenne européenne en tenue budgétaire et en croissance. Etudier pourquoi l’Allemagne garde ses industries, a un excédent commercial de même grandeur que notre propre déficit, pourquoi les syndicats y ont-ils tant de pouvoir que rien de décisif ou du long terme ne se fait sans eux, pourquoi un changement de filière énergétique se fait calmement et méthodiquement, pourquoi un régime parlementaire et collégial permet à Angela MERKEL d’être a pouvoir – même si cela devient difficile – depuis treize ans et d’avoir eu ainsi comme partenaire français par moins de quatre présidents successifs de notre République ? Pourquoi ? Comment ? Réponse : un modèle propre. Et le nôtre qui fit notre succès jusque dans les années 1970 est totalement oublié...

Question que je souhaite « traiter » dans mon livre : l’amour est une force qui cherche et trouve son affectation, ou est-ce la relation d’exception, sans pareille jamais possible avec une autre, un autre, en exclusive au sens d’une préférence et d’une culture constante, voulue, avec une autre personne que soi ? 

Je relis le passage des Proverbes, auquel je n’étais allé qu’en son milieu. Il s’ouvre ainsi – combien nous sommes privés d’un chef, d’un responsable de notre pays, qui le matin prierait, et qui le soir ferait examen personnel de sa conscience, au lieu d’être guidé, jusqu’à preuve du contraire, par le souci de « tenir »… le Seigneur dispose du coeur du roi comme d’un canal d’irrigation, il le dirige où il veut. 4

1 - Proverbes XXI 1 à 13 ; psaume CXIX ; évangile selon saint Luc VIII 19 à 21

2- Le 20/09/2018 à 19:41, S... a écrit :
Bonsoir Bertrand, je me souviens bien de vous et de notre rencontre opportune, c'est un plaisir de vous lire !
En ce qui me concerne je suis arrivé il y a déjà deux mois en Afrique du Sud, pendants lesquels j'ai pu me familiariser avec la culture du pays qui est riche et complexe, comme je pouvais l'imaginer. Ce qui m'a frappé est la blessure profonde que les plus jeunes générations ont encore de l'apartheid et de la colonisation. Bien que la plupart des étudiants n'étaient pas né en 1994, on perçoit un fort ressentiment à ce sujet, qui, s'il ne se fait pas sentir lors des discussions quotidiennes, éclate en cours où nous traitons de ces sujets sensibles (histoire, politique et philosophie). Cela influence le mode de pensée et on y ressent parfois une forte tendance marxiste, un discours qui oppose des catégories opprimées et oppressives : aux combats pour l'égalité des races s'est ajouté celui pour l'égalité des sexes, des orientations sexuelles, des classes,... Cet héritage malheureux se retrouve souvent dans les fréquentations, on voit rarement des noirs et des blancs passer du temps en groupe mixte, et on retrouve dans certains cours une surreprésentation de blancs (comme en histoire) ou de noirs (sociologie). Je pense que la blessure fait partie d'une histoire trop récente et n'a pas eu le temps de cicatriser, certaines personnes avec qui j'ai pu discuteront fait état d'un racisme - hélas mais pas étonnamment - toujours présent dans certaines mentalités. Il faudra sans doute encore plusieurs générations pour espérer voir une réelle union nationale, et cela me paraît encore loin d'être certain.
Par ailleurs j'ai eu l'occasion, avec mes compatriotes français partis avec moi, de découvrir la partie sud du pays jusqu'au Cap, nous sommes passés par des paysages simplement sublimes. Cela nous a également permis de nous rendre compte de ce que nous savions déjà, à savoir des énormes disparités de richesse entre les régions et au sein même des villes, selon les quartiers. Nous visiterons la partie au nord-est du pays en novembre et décembre.
Merci pour les lectures, je vous avoue être assez occupé mais je me ferai un plaisir de m'y plonger quand j'en trouverai le temps. Au plaisir de vous lire, très amicalement, S...
3- Le 25/09/2018 à 16:35, Bertrand Fessard de Foucault a écrit à Philippe Etienne – Russie, discerner
Cher Philippe,
je vous suppose aux Nations-Unies avec le Président et le Ministre... et du monde.
En relations extérieures - et ni le front du Sahel, ni l'appel aux peuples d'Europe n'en sont - le point nodal que nous avons à identifier, comprendre et traiter, c'est la question russe. Je vous donne ci-joint, des observations anciennes (respectivement de 1993 et de 1996). A terme, l'Europe doit être l'alliance structurelle de deux ensembles, chacun fédéral, l'Union qui ne peut être fédérale que si elle est démocratique (élection de la présidente ou du président, etc..., et la Russie, qui est notre frontière orientale et que nous devons aider et espérer à devenir démocratique.
Nous avions commencé par bien jouer avec elle - particulièrement nous les Français - depuis 1944, ouverts mais fermes, et dans les mots mêmes choisis par de Gaulle pendant son voyage de 1966, en comprenant que l'Union soviétique était bien moins que la Russie. A partir de 1973 et d'Helsinki, nous avons joué à fond la coopération, même pendant l'affaire afghane. Nous avons choisi Gorbatchev et Andropov ne nous avait pas déplu. Mais à partir de 1991, nous n'avons pas su empêcher ce qui ne pouvait que frustrer, humilier, inquiéter les Russes - et le "fonds de commerce" de Poutine est né, là, avant même qu'il prenne le pouvoir (en le payant à Eltsine) - pas de dissolution du Pacte Atlantique en écho au Pacte de Varsovie, bouclier anti-nucléaire (soit disant pour protéger l'Europe de ... l'Iran), et surtout adhésion au pas de charge des anciens satellites communistes d'abord à l'Alliance atlantique, puis selon des procédures humiliantes mais ne rendant pas compte pour autant des incapacités et incompatibilités économiques et sociales, à l'Union européenne. C'est d'ailleurs nos avances vers l'Ukraine qui ont "fait sortir du bois" Poutine demeuré en observation des "Occidentaux" jusque là. Et l'humilié a pu entretenir sa dictature, ses exactions contre les libertés publiques et être le plus fort au Proche-Orient, avoir la clé de l'abomination syrienne. En sus, au lieu - nous, nos entreprises et les Européens - de tenir à fond une position vigilante mais amicale avec l'Iran, nous avons réduit ce pays à n'avoir, lui comme la Syrie de Bachar, qu'un seul grand allié : la Russie.
Nous avons tout faux depuis 1991, et Poutine n'a fait que nous observer, analyser puis réaliser nos inconséquences.
Pour l'immédiat, n'ajoutons pas une susceptibilité ou des mises en garde à propos d'interventions russes dans notre vie nationale, n'entrons pas dans le débat qu'a suscité l'élection de Trump et qui n'a sa vérité qu'outre-Atlantique. D'ailleurs, sans avoir attendu ces tensions, soupçons et rumeurs, nous avons chez nous des comportements à ne plus admettre : les notoriétés françaises allant à Poutine, des anciens Premiers ministres...
Poutine ne sera que réaliste, il se peut que nous puissions faire affaire avec lui si nous-mêmes nous changeons et devenons perspicaces et forts. Nous ne le sommes pas. La Crimée pouvait se jouer à partir de l'ex-Prusse orientale enclavée dans l'Union.
Notre question est d'aider la démocratie à gagner le pouvoir en Russie. Elle ne l'a exercé qu'avec Stolypine en 1911 (une percée politique et conceptuelle, exactement contemporaine de celle de Caillaux chez nous vis-à-vis de l'Allemagne) et allait progressivement l'emporter si Gorbatchev n'avait pas - lui aussi, mais seulement politiquement - été assassiné.
Comment l'aider en la personne de ses fervents, de ses imaginatifs projetant une démocratie russe ? Nous devons parier - et j'y crois, bon sens et sentiment - qu'une majorité de Russes, la jeunesse certainement, ne tolère la dictature que par l'expérience, l'observation, les exemples et cas qui lui sont donnés, d'un Occident hostile et dont ne se distinguent pas l'Union, ni nous.
Je n'ai pas de réponse toute faite, mais une piste avait été dite par le Président, alors candidat quand Bourdin le reçut (le 18 Avril 2017, de mémoire). Je n'ai pas sous les yeux le verbatim, mais c'était traiter au minimum avec les dictatures, et au maximum avec les démocrates, organisés ou pas. Non organisés, traiter avec eux et les aider ne paraîtra ni une ingérence ni une agression envers le pouvoir en place.
Poutine est mentalement structuré et totalement libre de réflexion, il n'a aucun électorat à ménager, il peut changer du tout au tout si c'est l'intérêt de la Russie confondu avec le sien, il n'est plus jeune, il n'est pas nouveau. Les questions d'Iran, d'Israël, de Syrie immédiatement difficiles pour nous, la question des marches occidentales de la Chine avec le nucléaire et les minorités ethniques et musulmanes de celle-ci ... sont deux objets de très profonds échanges de vue. Nous sommes territorialement désintéressés, nous ne sommes pas frontaliers mais nous ne voulons plus de zones à risques ou en feu, où que ce soit.
Nous n'avons pas - en tout cas, pas moi - l'expérience d'une dictature passant paisiblement à la démocratie, du fait de "conseils" et d'accueils étrangers. L'Afrique du sud en apartheid, le Brésil des militaires ont leur mue, seuls. L'Argentine et la Grèce, selon l'échec de leurs militaires respectifs dans les aventures aux Malouines ou à Chypre. Nous ne savons pas même nous y prendre en Afrique dite d'expression française où nous gardons prestige et moyens.
Il nous faut donc réfléchir, pas à ce qui est possible, mais à ce que nous souhaitons et qui est notre intérêt : une Russie démocratique, et devenant donc notre jumelle, la jumelle de l'Union européenne. Une telle perspective, un tel projet doivent devenir préférables et urgents autant pour les Russes que pour nous.
Ce n'est donc pas du cinéma, mais beaucoup d'échanges avec tout le monde, à tous niveaux même simplement "citoyens".
Chaleureusement avec vous, cher Philippe.
4- Proverbes XXI 1

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