Echos de la
séance de cet après-midi au Palais-Bourbon : le tumulte. Comment aurait-il
pu en être autrement, un projet que rien n’annonçait, rédigé en cachette et
solitairement par le directeur du cabinet de la ministre qui n’en sait rien.Un
affichage contentant la droite, parce que semblant satisfaire l’entreprise,
mais l’obligation de calmer la gauche criant au sacrilège. Au total aucun
consens, aucun vraiment satisfait. Et
cet après-midi la probabilité d’avoir en mettre en œuvre l’article 49-3
de la
Constitution, dont sous NS, FH affirmait que c’était un déni de
démocratie. Et
pourquoi pas la censure ? enfin, une vérité et non une contrainte.
Petitesse de l’exercice au strict inverse des trois anniversaires de ces
jours-ci : un armistice d’une immense portée, tant selon l’adversaire
défait que la suite commémorée le lendemain, et enfin le retour de la
gauche au
pouvoir. Journée encore plus mouvementée dans la rue, le 49-3 fermant le
débat
parlementaire, avec des manifestations générales le 17 ou le 18 Mai,
commentées déjà selon les techniques qui leur sont propres : les faire,
les empêcher.
Prier…[1]journée
trop grosse, je tombe de sommeil ; le Christ définit la vie
éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu
as envoyé, Jésus Christ. La réalité surnaturelle est grosse d’une solidarité
entre générations et de l’homme avec Dieu. Pathétique … la conception et l’expérience
pauliennes de la vocation et du témoignage : l’Esprit-Saint à l’œuvre. Je
suis contraint par l’Esprit de me rendre à Jérusalem sans savoir ce qu’il va m’arriver
là-bas. Je sais seulement que l’Esprit Saint témoigne ville en ville que les
chaînes et les épreuves m’attendent. Il prêche l’évangile de la grâce de
Dieu, lequel prévoit explicitement les circonstances qu’auront à affronter
ses propagateurs et témoins. Le Christ comme son Apôtre, en "compte-rendu de mandat", la mission de témoigner.
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