Prier…
les saints notre mémoire et notre anticipation, la réussite de notre histoire à
chacun. Pas le rassemblement pour un office éternel, mais l’aboutissement de
chacune des persnnalités, chacun des parcours individuels, enfin en présnce de
Dieu, et donc parfaits. Communion entre nous tous, notre chair, notre corps,
donc toute notre personnalité mais non plus dominée par notr finitude sont
assouvis, transparents. Nous avons gagné, nous aurons gagné, nous pouvions
gagner dans chaque tentation et misère ; nous pourrons gagner tout à
l’heure. [1] Il détruira la mort pur toujours. Le Seigneur essuiera
les larmes sur tous ls visages… Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non
pour juger le monde, mais pour que, par Lui, le monde soit sauvé…. Le Seigneur
entend ceux qui l’appellent : d toutes leurs angoisses, il les délivre. Tout le fil du temps est à nous, favorable,
gratifiant, bénéfique, et devient chemin de Dieu. Si nous mourons, nous
mourons pour le Seigneur. Responsabilité
personnelle de chacun, corollaire de notre liberté, de notre identité, de ce à
quoi nous sommes appelés : chacun de nous devra rendre compte à Diu
pour soi-même, de ses affections, de son
intelligence de ce qu’il aura faite des talents et des circonstances, fort de
la grâce, de sa confiance en Dieu. Le corps ressuscité parce que nous l’aurons
conduit au meilleur et au plus bas, tel que nous en avons reçu charge,
apparence précaire ou banale, beauté secrète à proportion de sa transparence.
Les visages consolés par le Seigneur…qui regarde vers lui resplendira, sans
ombre ni trouble au visage. Alleluia,
amen, ainsi soit-il ! Aucun ne meurt pour soi-même, tous semences, de nous-mêmes et des autres, de Dieu en nous et dans le
monde.
[1] - Isaïe XXV 6 à 9 ; psaume XXXIV ; Paul aux Romains XIV 7 à 12
passim ; évangil selon saint Jan III 16 à 17
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