Hier soir
0 heure 35 + Vu Quai d’Orsay. Quelles étaient les ambitions de ce film qui n’est pas même un récit ? certainement pas la caricature quand tout y est juste, les divers rôles sont exactement décrits et joués, le ministre et le directeur du cabinet, les principaux collaborateurs, les lieux et décors, tout est vraiment « live ». Peut-être était-ce très civiquement de montrer que malgré des aspects très convenus et d’autres se prêtant à la caricature, le ministre des Affaires trangères et son cabinet sont efficaces, du moins en général. A-t-on voulu mettre en boîte DdeV, dont l’analogie ne m’est apparue que dans les cinq dernières minutes… non, car dans le film, celui qui le joue est bien meilleur que lui.
Ce matin
08 heures 54 + Prier…
[1] les questions oiseuses. Une veuve de sept frères… cas
excptionnel. Cette femme, de qui serat-elle l’épouse, puisque les sept
l’ont eue pour femme ? La qustiona
cependant son analogie qui elle n’st pas exceptionnelle, mais vécue par nous
tous, dans nos existences, nos amours, nos affections sont pluriels, ni
adultères ni volages. Notre identité n’est pas sans liens multiples avec
autriui, pas seulement une réponse aux circonstances de ce dont nous avons,
génétiquement ou par édution ou par contrainte sociale ou psychologique… hérité.
Cela est souvent contradictoire, voire impossible à vivre dans un même temps.
Ici-bas, il semble que seule la succcessivité permettent durablement le pluriel.
L’un et l’autre ne sont pas possibles ? dans la vie éternelle, si. Toutes nos
affections, tout le virtuel, tout l’incompatible auront leur aboutissement.
C’est ce que je crois, même si ce n’st pas « écrit » ; Là est d’ailleurs le
consiolant. Croire à la résurrection et à la vie éternelle, sans que cela nous
assure de « retrouver » celles et ceux que nous ailons, que nous peurons de leur
mort « naturelle » ou de leur mort par rupture affective, par trahison, la leur,
la nôtre, nos animaux, nos fleur. Tout ce que nous avons posséder ou avons
ambitionné de séduire, garder, et qui nous a échappé, et à qui, à quoi nous
avons échappé, par nos morts respectives… tout sera nôtre et nous serons à tou,
puis qu’en Dieu. Une autre voie de réflexion et de prière : les morts ne se
marient pas, car ils ne peuvent plus mourir. Le mariage, nos affections, filiations et
ascendances, tout ce que nous fasions et vivons sont des luttes contre la mort
et une sublimation de notre condition humaine et finie ? La vie éternelle nous
donne de tout autres dismensions, le faire et l’être ne sont plus de même
nature, ou plutôt ils l’ont trouvée. Jésus ne s’enseigne pas lui-même, ne dit
pas non plus que nous aurons part à Sa résurrection, celle-ci garantissant et
permettant toites les autres. Son ministère public est la promesse de la vie
éternelle, la réactualisation en d’autres termes de ce que ls prophètes et Moïse
laissaient entendre, mais précisément les qustions posées au Christ, pas
forcément comprendre : la résurrection. Paul est en
plein dans le registre de l’affection : nous avons pleine confiance en vous…
priez pour que nous échappions à la méchanceté des gens qui nous veulent du mal…
du terre-à-terre, mais il le vit en
dépendance du Christ, en attente. Que le Seigneur vous conduise à l’amour de
Dieu et à la persévérance pour attendre le Christ. La même forte orientation des sept frères
martyrs. Les sept maris, les sept témoins, l’unicité de la mère, l’unicité de
l’épouse : mieux vaut mourir par la main des hommes, quand on attend la
résurrection promise par Dieu… ambianace
aussi qu’indique l’Apôtre comme l’historiographe, la persécution, les
vicissitudes. La vie éternelle accomplit le multiple et le co,nttadictoire,
l’imparfait et l’espéré pour chacun de nous. Elle subjugue aussi les
circonstances mortifères dans lesquelles nous nous débattons. Ces deux
anecdotes, l’une vécue, l’autre conjecturée, sont de grand enseignement. Pour le
palmiste, l’ensemble de cette interrogation sur le maintenant et la suite… n’a
pas de sens. Il est en présence de Dieu, il anticipe et vit l’éternité qui est
présence. Il n’y a plus qu’un seul temps pour celui qui aime, prie, ressuscite,
ne meurt plus : au révil, je me rassasierai de ton visage.
[1] - 2ème livre des
Martyrs d’Israël VII 1 à 14 ; psaume XVII ; 2ème lettre d Paul aux
Thessalonicins II 16 à III 5 ; évangile selon saint Luc XX 27 à 38
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