SANTA CLOTILDE
REGINA DEI FRANCHI / I
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wikipédia . en ligne samedi 4 Juin 2016
Clotilde (femme de Clovis)
Clotilde de Burgondie
La reine Clotilde (vue d'artiste (XIXe siècle)
- vitrail néogothique de l'église Saint-Martin de Florac)
Titre
vers 493 — 27
novembre 511
(environ 18 ans)
(environ 18 ans)
Données clés
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Prédécesseur
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Successeur
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Biographie
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Titulature
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Reine des Francs
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Dynastie
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Nom de naissance
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Crotechildis de Burgundia
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Surnom
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Sainte Clotilde
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Naissance
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Décès
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Père
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Mère
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Carétène
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Conjoint
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Enfants
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Sainte Clotilde
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Décès
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Nationalité
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burgonde
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Fête
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Elle a été canonisée vers 550 ou 560 ; l'Église orthodoxe et l'ancien martyrologe romain la fêtent le 3 juin (dies natalis), et l'Église catholique le 4 juin6,7.
Sommaire
Biographie
Origine familiale
Les origines de Clotilde remontent fort loin. « Estonienne » par les Balthes et « norvégienne » par les Burgondes, elle faisait partie d'une famille royale des bords de la mer Baltique entrée dans un clan wisigoth lors d'une soumission des Estes aux Goths8.Elle est la fille du roi burgonde Chilpéric II, fils du roi Gondioc et frère de Gondebaud, Godegisile et Gondemar. Le nom de la mère de Clotilde n'est pas connu.
L'enfance et la jeunesse de Clotilde se déroulent à la cour burgonde sous les règnes de Gondioc, mort dans les années 470, puis de Chilpéric 1er, mort vers 480, puis sous le règne conjoint des quatre fils de Gondioc.
Deux d'entre eux, Gondemar et Chilpéric II, père de Clotilde, disparaissent durant les années 480, laissant la place à Gondebaud et Godegisile, seuls rois des Burgondes dans les années 490. Cette disparition de deux des frères est l'objet d'un certain nombre d'interrogations.
La mort du père de Clotilde
Dans son Histoire des Francs, Grégoire de Tours donne une version plutôt tragique de la disparition de Chilpéric II :« Gondioc avait été roi des Burgondes …. Il avait eu quatre fils : Gondebaud, Godégisèle, Chilpéric et Gondemar. Gondebaud égorgea Chilpéric son frère et noya la femme de celui-ci en lui attachant une pierre au cou. Il condamna à l'exil ses deux filles ; l'aînée, qui prit l'habit, s'appelait Croma, la plus jeune Clotilde. Or, comme Clovis envoie souvent des ambassades en Bourgogne, la jeune Clotilde est aperçue par ses ambassadeurs. Comme ils l'avaient trouvée élégante et sage et qu'ils avaient su qu'elle était de famille royale, ils l'annoncèrent au roi Clovis. Sans tarder, celui-ci envoie à Gondebaud une ambassade pour la demander en mariage. Ce dernier n'osant pas opposer un refus la remit aux ambassadeurs, et ceux-ci, amenant la jeune fille, la présentant au plus vite au roi. Quand il l'eut vue, le roi fut rempli d'une grande joie et il se l'associa par le mariage, alors qu'il avait déjà d'une concubine un fils nommé Thierry. »
— Grégoire de Tours, Historia Francorum,
livre II, paragraphe XXVIII, traduction Robert Latouche, Les Classiques de
l'histoire de France au Moyen Âge, volume 27, p. 116-117, in La Bourgogne au
Moyen Âge, Académie de Dijon, Centre régional de recherche et de
documentation pédagogique, Dijon, 1972.
Donc selon Grégoire de Tours, le père et la mère de Clotilde ont été
exécutés par Gondebaud, mais il ne précise pas pour quelles raisons, ni dans
quelles circonstances. Clotilde et sa sœur Croma échappent au massacre. Elles
sont condamnées à l'exil, mais apparemment, quelques années après, alors que
Croma est devenue religieuse, Clotilde est présente à la cour de Gondebaud où
des ambassadeurs francs la remarquent et la signalent à Clovis, qui la demande
en mariage (par l'intermédiaire, selon le Liber Historiae Francorum et Frédégaire,
de son conseiller Aurélien).Le récit (très court) du massacre a ensuite été repris par le Liber Historiae Francorum, chronique du VIIIe siècle, qui en augmente la portée tragique en introduisant deux fils de Chilpéric, décapités par l'oncle régicide9.
Quoi qu'il en soit de la réalité de cet épisode, Clotilde a reçu à la cour de Gondebaud une éducation non seulement soignée mais aussi chrétienne, sans doute transmise par la reine chrétienne Carétène que l'on pense épouse de Gondebaud.
Reine des Francs
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Clovis voulait épouser Clotilde. Mais, si Clovis voulait l'épouser, il
devait se convertir au Christianisme.Cela se passa au cours de la bataille de Tolbiac. Clovis était en train de perdre et il invoquait ses dieux. Mais, comme rien ne se passait, il appela le Dieu de Clotilde (Jésus) en lui promettant que, s'il était vainqueur, il se convertirait.
Dieu lui accorda la victoire, et Clovis se convertit.
Clotilde épouse Clovis vers 493 à Soissons10.
En dépit d'une époque manquant de sources écrites, la vie de Clotilde en tant que reine des Francs était parfois mentionnée en détail dans une biographie de saint Remi de Reims écrite avant que saint Grégoire de Tours ne naisse et citée fréquemment par ce dernier, de laquelle la plupart des renseignements sont adoptés par les historiens contemporains11. La reine chrétienne était donc effectivement protégée par cet évêque et conseiller.
Selon Grégoire de Tours, elle a exercé une influence pour l'amener au baptême. Avant cet événement, dont la date n'est pas connue avec une absolue certitude12, elle prend même l'initiative de faire baptiser ses deux premiers fils sans prendre l'avis de son époux. Le premier, appelé Ingomer, meurt immédiatement après le baptême13. Grégoire de Tours rapporte que le roi en éprouve de l'amertume et en fait le reproche à la reine14. La même chose faillit arriver après la naissance de Clodomir (vers 495), mais ce dernier se rétablit. Le couple a d'autres enfants, d'abord deux fils, Childebert (vers 497) et Clotaire (vers 498), puis une fille, Clotilde, qui sont tous baptisés et parviennent à l'âge adulte10.
Le baptême du roi Clovis et sa sœur Alboflède fut célébré11 lors d'un Noël, vraisemblablement entre 496 et 49915,16.
Clovis et Clotilde résident le plus souvent à Clichy, Épineuil, Chelles, Rueil ou Bonneuil. Après sa victoire de Vouillé sur les Wisigoths en 507, le roi fait de Paris sa capitale10.
Avant que Clovis ne meure en 511, le couple souverain avait fait bâtir la basilique des Saint-Apôtres sur la rive gauche de la Seine, où le roi fut inhumé17,18.
Le veuvage à Tours
Selon Grégoire de Tours, la reine restait encore à Paris, en continuant probablement à influencer ses trois fils, Clodomir, Childebert et Clotaire, mais notamment afin de soutenir Clodomir et sa famille19.Puis, vraisemblablement à la suite de la mort de Clodomir en 524, Clotilde se retira à Saint-Martin de Tours.
Femme politique, elle les amena à monter une expédition contre le royaume burgonde des fils de Gondebaud, vraisemblablement pour venger ses parents assassinés (selon Grégoire de Tours). Son fils Clodomir fut tué pendant cette guerre, à la bataille de Vézeronce.
Elle tenta de protéger les trois fils de Clodomir, mais ne put sauver que Clodoald, le futur saint Cloud, tandis que les deux autres étaient massacrés par leurs oncles.
Pour secourir sa fille envoyée en Espagne dès 511 (et également prénommée Clotilde), elle poussa Childebert à attaquer l'époux de celle-ci, le roi wisigoth Amalaric qui la maltraitait. À Tours, elle imposa des évêques burgondes réfugiés auprès d'elle.
Veuve très pieuse, Clotilde est la première reine chrétienne qui ait fondé plusieurs établissements religieux. Si, faute de documents sûrs, certains restent légendaires tel l'ancien couvent royal aux Andelys20,21, de nos jours, deux édifices sont certainement attribués à cette reine. D'une part, il s'agit de la basilique Saint-Germain d'Auxerre. Des recherches archéologiques indiquent que l'aménagement de celle-ci remonte à l'époque de Clotilde. Comme elle était une princesse de Bourgogne, ce soutien peut être effectivement expliqué22,23. D'autre part, dans la villa royale située à Chelles près de Paris, elle fonda un oratoire dédié à Saint Georges. Les sources furent soigneusement établies en 1971 par un historien allemand24. En raison de cette légitimité, sous le règne des premiers Carolingiens, cet établissement devint l'abbaye royale de femmes la plus distinguée à l'époque, en y accueillant la sœur de Charlemagne, Gisèle25. De plus, saint Grégoire de Tours attribuait, d'après des manuscrits, l'origine de l'abbaye royale Saint-Martin de Tours à Clotilde, à la fin de l'Histoire des Francs Livre II26.
D'ailleurs, il est possible que ses dernières années à Tours aient contribué la naissance de cette précieuse chronologie de Grégoire, écrite pendant l'époque de la décadence des petits-fils de Clovis. Car, pour les habitants de Tours, il s'agissait d'une reine pieuse et d'un témoin de la conversion de Clovis et du peuple barbare à la foi catholique, et non d'un personnage légendaire27.
Décès
tombeau de Clovis Ier et Sainte Clotilde
Vitrail de l'atelier Charles Champigneulle (1895)
représentant Sainte Clotilde - Eglise Notre-Dame de Sablé-sur-Sarthe.
Statue de Clotilde dans la série Reines de France et Femmes
illustres du Jardin du Luxembourg à Paris.
Tour Clovis dans l'actuel lycée
Henri-IV, à Paris.
Elle termina ses jours dans la piété, auprès du tombeau de saint Martin, à Tours où elle
mourut, le 3 juin
544, 545 ou 548. Elle fut inhumée
par ses fils Childebert et Clotaire à Paris aux côtés de
son époux Clovis,
dans le sacrarium de la basilique des Saints-Apôtres, future
Abbaye de Sainte-Geneviève, qu'elle
avait contribué à fonder28.Postérité
Vénération
Les chanoines de l'abbatiale, fuyant les invasions normandes au IXe siècle, procèdent à la translation de sa châsse au château de Vivières. Lors du retour de ses reliques à la abbaye Sainte-Geneviève de Paris29, la paroisse de Vivières garde sa tête et un bras dans un reliquaire désormais abrité dans l'église. Un pèlerinage national, dédiée à sainte Clotilde, est annuellement organisé par la paroisse de Vivières. L'organisation est, plus précisément, déléguée à la confrérie sainte Clotilde30 qui bénéficie, depuis le milieu des années 1980, du soutien du centre Charlier. Existant depuis 1947, il se déroule généralement le troisième dimanche de juin.Sainte Clotilde est particulièrement vénérée dans la Collégiale Notre-Dame des Andelys depuis qu'en 1656, l'église reçut en relique une côte de la sainte31.
En 1793, les restes de Clotilde auraient été brûlés32 pour éviter aux moines génovéfains, détenteurs de ces reliques, la fureur des sans-culottes et lui épargner la profanation révolutionnaire. Ses cendres sont alors déposées dans l'église Saint-Leu-Saint-Gilles et une partie concédées à la basilique Sainte-Clotilde de Reims.
L'église Saint-André de l'abbaye de Chelles conserve également une châsse qui lui est attribuée, de même l'église Sainte-Clotilde de Chambourcy.
Voies publiques
- "Rue Clotilde" : à Paris (5e arrondissement), Issy-les-Moulineaux
- "Rue Sainte Clotilde" : à Lyon (1er arrondissement)
- "Rue à Clotilde" : à L'Île-d'Yeu, Vendée
- "Avenue Sainte-Clotilde": à Genève, (quartier de la Jonction) où se trouve l'église du même nom
Patronne de l'aviation légère de l'armée de terre
Depuis 1995 l'Aviation légère de l'armée de terre a choisi sainte Clotilde pour patronne. C'est en effet à ses prières que Clovis put être victorieux à Tolbiac en « submergeant l'ennemi sous le feu du ciel », ce qui est précisément aujourd'hui la fonction des hélicoptères de combat de l'armée française.Voir aussi
Bibliographie
Sources
- Grégoire de Tours, Historia Francorum, traduction de Robert Latouche, Les Classiques de l'histoire de France au Moyen Âge
Ouvrages généraux
- Stéphane Lebecq, Les Origines franques, Ve - IXe siècle, Seuil (Nouvelle histoire de la France médiévale, 1), 1990, (ISBN 2-02-011552-2), pages 45-60 (première partie, chapitre 1 : « Clovis (481-511) »)
- Régine Le Jan, Les Mérovingiens, PUF, coll. « Que sais-je », Paris, 2006, 128 p. [ISBN 2-13-055481-4]
Sur Clovis
- Michèle Laforest, Clovis, un roi de légende, Éditions Albin Michel, Paris, 1996 [ISBN 2-226-08714-1]
- Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, 1996 (ISBN 2-2135-9632-8)
- Michel Rouche, Clovis, Fayard, coll. « Pluriel », 2013
Sur Clotilde
- Godefroid Kurth, Sainte Clotilde, première reine de France, la fille aînée de l'Église, Presse et Éditions Hovine, Ronchin, 1988, 120 p..
- Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), Villeneuve d'Ascq, éd. Patrick van Kerrebrouck, 1993, 545 p. (ISBN 978-2-95015-093-6).
- Anne Bernet, Histoire des reines de France, Clotilde épouse de Clovis, Éditions Flammarion, Pygmalion, 2006.
- Jean Baptiste H. Monteil, Sainte Clotilde - Reine de France - Sa vie, son œuvre, son siècle, Imprimerie A. Coté et Cie, Québec, 1878, lxxvii + 251 pp. Kessinger Publishing, 2010, 330 pp. Nabu Press, 2012.
- Clotilde, première reine des Francs, par Alain d'Orange et Monique Amiel
Articles connexes
Sur les autres projets Wikimedia :
- Clotilde (femme de Clovis), sur Wikimedia Commons
- Généalogie des Mérovingiens
- Faux Mérovingiens
- Place de la femme dans la France mérovingienne
- Gondebaud
Liens externes
- Sainte Clotilde dans les collections du musée des Andelys
- Pascale Bourgain, « Clovis et Clotilde chez les historiens médiévaux, des temps mérovingiens au premier siècle capétien », Bibliothèque de l’Ecole des chartes, 1996, volume 154, numéro 154-1, pp. 53-85.
- Emmanuelle Santinelli, « La politique territoriale des reines mérovingiennes ». Publié sous le titre "Les reines mérovingiennes ont-elles une politique territoriale ?" dans R. Compatangelo-Soussignan, E. Santinelli (dir.), Territoires et frontières en Gaule du nord et dans les espaces septentrionaux francs, Revue du Nord, n° 351, juillet-septembre 2003, pp. 631-353. Article édité en ligne sur Cour de France.fr le 1er mars 2009.
- Notices d'autorité : Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat
Notes et références
- Settipani 1993
- Écrite aussi Chrodichild, Chrodechilde, Chrodechildis, en latin Chrodigildis ; les formes médiévales du nom (Chlothilde, Clothilde, Clotilde), sont dérivées de ces noms originels.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des prénoms, Paris, Larousse, 16 septembre 2009 (ISBN 978-2-03-583728-8), p. 132
- selon le Larousse 2011 et également selon Christian Bouyer (Dictionnaire des Reines de France, 1992)
- La date traditionnelle de 545 n'est pas certaine ; Stéphane Lebecq, Les Origines franques, page 45, indique 544 (son long veuvage de 511 à 544 ; M. Heinzelmann, "Gallische Prosopographie 260-527", dans Francia, 1982, page 584, indique 548, de façon apparemment mieux étayée.
- (en) St Clotilda [archive], Catholic Encyclopedia
- Sainte Clotilde [archive] sur nominis.cef.fr
- Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, 1996 (ISBN 2-2135-9632-8), page 242.
- Sur cette affaire, voir notamment Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, 1996 (ISBN 2-2135-9632-8), p. 229-232.
- Christian Bouyer, Dictionnaire des Reines de France, Librairie académique Perrin, 1992 ISBN 2-262-00789-6
- http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=PA219 [archive] Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Livre II, 31 ; Saint Grégoire de Tours ne donnait ni précision du temps ni lieu. Mais, ce livre suggère qu'il s'agit de Reims où la célébration fut tenue. Il écrivit ce passage selon une biographie de saint Remi de Reims, écrite peu après sa mort (saint Grégoire écrivit : « Nous avons encore aujourd'hui un livre de sa vie, où il est dit qu'il resssuscita un mort. »)
- Stéphane Lebecq, page 51, le situe en 498 (sous réserves) ; Régine Le Jan, page 14, en 508.
- http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=209 [archive] Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Livre II, 29
- Rouche 2013, p. 246
- Didier Feuer et Jean d'Hendecourt, Dictionnaire des Souverains de France et de leurs épouses, p. 133, Pygmalion, Paris 2006
- Claude Gauvard, Joël Cornette et Emmanuel Fureix, Souverains et rois de France, p. 15, Éditions du Chêne, Paris 2005 : « On ignore à quelle date se situe le baptême de Clovis, en 496 ou en 499, mais on sait que la cérémonie a lieu à Noël, par immersion dans le baptistère de Reims dont on a retrouvé les traces archéologiques dans l'allée centrale de la cathédrale gothique, et que l'évêque Remi en a été l'instigateur et le célébrant. »
- http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=PA261 [archive] Grégoire de Tours, livre II, 43
- Didier Feuer et Jean d'Hendecourt, Dictionnaire des Souverains de France et de leurs épouses, p. 134
- http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=PA317 [archive] Livre III, 18
- http://sanctuaires.coldev.org/index.php?r=cons&sr=cons&id=461 [archive]
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b84472943/f1 [archive]
- http://www.auxerre.culture.gouv.fr/fr/his/f_bas.htm [archive]
- Auparavant, avant ces recherches archéologiques, cette attribution était contestée, faute de documents certains. Par exemple, http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1976_num_62_168_1574 [archive] p. 210
- http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/crai_0065-0536_1975_num_119_3_13148 [archive] p. 371
- Godefroid Kurth, Clovis, p. 513, Tallandier, 2000
- Selon la traduction de François Guizot. Celle de Joseph Guadet ne mentionnait que son séjour. Donc, cela dépendrait des manuscrits.
- http://expositions.bnf.fr/carolingiens/antho/02.htm [archive] site officiel de la BNF, Trésors carolingiens
- Grégoire de Tours, Histoire ecclésiastique des francs, J. L. J. Brière, 1823 (lire en ligne [archive]), « Livre IV », p. 152
- Une châsse opulente conservait ses restes. Source : Acta Sanctorum, t. I, p. 293
- Page internet de la Confrérie sainte Clotilde [archive]
- La sépulture de Clovis et la nécropole royale mérovingienne [archive]
- Clotilde reine et sainte [archive]
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