samedi 4 juin 2016

sainte Clotilde, reine des Francs . 476 + 545




Clotilde était fille de Chilpéric, roi catholique d'une partie de la Bourgogne, et nièce du prince arien Gondebaud. Appelée par Dieu à la grande mission du salut de la France, elle fut élevée au palais de son oncle, assassin de sa famille. La mère de Clotilde avait déposé dans son cœur, avec la foi, les germes de la piété ; aussi, dans une cour hérétique, sut-elle résister à toutes les sollicitations de Gondebaud et conserver la foi de son baptême.
Clovis, roi des Francs, entendit parler de la beauté, des vertus et de toutes les grandes qualités de la jeune princesse et la fit demander en mariage à Gondebaud, qui n'osa la refuser. Le mariage eut lieu en 493. Clotilde comprit qu'elle n'avait été appelée à partager le trône d'un roi païen que pour remplir les vues de Dieu sur un peuple généreux mais non éclairé de la lumière de l'Évangile.
Elle eut soin de gagner les bonnes grâces d'un époux magnanime, mais violent et barbare ; elle usa de son influence pour lui parler de Jésus-Christ. Clovis l'écoutait avec intérêt ; toutefois, il ne se hâtait pas ; il lui permit cependant de faire célébrer le culte catholique dans le palais et consentit au baptême de son premier-né. Clotilde mettait sur la tête de cet enfant toutes ses espérances pour la conversion de son peuple, quand Dieu, dont les desseins sont impénétrables, le ravit à la terre. À la colère du roi, à ses reproches, la douce reine répondit : « Je remercie Dieu de ce qu'il m'a jugée digne de mettre au monde un fils qui est maintenant dans le Ciel. » Un second enfant fut baptisé encore et tomba malade. Nouvelle et plus terrible colère de Clovis ; mais les prières de Clotilde furent entendues, et Dieu envoya des Anges guérir tout à coup le petit agonisant. Le moment de la grâce était venu.
À la bataille de Tolbiac, après un choc terrible, les Francs pliaient, quand Clovis, dans une illumination soudaine, s'écria : « Dieu de Clotilde, donne-moi la victoire et tu seras mon Dieu ! » Le courage renaît à ses soldats et bientôt la victoire des Francs est complète. Peu après, Clovis était baptisé par saint Rémi, à Reims ; ce fut le signal du baptême de la nation entière.
Clovis meurt en 511, à l'âge de quarante-cinq ans, et Clotilde, dégoûtée du monde, éprouvée dans ses enfants, quitta bientôt la cour pour aller finir sa vie dans les larmes, les prières les aumônes, au fond d'un couvent. Prévenue du jour de sa mort, elle fit venir ses enfants, leur adressa ses dernières recommandations, et alla recevoir au Ciel sa récompense.

Elle est célébrée le 3 juin au Martyrologe Romain mais en France sa mémoire est reportée au lendemain (4 juin).
 
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.


































SANTA CLOTILDE REGINA DEI FRANCHI / I


 





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wikipédia . en ligne samedi 4 Juin 2016

Clotilde (femme de Clovis)

Clotilde de Burgondie
Description de cette image, également commentée ci-après
La reine Clotilde (vue d'artiste (XIXe siècle) - vitrail néogothique de l'église Saint-Martin de Florac)
Titre
vers 49327 novembre 511
(environ 18 ans)
Données clés
Prédécesseur
Successeur

Biographie
Titulature
Reine des Francs
Dynastie
Nom de naissance
Crotechildis de Burgundia
Surnom
Sainte Clotilde
Naissance
vers 474 ou 475
Décès
Père
Mère
Carétène
Conjoint
Enfants
Sainte Clotilde
Image illustrative de l'article Clotilde (femme de Clovis)
Sainte Clotilde prie saint Martin, Grandes Chroniques de France de Charles V, f.23r
Décès
Nationalité
burgonde
Fête
Clotilde2 (du germanique hlod, « gloire » et hild, « combat »3), née vers 474 ou 4754 peut-être à Vienne, Lyon ou à Genève, morte autour de 5455 à Tours, est une princesse burgonde, devenue reine des Francs en épousant Clovis, qu'elle contribue à convertir au christianisme.
Elle a été canonisée vers 550 ou 560 ; l'Église orthodoxe et l'ancien martyrologe romain la fêtent le 3 juin (dies natalis), et l'Église catholique le 4 juin6,7.

Sommaire

Biographie

Origine familiale

Les origines de Clotilde remontent fort loin. « Estonienne » par les Balthes et « norvégienne » par les Burgondes, elle faisait partie d'une famille royale des bords de la mer Baltique entrée dans un clan wisigoth lors d'une soumission des Estes aux Goths8.
Elle est la fille du roi burgonde Chilpéric II, fils du roi Gondioc et frère de Gondebaud, Godegisile et Gondemar. Le nom de la mère de Clotilde n'est pas connu.
L'enfance et la jeunesse de Clotilde se déroulent à la cour burgonde sous les règnes de Gondioc, mort dans les années 470, puis de Chilpéric 1er, mort vers 480, puis sous le règne conjoint des quatre fils de Gondioc.
Deux d'entre eux, Gondemar et Chilpéric II, père de Clotilde, disparaissent durant les années 480, laissant la place à Gondebaud et Godegisile, seuls rois des Burgondes dans les années 490. Cette disparition de deux des frères est l'objet d'un certain nombre d'interrogations.

La mort du père de Clotilde

Dans son Histoire des Francs, Grégoire de Tours donne une version plutôt tragique de la disparition de Chilpéric II :
« Gondioc avait été roi des Burgondes …. Il avait eu quatre fils : Gondebaud, Godégisèle, Chilpéric et Gondemar. Gondebaud égorgea Chilpéric son frère et noya la femme de celui-ci en lui attachant une pierre au cou. Il condamna à l'exil ses deux filles ; l'aînée, qui prit l'habit, s'appelait Croma, la plus jeune Clotilde. Or, comme Clovis envoie souvent des ambassades en Bourgogne, la jeune Clotilde est aperçue par ses ambassadeurs. Comme ils l'avaient trouvée élégante et sage et qu'ils avaient su qu'elle était de famille royale, ils l'annoncèrent au roi Clovis. Sans tarder, celui-ci envoie à Gondebaud une ambassade pour la demander en mariage. Ce dernier n'osant pas opposer un refus la remit aux ambassadeurs, et ceux-ci, amenant la jeune fille, la présentant au plus vite au roi. Quand il l'eut vue, le roi fut rempli d'une grande joie et il se l'associa par le mariage, alors qu'il avait déjà d'une concubine un fils nommé Thierry.  »
— Grégoire de Tours, Historia Francorum, livre II, paragraphe XXVIII, traduction Robert Latouche, Les Classiques de l'histoire de France au Moyen Âge, volume 27, p. 116-117, in La Bourgogne au Moyen Âge, Académie de Dijon, Centre régional de recherche et de documentation pédagogique, Dijon, 1972.
Donc selon Grégoire de Tours, le père et la mère de Clotilde ont été exécutés par Gondebaud, mais il ne précise pas pour quelles raisons, ni dans quelles circonstances. Clotilde et sa sœur Croma échappent au massacre. Elles sont condamnées à l'exil, mais apparemment, quelques années après, alors que Croma est devenue religieuse, Clotilde est présente à la cour de Gondebaud où des ambassadeurs francs la remarquent et la signalent à Clovis, qui la demande en mariage (par l'intermédiaire, selon le Liber Historiae Francorum et Frédégaire, de son conseiller Aurélien).
Le récit (très court) du massacre a ensuite été repris par le Liber Historiae Francorum, chronique du VIIIe siècle, qui en augmente la portée tragique en introduisant deux fils de Chilpéric, décapités par l'oncle régicide9.
Quoi qu'il en soit de la réalité de cet épisode, Clotilde a reçu à la cour de Gondebaud une éducation non seulement soignée mais aussi chrétienne, sans doute transmise par la reine chrétienne Carétène que l'on pense épouse de Gondebaud.

Reine des Francs

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Clovis voulait épouser Clotilde. Mais, si Clovis voulait l'épouser, il devait se convertir au Christianisme.
Cela se passa au cours de la bataille de Tolbiac. Clovis était en train de perdre et il invoquait ses dieux. Mais, comme rien ne se passait, il appela le Dieu de Clotilde (Jésus) en lui promettant que, s'il était vainqueur, il se convertirait.
Dieu lui accorda la victoire, et Clovis se convertit.
Clotilde épouse Clovis vers 493 à Soissons10.
En dépit d'une époque manquant de sources écrites, la vie de Clotilde en tant que reine des Francs était parfois mentionnée en détail dans une biographie de saint Remi de Reims écrite avant que saint Grégoire de Tours ne naisse et citée fréquemment par ce dernier, de laquelle la plupart des renseignements sont adoptés par les historiens contemporains11. La reine chrétienne était donc effectivement protégée par cet évêque et conseiller.
Selon Grégoire de Tours, elle a exercé une influence pour l'amener au baptême. Avant cet événement, dont la date n'est pas connue avec une absolue certitude12, elle prend même l'initiative de faire baptiser ses deux premiers fils sans prendre l'avis de son époux. Le premier, appelé Ingomer, meurt immédiatement après le baptême13. Grégoire de Tours rapporte que le roi en éprouve de l'amertume et en fait le reproche à la reine14. La même chose faillit arriver après la naissance de Clodomir (vers 495), mais ce dernier se rétablit. Le couple a d'autres enfants, d'abord deux fils, Childebert (vers 497) et Clotaire (vers 498), puis une fille, Clotilde, qui sont tous baptisés et parviennent à l'âge adulte10.
Le baptême du roi Clovis et sa sœur Alboflède fut célébré11 lors d'un Noël, vraisemblablement entre 496 et 49915,16.
Clovis et Clotilde résident le plus souvent à Clichy, Épineuil, Chelles, Rueil ou Bonneuil. Après sa victoire de Vouillé sur les Wisigoths en 507, le roi fait de Paris sa capitale10.
Avant que Clovis ne meure en 511, le couple souverain avait fait bâtir la basilique des Saint-Apôtres sur la rive gauche de la Seine, où le roi fut inhumé17,18.

Le veuvage à Tours

Selon Grégoire de Tours, la reine restait encore à Paris, en continuant probablement à influencer ses trois fils, Clodomir, Childebert et Clotaire, mais notamment afin de soutenir Clodomir et sa famille19.
Puis, vraisemblablement à la suite de la mort de Clodomir en 524, Clotilde se retira à Saint-Martin de Tours.
Femme politique, elle les amena à monter une expédition contre le royaume burgonde des fils de Gondebaud, vraisemblablement pour venger ses parents assassinés (selon Grégoire de Tours). Son fils Clodomir fut tué pendant cette guerre, à la bataille de Vézeronce.
Elle tenta de protéger les trois fils de Clodomir, mais ne put sauver que Clodoald, le futur saint Cloud, tandis que les deux autres étaient massacrés par leurs oncles.
Pour secourir sa fille envoyée en Espagne dès 511 (et également prénommée Clotilde), elle poussa Childebert à attaquer l'époux de celle-ci, le roi wisigoth Amalaric qui la maltraitait. À Tours, elle imposa des évêques burgondes réfugiés auprès d'elle.
Veuve très pieuse, Clotilde est la première reine chrétienne qui ait fondé plusieurs établissements religieux. Si, faute de documents sûrs, certains restent légendaires tel l'ancien couvent royal aux Andelys20,21, de nos jours, deux édifices sont certainement attribués à cette reine. D'une part, il s'agit de la basilique Saint-Germain d'Auxerre. Des recherches archéologiques indiquent que l'aménagement de celle-ci remonte à l'époque de Clotilde. Comme elle était une princesse de Bourgogne, ce soutien peut être effectivement expliqué22,23. D'autre part, dans la villa royale située à Chelles près de Paris, elle fonda un oratoire dédié à Saint Georges. Les sources furent soigneusement établies en 1971 par un historien allemand24. En raison de cette légitimité, sous le règne des premiers Carolingiens, cet établissement devint l'abbaye royale de femmes la plus distinguée à l'époque, en y accueillant la sœur de Charlemagne, Gisèle25. De plus, saint Grégoire de Tours attribuait, d'après des manuscrits, l'origine de l'abbaye royale Saint-Martin de Tours à Clotilde, à la fin de l'Histoire des Francs Livre II26.
D'ailleurs, il est possible que ses dernières années à Tours aient contribué la naissance de cette précieuse chronologie de Grégoire, écrite pendant l'époque de la décadence des petits-fils de Clovis. Car, pour les habitants de Tours, il s'agissait d'une reine pieuse et d'un témoin de la conversion de Clovis et du peuple barbare à la foi catholique, et non d'un personnage légendaire27.

Décès

tombeau de Clovis Ier et Sainte Clotilde
Vitrail de l'atelier Charles Champigneulle (1895) représentant Sainte Clotilde - Eglise Notre-Dame de Sablé-sur-Sarthe.
Statue de Clotilde dans la série Reines de France et Femmes illustres du Jardin du Luxembourg à Paris.
Tour Clovis dans l'actuel lycée Henri-IV, à Paris.
Elle termina ses jours dans la piété, auprès du tombeau de saint Martin, à Tours où elle mourut, le 3 juin 544, 545 ou 548. Elle fut inhumée par ses fils Childebert et Clotaire à Paris aux côtés de son époux Clovis, dans le sacrarium de la basilique des Saints-Apôtres, future Abbaye de Sainte-Geneviève, qu'elle avait contribué à fonder28.

Postérité

Vénération

Les chanoines de l'abbatiale, fuyant les invasions normandes au IXe siècle, procèdent à la translation de sa châsse au château de Vivières. Lors du retour de ses reliques à la abbaye Sainte-Geneviève de Paris29, la paroisse de Vivières garde sa tête et un bras dans un reliquaire désormais abrité dans l'église. Un pèlerinage national, dédiée à sainte Clotilde, est annuellement organisé par la paroisse de Vivières. L'organisation est, plus précisément, déléguée à la confrérie sainte Clotilde30 qui bénéficie, depuis le milieu des années 1980, du soutien du centre Charlier. Existant depuis 1947, il se déroule généralement le troisième dimanche de juin.
Sainte Clotilde est particulièrement vénérée dans la Collégiale Notre-Dame des Andelys depuis qu'en 1656, l'église reçut en relique une côte de la sainte31.
En 1793, les restes de Clotilde auraient été brûlés32 pour éviter aux moines génovéfains, détenteurs de ces reliques, la fureur des sans-culottes et lui épargner la profanation révolutionnaire. Ses cendres sont alors déposées dans l'église Saint-Leu-Saint-Gilles et une partie concédées à la basilique Sainte-Clotilde de Reims.

L'église Saint-André de l'abbaye de Chelles conserve également une châsse qui lui est attribuée, de même l'église Sainte-Clotilde de Chambourcy.

Voies publiques

  • "Rue Clotilde" : à Paris (5e arrondissement), Issy-les-Moulineaux
  • "Rue Sainte Clotilde" : à Lyon (1er arrondissement)
  • "Rue à Clotilde" : à L'Île-d'Yeu, Vendée
  • "Avenue Sainte-Clotilde": à Genève, (quartier de la Jonction) où se trouve l'église du même nom

Patronne de l'aviation légère de l'armée de terre

Depuis 1995 l'Aviation légère de l'armée de terre a choisi sainte Clotilde pour patronne. C'est en effet à ses prières que Clovis put être victorieux à Tolbiac en « submergeant l'ennemi sous le feu du ciel », ce qui est précisément aujourd'hui la fonction des hélicoptères de combat de l'armée française.

Voir aussi

Bibliographie

Sources
  • Grégoire de Tours, Historia Francorum, traduction de Robert Latouche, Les Classiques de l'histoire de France au Moyen Âge
Ouvrages généraux
  • Stéphane Lebecq, Les Origines franques, Ve - IXe siècle, Seuil (Nouvelle histoire de la France médiévale, 1), 1990, (ISBN 2-02-011552-2), pages 45-60 (première partie, chapitre 1 : « Clovis (481-511) »)
  • Régine Le Jan, Les Mérovingiens, PUF, coll. « Que sais-je », Paris, 2006, 128 p. [ISBN 2-13-055481-4]
Sur Clovis
Sur Clotilde

Articles connexes

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Liens externes

Notes et références

  1. Settipani 1993
  2. Écrite aussi Chrodichild, Chrodechilde, Chrodechildis, en latin Chrodigildis ; les formes médiévales du nom (Chlothilde, Clothilde, Clotilde), sont dérivées de ces noms originels.
  3. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des prénoms, Paris, Larousse,‎ 16 septembre 2009 (ISBN 978-2-03-583728-8), p. 132
  4. selon le Larousse 2011 et également selon Christian Bouyer (Dictionnaire des Reines de France, 1992)
  5. La date traditionnelle de 545 n'est pas certaine ; Stéphane Lebecq, Les Origines franques, page 45, indique 544 (son long veuvage de 511 à 544 ; M. Heinzelmann, "Gallische Prosopographie 260-527", dans Francia, 1982, page 584, indique 548, de façon apparemment mieux étayée.
  6. (en) St Clotilda [archive], Catholic Encyclopedia
  7. Sainte Clotilde [archive] sur nominis.cef.fr
  8. Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, 1996 (ISBN 2-2135-9632-8), page 242.
  9. Sur cette affaire, voir notamment Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard,‎ 1996 (ISBN 2-2135-9632-8), p. 229-232.
  10. a, b et c Christian Bouyer, Dictionnaire des Reines de France, Librairie académique Perrin, 1992 ISBN 2-262-00789-6
  11. a et b http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=PA219 [archive] Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Livre II, 31 ; Saint Grégoire de Tours ne donnait ni précision du temps ni lieu. Mais, ce livre suggère qu'il s'agit de Reims où la célébration fut tenue. Il écrivit ce passage selon une biographie de saint Remi de Reims, écrite peu après sa mort (saint Grégoire écrivit : « Nous avons encore aujourd'hui un livre de sa vie, où il est dit qu'il resssuscita un mort. »)
  12. Stéphane Lebecq, page 51, le situe en 498 (sous réserves) ; Régine Le Jan, page 14, en 508.
  13. http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=209 [archive] Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Livre II, 29
  14. Rouche 2013, p. 246
  15. Didier Feuer et Jean d'Hendecourt, Dictionnaire des Souverains de France et de leurs épouses, p. 133, Pygmalion, Paris 2006
  16. Claude Gauvard, Joël Cornette et Emmanuel Fureix, Souverains et rois de France, p. 15, Éditions du Chêne, Paris 2005 : « On ignore à quelle date se situe le baptême de Clovis, en 496 ou en 499, mais on sait que la cérémonie a lieu à Noël, par immersion dans le baptistère de Reims dont on a retrouvé les traces archéologiques dans l'allée centrale de la cathédrale gothique, et que l'évêque Remi en a été l'instigateur et le célébrant. »
  17. http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=PA261 [archive] Grégoire de Tours, livre II, 43
  18. Didier Feuer et Jean d'Hendecourt, Dictionnaire des Souverains de France et de leurs épouses, p. 134
  19. http://books.google.fr/books?id=f-CjsK1EhR4C&pg=PA317 [archive] Livre III, 18
  20. http://sanctuaires.coldev.org/index.php?r=cons&sr=cons&id=461 [archive]
  21. http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b84472943/f1 [archive]
  22. http://www.auxerre.culture.gouv.fr/fr/his/f_bas.htm [archive]
  23. Auparavant, avant ces recherches archéologiques, cette attribution était contestée, faute de documents certains. Par exemple, http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1976_num_62_168_1574 [archive] p. 210
  24. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/crai_0065-0536_1975_num_119_3_13148 [archive] p. 371
  25. Godefroid Kurth, Clovis, p. 513, Tallandier, 2000
  26. Selon la traduction de François Guizot. Celle de Joseph Guadet ne mentionnait que son séjour. Donc, cela dépendrait des manuscrits.
  27. http://expositions.bnf.fr/carolingiens/antho/02.htm [archive] site officiel de la BNF, Trésors carolingiens
  28. Grégoire de Tours, Histoire ecclésiastique des francs, J. L. J. Brière,‎ 1823 (lire en ligne [archive]), « Livre IV », p. 152
  29. Une châsse opulente conservait ses restes. Source : Acta Sanctorum, t. I, p. 293
  30. Page internet de la Confrérie sainte Clotilde [archive]
  31. La sépulture de Clovis et la nécropole royale mérovingienne [archive]
  32. Clotilde reine et sainte [archive]

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