Les injures d’IBRAIMOVITCH au
Président, à la France, le tableau des vertus foot…
s’enrichit… les 20 millions de « salaire » dudit. GAUCK, le
président allemand, au comble de la popularité, ne souhaite
pas un second mandat. TRUMP et Hillary, donc : le duel. Le
danger et la médiocrité. Nous sommes, nous le reste du
monde, bien lotis. Pas d’écho de cette rumeur : le Sénat
supprimé en projet-surprise du gouvernement, préférant faire
du texte que de gérer économie et société efficacement et
consensuellement. – Prier… ce jeune martyr hongrois. Istvan
SANDOR. Nous n’insistons pas assez sur ces martyrs des cent
dernières années : certes la colonisation et la réaction
contre l’envahisseur étranger en Extrême-Orient et en
Afrique sub-saharienne, mais les non-Juifs en camps de la
mort et le système totalitaire soviétique en Europe de
l’Est. Nous ne nous conduisons pas en débiteurs devant
l’éternité, de ces martyrs de notre foi. Je suis de plus en
plus atterré de l’indifférence générale – non possumus – de
la vraie situation, au moins en France, la foi, la vie
spirituelle chrétienne, la pratique sacramentelle ne sont
plus une ambiance familiale ni même une transmission, une
proposition, y compris dans les écoles dites chrétiennes,
diocésaines, etc… par conséquent dans les vingt ans à
venir : plus personne. Déjà l’exceptionnalité de la jeunesse
en messes paroissiales. Et puis tous ces « foyers
mono-parentaux », ces divorces, ces séparations, une sorte
d’atrophie chez les conjoints et imposée aux enfants. Nos
présidents depuis…
Elie et les prêtres de Baal, récit
imagé pour les enfants, je m’en souviens encore en classe de
5ème. Elie ayant ressuscité le fils de son
hôtesse, la veuve de Sarepta, fait publiquement aussi
spectaculaire. Une journée de transe pour Baal n’aboutit à
rien : la magie des Egyptiens avait été davantage
concurrentielle du bâton de Moïse. Elie, c’est le record :
un taureau immolé, son bûcher, de l’eau ruisselant dessus et
partout, alors le
feu du Seigneur tomba, il dévora la victime et le bois, les
pierres et la poussière, et l’eau qui était dans la rigole.
Tout le peuple en fut témoin ; les gens tombèrent face contre
terre et dirent : « C’est le Seigneur qui est Dieu ! C’est le
Seigneur qui est Dieu ! La
prière. Réponds-moi, Seigneur, réponds-moi, pour que
tout ce peuple sache que c’est toi, Seigneur, qui es Dieu, et
qui as retourné leur cœur ! Les premiers miracles de
Pierre. Je réalise que, sauf erreur, les Actes n’en rapporte
aucun de Paul…Comment cela avait-il commencé ? toujours, ce
roi Acab. Elie : « combien de temps allez-vous danser
pour l’un et pour l’autre ? Si c’est le Seigneur qui est Dieu,
suivez le Seigneur ; si c’est Baal, suivez Baal ». Et la foule
ne répondit mot. [1]
L’évangile n’est pas toujours spectaculaire…familiarité
tranquille du Christ, Lui et la Loi mosaïque, en fait la
relation entre les deux Testaments. La continuité, je
ne suis pas venu abolir, mais accomplir pleinement.
Le livre de KERTZER, le pape et
Mussoliniebat[2]…
des affirmations et des fauits très nombreux, des références
pas toutes d’archives, mais de mémoires et travaux
antérieurs, pénétration psychologique des deux protagonistes
qui pourrait être plus grande. Mais, malgré ces faiblesses,
le livre est particulièrement stimulant. La responsabilité
personnelle des papes, l’Eglsie et la démocratie, l’Eglise
et le social, l’Eglise et ses troupes. J’y reviens en
première synthèse de ce que cela m’inspire.
[1]
- 1er Rois XVIII
20 à 39 ; psaume XVI ; évangile selon saint Matthieu V 17
à 19
[2]
- David I. KERTZER, Le Pape
et Mussolini (les
Arènes . Février 2016 . 569
pages)
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