jeudi 2 juin 2016

saint Pothin, évêque . 85 + 177 --- sainte Blandine, vierge 162 + 177 --- et leurs 46 compagnons martyrs († 177)



Pothin fut le premier évêque de Lyon. Il venait de l'Asie, avait été formé à l'école de saint Polycarpe, évêque de Smyrne, et envoyé par lui dans les Gaules. Pothin, après avoir gagné un grand nombre d'âmes à Jésus-Christ, fut arrêté sous le règne de Marc-Aurèle. Il était âgé de quatre-vingt-dix ans, faible et tout infirme ; son zèle et le désir du martyre soutenaient ses forces et son courage. Conduit au tribunal au milieu des injures de la populace païenne, il fut interrogé par le gouverneur, qui lui demanda quel était le Dieu des chrétiens : « Vous le connaîtrez si vous en êtes digne » répondit l'évêque. À ces mots, la multitude furieuse se précipite contre lui ; ceux qui étaient plus près le frappèrent à coups de pieds et à coups de poings, sans aucun respect pour son âge. Le vieillard conservait à peine un souffle de vie quand il fut jeté en prison, où il expira peu après.
Le récit du martyre des compagnons de saint Pothin est une des plus belles pages de l'histoire de l'Église des premiers siècles. Le diacre Sanctus supporta sans faiblir toutes les tortures, au point que son corps était devenu un amas informe d'os et de membres broyés et de chairs calcinées ; au bout de quelques jours, miraculeusement guéri, il se trouva fort pour de nouveaux supplices. Il ne voulait dire à ses bourreaux ni son nom, ni sa patrie, ni sa condition ; à toutes les interrogations il répondait : « Je suis chrétien ! » Ce titre était tout pour lui ; livré enfin aux bêtes, il fut égorgé dans l'amphithéâtre. Maturus eut à endurer les mêmes supplices que le saint diacre ; il subit les verges, la chaise de fer rougie au feu, et fut enfin dévoré par les bêtes féroces. Le médecin Alexandre, qui, dans la foule des spectateurs, soutenait du geste le courage des martyrs, fut saisi et livré aux supplices.
Attale, pendant qu'on le grillait sur une chaise de fer, vengeait les chrétiens des odieuses imputations dont on les chargeait indignement : « Ce ne sont pas, disait-il, les chrétiens qui mangent les hommes, c'est vous ; quand à nous, nous évitons tout ce qui est mal. » On lui demanda comment s'appelait Dieu : « Dieu, dit-il, n'a pas de nom comme nous autres mortels. »
Il restait encore le jeune Ponticus, âgé de quinze ans, et l'esclave Blandine, qui avaient été témoins de la mort cruelle de leurs frères ; Ponticus alla le premier rejoindre les martyrs qui l'avaient devancé ; Blandine, rayonnante de joie, fut torturée avec une cruauté particulière, puis livrée à un taureau, qui la lança plusieurs fois dans les airs ; enfin elle eut la tête tranchée.

 Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

SANTA BLANDINA MARTIRE DI LIONE / A




 





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Sainte Blandine de Lyon est une fidèle d'origine levantine ou plus probablement micrasiate de la première communauté chrétienne de Lyon. Jeune esclave, Blandine a été martyrisée à Lyon sous Marc-Aurèle en juillet 177 avec 47 autres chrétiens de Lyon et de Vienne (Martyrs de Lyon). Leur martyre a été relaté par des témoins oculaires qui ont rédigé une « Lettre des Églises de Lyon et de Vienne » adressée aux Églises de Phrygie et d'Asie et retranscrite au IVe siècle par Eusèbe de Césarée dans son Histoire ecclésiastique. Il s'agit ainsi d'événements d'une historicité sûre. Blandine a effet fait preuve d'un courage extraordinaire qui conduit certains de ses compagnons qui avaient renié leur foi sous la torture à se rétracter et à souffrir en martyrs. Livrée aux bourreaux qui avouent n'avoir jamais vu femme souffrir si courageusement, elle se borne à répéter : « Je suis chrétienne ; il ne se fait point de mal parmi nous ». Suspendue par les bras et livrée aux bêtes, les lions refusèrent de dévorer Sainte Blandine lors de son martyre. Elle fut torturée et dut assister à la mort de ses compagnons. Elle fut ensuite flagellée, placée sur un grill brûlant, puis livrée dans un filet à un taureau qui la lança en l'air avec ses cornes. Ayant survécu au taureau, Sainte Blandine fut achevée par le glaive. Elle fut la dernière immolée des 48 martyrs de Lyon de l'été 177.
 
Sainte Blandine est la patronne de la ville de Lyon. Elle est aussi avec Sainte Marthe patronne des servantes. Dans l'iconographie, elle est représentée par le filet, le taureau, le gril, le lion et l'ours.

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Sainte Blandine, dite de Lyon, est une chrétienne d’origine du Proche Orient. Elle vécut de la première communauté chrétienne de Lugdunum (Lyon). Elle fut martyrisée durant le mois de juillet 177 sous Marc Aurèle.
Sainte Blandine

Qui était Sainte Blandine ?

À l’origine esclave romaine, Blandine se joint à la communauté chrétienne. Blandine et ses 47 compagnons (dont l’évêque de Lyon, Saint Pothin) sont morts soit en prison, soit livrés aux bêtes dans l’amphithéâtre des Trois Gaules, retrouvé sous le jardin des plantes de la Croix-Rousse.
Ayant survécu à l’incarcération, Blandine fut livrée aux bêtes qui refusèrent de lui faire le moindre mal. Elle fut torturée et dut assister à la mort de ses compagnons. Elle fut ensuite flagellée, placée sur un grill brûlant, puis livrée dans un filet à un taureau qui la lança en l’air avec ses cornes.
Ayant survécu à toutes ces horreurs, Blandine fut finalement égorgée par le bourreau à la fin des jeux où elle parut : elle fut la dernière des 47 martyrs de Lyon à accomplir son martyre durant l’été 177.
Une légende tardive en a fait une toute jeune fille émouvante par sa fragilité, thème souvent représenté par les peintres lyonnais du XIXe siècle. En réalité il s’agissait d’une femme d’âge mur comme le montrent les termes employés par la Lettre des martyrs pour la désigner, et par le fait qu’elle est comparée, pour son attitude à l’égard de ses compagnons, à la mère des sept frères martyrs du 2e Livre des Macchabées.
Sainte Blandine est la patronne de la ville de Lyon. Elle est aussi, avec sainte Marthe, patronne des servantes.
Parvis de l'église Sainte-Blandine à Lyon
Parvis de l’église Sainte-Blandine à Lyon

Le martyre de Saint Pothin et de ses compagnons

Saint Pothin fut le premier évêque de Lyon. Il venait de l’Asie, avait été formé à l’école de saint Polycarpe, évêque de Smyrne, et envoyé par lui dans les Gaules.
Saint Pothin - Vitrail
Saint Pothin – Vitrail
Pothin, après avoir gagné un grand nombre d’âmes à Jésus-Christ, fut arrêté sous le règne de Marc-Aurèle. Il était âgé de quatre-vingt-dix ans, faible et tout infirme. Son zèle et le désir du martyre soutenaient ses forces et son courage.
Conduit au tribunal au milieu des injures du peuple païen, il fut interrogé par le gouverneur, qui lui demanda quel était le Dieu des chrétiens : « Vous le connaîtrez si vous en êtes digne« , répondit l’évêque. A ces mots, la multitude furieuse se précipite contre lui. Ceux qui étaient plus près le frappèrent à coups de pieds et à coups de poings, sans aucun respect pour son âge. Le vieillard conservait à peine un souffle de vie quand il fut jeté en prison, où il expira peu après.
Le récit du martyre des compagnons de Saint Pothin est une des pages les plus marquantes de l’histoire de l’Église des premiers siècles.
Le diacre Sanctus supporta sans faiblir toutes les tortures, au point que son corps était devenu un amas informe d’os et de membres broyés et de chairs calcinées. Au bout de quelques jours, miraculeusement guéri, il se trouva fort pour de nouveaux supplices. Il ne voulait dire à ses bourreaux ni son nom, ni sa patrie, ni sa condition; à toutes les interrogations il répondait: « Je suis chrétien ! » Ce titre était tout pour lui. Livré enfin aux bêtes, il fut égorgé dans l’amphithéâtre.
Maturus eut à endurer les mêmes supplices que le saint diacre. Il subit les verges, la chaise de fer rougie au feu, et fut enfin dévoré par les bêtes féroces.
Le médecin Alexandre, qui dans la foule des spectateurs, soutenait du geste le courage des martyrs, fut saisi et livré aux supplices.
Attale, pendant qu’on le grillait sur une chaise de fer, vengeait les chrétiens des odieuses imputations dont on les chargeait indignement : « Ce ne sont pas, disait-il, les chrétiens qui mangent les hommes, c’est vous, quand à nous, nous évitons tout ce qui est mal. » On lui demanda comment s’appelait Dieu: « Dieu, dit-il, n’a pas de nom comme nous autres mortels. »
Il restait encore le jeune Ponticus, âgé de quinze ans, qui avait été témoin de la mort cruelle de ses frères.

L’Amphithéâtre des trois Gaules

Construit en l’an 19 au-dessus du bourg gaulois de Condate, à l’extérieur de la cité romaine, l’Amphithéâtre fut agrandi un siècle plus tard à la demande d’Adrien et mesure 147 x 120 m.
L'Amphithéâtre des trois Gaules à Lyon
L’Amphithéâtre des trois Gaules à Lyon
L’Amphithéâtre accueillait spectacles et jeux du cirque. Chaque année, les représentants des 60 nations gauloises s’y réunissaient et renouvelaient leur serment d’allégeance à Rome et Auguste autour de l’autel fédéral, aujourd’hui disparu.
Dans cet amphithéâtre périrent, en 177 après JC, les premiers martyrs chrétiens des Gaules, dont Sainte-Blandine, Saint-Irénée et Saint-Pothin. Ce dernier, premier évêque de Lyon, a donné à l’Église de Lyon un rôle pionnier dans la diffusion des idées chrétiennes en Gaule romaine. L’Amphithéâtre comporte un poteau qui évoque les martyrs de Lyon.

Pour en savoir plus

Sous Marc-Aurèle, les chrétiens sont persécutés. A Lyon, capitale des Gaules, on offre en spectacle à la population des chrétiens martyrisés. Blandine, Pothin, mais aussi Alexandre, Ponticus…

 

wikipédia – en ligne . jeudi 2 juin 2016

Sainte Blandine
Image illustrative de l'article Blandine de Lyon
Blandine de Lyon, sainte martyre.
Fresque de la chapelle orthodoxe de la Dormition de la Mère de Dieu (Drôme).
Sainte martyr
Naissance
Vers 162
Décès
Août 177  (15 ans)
Lugdunum
Vénéré à
Vénéré par
Fête
Attributs
Un filet, un taureau, un gril, un lion et/ou un ours à ses pieds
Saint patron
Lyon, servantes
Sainte Blandine, dite de Lyon, est une chrétienne (peut-être d'origine levantine ou micrasiate[réf. nécessaire]) de la première communauté chrétienne connue de Lugdunum (Lyon). Elle est martyrisée durant le mois de juillet 177 sous Marc Aurèle.
Fêtes le 2 juin (synaxe de tous les Martyrs de Lyon, jour de la mort du premier d'entre eux l'évêque Pothin, usage occidental), le 25 juillet (Blandine seule, usage oriental), le 8 août (commémoration des quatre derniers martyrs, Alexandre, Attale, Pontique et Blandine, ancien usage occidental) et le 9 août dans le calendrier de l'Archidiocèse de Lyon.
Blandine est la patronne de la ville de Lyon. Elle est aussi, avec Sainte Marthe, patronne des servantes. Dans l'iconographie de sainte Blandine, on trouve le filet, le taureau, le gril, le lion et l'ours. Elle est souvent représentée attachée à un pilier avec un lion et l'ours à ses pieds.

Sommaire

Biographie

À l'origine esclave romaine, elle se joint à la communauté chrétienne. Blandine et ses 47 compagnons (dont l'évêque de Lyon, Saint Pothin) sont les Martyrs de Lyon qui sont persécutés pendant l'été 177 : ils meurent en prison pour les uns, décapités (en vertu de leur citoyenneté romaine) ou livrés en pâture aux bêtes dans l'amphithéâtre des Trois Gaules (retrouvé sous le jardin des plantes de la Croix-Rousse) pour les autres.
Amphithéâtre des Trois Gaules, avec au fond le poteau évoquant les martyrs de Lyon.
Les martyrs de Lyon sont connus grâce un témoin oculaire : l'auteur de la Lettre des chrétiens de Lyon à l'Église de Smyrne, qui a été insérée telle quelle par Eusèbe, évêque de Césarée, dans son Histoire ecclésiastique.

Détention et exécution

Après avoir survécu à son incarcération, Blandine fait partie de six des quarante-sept martyrs de Lyon à être condamnés à l'arène. Lorsqu'elle est interrogée, elle garde systématiquement le même discours : « Je suis chrétienne et nous ne faisons aucun mal. » (Pour favoriser leur arrestation, les martyrs de Lyon ont été accusés d'inceste et de cannibalisme1).
Dans un premier temps, elle est livrée aux bêtes, et ses compagnons se posent la question, en la voyant si frêle : « Aura-t-elle la force de tenir bon jusqu’au bout ? Ne va-t-elle pas apostasier ? ». Remarquant que les bêtes ne veulent lui faire aucun mal, Blandine, du haut de son poteau, prie, chante des cantiques et encourage ses compagnons à mourir pour le Christ2.
Vitrail de Saint-Blandine à l'église Saint-Pothin de Lyon.
Elle est par la suite flagellée, placée sur un gril brûlant puis livrée dans un filet à un taureau qui la lance en l'air avec ses cornes. Comme elle survit, elle est renvoyée en prison, où elle garde un calme impressionnant alors que sa famille de substitution se fait massacrer. Sa quiétude est cependant ébranlée devant la martyrisation de son ami Pontique. Blandine doute de la solidité de sa foi, mais Pontique résiste à l’apostasie et meurt pour sa foi chrétienne.
À la mort de Pontique, Blandine est la dernière de ses quarante-sept compagnons à être suppliciée. Seule dans l'arène, les spectateurs romains s’étonnent de voir que la dernière survivante est la jeune fille qui parait si fragile. Certains parlent entre eux : « On n’a jamais vu une femme souffrir aussi courageusement que cette esclave... », pendant que d'autres lui crient : « Abjure donc ! Sacrifie à nos dieux ! Tu auras la vie sauve ! », mais Blandine ne répond pas, le regard rivé vers le ciel2.
Elle est finalement égorgée en août 177 par le bourreau, à la fin des jeux où elle a paru. Son corps et ceux des autres martyrs sont brûlés, et leurs cendres sont jetées dans le Rhône.

Postérité

En 1986, 1809 ans après les faits, le pape Jean-Paul II, alors en voyage à Lyon, déclare à son sujet et celui de ses compagnons 3 : « Ils n'ont pas voulu renier Celui qui leur avait communiqué sa vie et les avait appelés à être ses témoins. Nous savons qu'ils sont nombreux aujourd’hui encore, et dans toutes les parties du monde, ceux qui subissent les outrages, le bannissement et même la torture à cause de leur fidélité à la Foi chrétienne. En eux le Christ manifeste sa puissance. Les martyrs d’aujourd’hui et les martyrs d'hier nous environnent et nous soutiennent pour que nous gardions nos regards fixés sur Jésus ».

Culture

En 2015, le groupe de rap Leader Vocal sort le titre Blandine, à travers lequel il dénonce la persécution des chrétiens dans le monde4.

Articles connexes

Liens externes

Sources

  1. « Lettre des chrétiens de Vienne et de Lyon à leurs frères d’Asie et de Phrygie » [archive].
  2. a et b « Blandine, l’esclave héroïque » [archive].
  3. « Sainte Blandine, Saint Pothin et ses compagnons martyrs » [archive].
  4. http://www.aleteia.org/fr/video/decouvrez-le-teaser-de-blandine-nouveau-titre-de-leader-vocal-5781985385512960 [archive].

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Saint Pothin de Lyon


Image illustrative de l'article Pothin de Lyon
Vitrail de Saint-Pothin dans l'église éponyme de Lyon


Naissance
vers 85


Décès
177  (Plus de 90 ans)
Lyon, Gaule
Vénéré à
Vénéré par
Fête
Saint patron
Saint Pothin ou plutôt saint Photin (Pothinus en latin, Ποθεινος en grec) , fut le premier évêque de Lyon et le premier évêque de Gaule.

Sommaire

Biographie

On ne connaît que les conditions de son arrestation et de sa mort grâce à une lettre devenue célèbre, adressée peu après par l'Église de Lyon à celle d'Asie et reproduite par Eusèbe de Césarée dans son Histoire ecclésiastique. Il fut arrêté en 177 sous le règne de Marc Aurèle en même temps que Blandine et qu'un groupe de chrétiens qui forment les premiers martyrs de Lyon. Âgé alors de plus de quatre-vingt-dix ans et infirme, Pothin meurt en prison vraisemblablement le 2 juin à la suite des mauvais traitements infligés par ses bourreaux. Cependant, l'âge de sa mort (plus de 90 ans), à une époque ou l'espérance de vie était limitée est discuté. Mais les historiens modernes n'ont pas d'informations, mais dans tous les cas, Pothin était âgé de plus de 70 ans.
Arrivée de Saint Pothin, N.D. de Fourvières
Son nom simple et d'origine grecque semble indiquer une provenance orientale et qu'il n'a pas le statut de citoyen romain. Toutefois la signification de son nom – Pothin signifie en grec « Désiré » – peut également être un surnom indiquant qu'il a été attendu par la communauté chrétienne de Lyon. On ne sait pas quand il arrive à Lyon, ni quand il a été élu à l'épiscopat, ni l'étendue de son ministère. On estime qu'il a pu être élu évêque au milieu du IIe siècle. Il est à cette époque le seul évêque des Gaules et la lettre relatant sa mort semble indiquer qu'il a sous son magistère les communautés de Lyon et de Vienne.
Il est l'un des patrons du diocèse de Lyon, il est fêté le 2 juin, en même temps que sainte Blandine (à Lyon, Ste Blandine est fêtée séparément le 9 août) et leurs compagnons martyrs.
Il existe sur le site de l'Antiquaille, dans l'ancien couvent des Visitandines, une salle souterraine présentée comme le cachot de saint Pothin à côté d'une crypte dédiée aux martyrs de Lyon. Cette identification ne date que du XVIIe siècle et ne repose sur aucune source fiable.
Saint Irénée lui succède comme évêque de Lyon.

Bibliographie

Auteurs antiques

Auteurs modernes

  • André Pelletier, André Blanc, Pierre Broise, Jean Prieur, Histoire et Archéologie de la France ancienne, Rhône Alpes, éditions Horvath, 1988.
  • François Richard et André Pelletier, Lyon et les origines du christianisme en Occident, Éditions Lyonnaises d'Art de d'Histoire,‎ 2011, 125 p. (ISBN 978-2-84147-227-7)
  • Bernard Berthod, Jacqueline Boucher, Bruno Galland, Régis Ladous et André Pelletier, Archevêques de Lyon, Lyon, éditions Lyonnaises d'Art et d'Histoire,‎ 2012, 191 p. (ISBN 978-284147-228-4)

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