Lundi 31 Octobre 2016
Hier
15 heures 14 + La messe en paroisse,
notre église Saint-Symphorien pleine, arruié pour la fin de
l’homélie, je ne saurai donc pas s’il y a été fait allusion au
document des évêques. Une jeune femme, au dernier rang comme
moi, pieuse et préoccupée, allant à plusieurs repris à l’autel
de la Vierge auquel est maintenant associée Mère Thérésa. Je
vais la porter dans mon cœur et ma prière, muette et en
difficulte. La croix de notre tombe, choisie avec tant d’amour
par la mère de Beatrix, qui ajouta au modèle retenu, deux
roses, notre mère et moi, ou… sa fille et moi. L’ombre portée
sur la dalle est magnifiquement nette, allant jusqu’à nos
fleurs qui tiennent très bien, couleurs… roses blanches et
roses rouges, encore quelques-unes sur l’extension de la
concession. L’ensemble du cimetière est beau, chaleureux,
tendre, la touffeur sans prétention des chrysanthèmes. De la
présence. – Secouant mon inertie depuis la dizaine de jours où
j’avais commencé de lire leur adresse, je viens de courieller
mes notes à ceux des évêques dont j’ai l’adresse internet, et
nommément à Mgr. Georges PONTIER, président de leur conférence
[1].
– Déjeunant encore seul, en « célibataire géographique », au
long entretien donné par AJ aux Inrockuptibles (la" jupémania," en
couverture) [2] j’ai
préféré terminer de lire le troisième des reportages de KESSEL
sur les très grands procès de notre époque : celui d’Adolf
EICHMANN, passionnant de pénétration psychologique et de
dialectique pour cet exercice-précis. Je dirai un peu plus
tard comment je pense et vois l’ensemble de ces deux procès de
l’Allemagne nazie, comment je vois cette Allemagne-là. Il est
patent qu’il manque des procès de cette envergure pour
certains groupes financiers : la Goldman Sachs, ou certains systèmes de
renseignement et d’intervention : la C.I.A.. Cela m’a remis dans mon
projet de livre : le nécessaire procès en politique que
devrait subir et assumer chaque président en fin de mandat,
faire juger ses actes, répondre de ses lacunes et de ses
décisions, en obtenir quitus et possibilité de continuer et
même d’obtenir le mandat suivant le sien, ou bannissement de
la vie publique nationale. Je
me donne de pouvoir donner aux éditeurs mon texte, achevé, le
jeudi 18 Novembre au soir, puisque le lendemain je suis à
Paris puis à Bruxelles jusqu’au 21 au soir. Pour mon mentor,
pouvoir lui donner la relecture de mes deux premiers chapitres
et l’écriture de deux autres, plus celle du procès final,
d’ici mardi soir, retour de mes aimées ici. – Techniquement,
il est temps certainement, mais politiquement, beaucoup de ce
qu’il s’est passé ces dernières semaines sont positifs pour
l’assurance de mon écrit. Je reprends mon texte depuis la
première ligne, en espérant finir le procès ce soir, et
n’avoir plus ensuite qu’à rédiger un chapitre par jour :
demain, le III, mardi le 1V, étant prévisible que le retour de
mes aimées me perturbera (légitimement, à elles la première
place en présence de ma part)
17 heures 38 + Exercice périlleux et
probatoire. Mon livre est en plan au début de son troisième
chapitre (sur sept projetés, plus conclusion, plus annexes)
depuis le lundi 26 Septembre après-midi et je ne l’ai repris
que, le 6 Octobre, pour reprendre le début (nous nous sommes
déjà vus, rencontrés ou nous avons déjà correspondu…) et, le
jeudi 12 Octobre dernier, pour
commencer une conclusion : le nécessaire procès
politique de tout sortant pour quitus ou mise au ban. – Je
mets cela bout à bout et me relis. Je voudrais terminer « le
procès » ce soir.
08 heures 50 + Reprendre donc mon
livre, il me faut l‘avoir bouclé et courir les éditeurs avant
de partir en Belgique, soit le 18… Je suspends ma
collaboration au Calame jusqu’à la parution du 30
Novembre. Communication, diffusion, proposition et partage ! A
la suite de notre journée de Franklin, le 1er
Octobre, impressions et suggestions aux 50 délégués de
promotion et à toute la mienne, une quarantaine de camarades :
résultat, une seule réponse. Hier matin, diffusion de mes
notes de lecture du papier des évêques : diffusion la
cinquantaine. Pas un accusé de réception. Des évocations de
nos parents ou de ascendants, en fratrie, la quarantaine
d’adresses, pas d’accusé de réception, sauf maintenant par des
souhaits d’anniversaire qui – je le sais – font plaisir. Etre
lu, le croire mais n’en avoir pas le signe. C’est bien
pourquoi je me suis lancé dans cette ordalie. Les signatures,
sauf séduction de trois-quatre députés qui prendraient sur eux
la prospection : les circulaires internet selon des adresses
au moins professionnelles, à obtenir, et le rayonnement de mon
livre, mais ce que j’en relis hier ne me convainc pas
moi-même. J’en suis à 83 pages. Je devrais aller à 250 si je
suis mon plan. Il me faut vraiment un soutien d’En-Haut.... Si l’aventure de mon ordalie
échoue… il me viendra autre chose, la pure littérature ? J’ai
deux étapes, le livre à suivre de deux brochures ou
quasiment : politique extérieure, institutions ? et puis les
signatures. Si j’échoue, ce sera pour un rebond.
09 heures 36 + Prier…. [3]
hymne et exhortation à l’unité par le simple amour. Paul y
ajoutant que cela lui sera extrêmement gratifiant. Réflexions
parfois, au soir de sa vie, de ma chère mère sur l’état
affectif de notre fratrie, nous les uns vis-à-vis des autres.
S’il est vrai que,
dans le Christ, on se réconforte les uns les autres, si l’on
s’encourage avec amour, si l’on est en communion dans l’Esprit,
si l’on a de la tendresse et de la compassion, alors, pour que
ma joie soit complète, ayez les mêmes dispositions, le même
amour, les mêmes sentiments ; recherchez l’unité.. Suite ps évidente : ayez
assez d’humilité pour estimer les autres supérieurs à
vous-mêmes… Le psalmiste,
en examen de conscience, en présentation de lui-même à Dieu,
va de même : Seigneur, je n’ai pas le cœur fier ni le
regard ambitieux (ce que
j’eus certainement selon toutes apparences à mes 30-40 ans…) ;
je ne poursuis ni grands desseins ni merveilles qui me
dépassent…J’eus, je crois,
la même ambition dès ma maturité : le conseil du prince, mais
sans paraître, mais de carrière j’étais ambitieux ; celui qui
à la D.R.E.E., comme « chef du service de l’expansion
économique à l’étranger », me gérait, le premier en
chronologie : sorti le premier de l’E.N.A., il avait choisi ce
corps, alors que d’ordinaire on va à l’Inspection ou au
Conseil – des Finances, d’Etat, ne pas donner le génitif a du
genre… que je n’ai pas eu l’occasion d’afficher. Antoine-Jean
HULLO donc, un véritable saint de compétence et d’humilité, me
dit un jour que si j’étais vraiment ambitieux, je m’y serais
pris tout autrement. L’ambition, question de savoir-faire et
non pas d’être. Mon, mais je tiens mon âme égale et
silencieuse ; mon âme est en moi comme un enfant, comme un petit
enfant contre sa mère.
Confirmation de Paul : ce comportement, cette attitude de
toute la personne, n’est possible qu’au plus près du Christ,
que dans le Christ. Celui-ci continue de donner
à son hôte, un des notables pharisiens, les leçons de maintien.
Aimer sans attente d’une rétribution, d’un retour. Au
contraire, quand tu donnes une réception, invite des pauvres,
des estropiés, des boîteux, des aveugles (les apparences, les
handicaps physiques, les moches sans que ce soit la caricature
ou l’exaltation d’un statut social) ; heureux seras-tu
parce qu’ils n’ont rien à te donner en retour. Tout de même, la
rétribution finale, à laquelle je ne suis pas sensible. Ni
donnant-donnant avec Dieu, ni récompense ou compensation à
terme, dans l’au-delà, de l’autre côté. Non, Dieu seul
m’attirant et me donner de L’aimer. Au moins de chercher à Le
connaître… cela te sera rendu à la résurrection des
justes. Peut-être le
Christ s’exprime-t-il ainsi pour rester dans la logique de son
hôte qui n’est rétribué de son hospitalité, un banquet
semble-t-il tant il y a de monde : des notables de sa classe
et de son obédience, et ceux qui vivent avec Jésus, Le
suivent, marchant avec Lui et jouant si souvent l’avocat du
diable… rétribué de son hospitalité que par les paroles que
lui adresse Dieu en personne ! Attends le Seigneur,
Israël, maintenant et à jamais.
j'espère ne pas
vous avoir importuné ou encombré par la communication, en
destinataire caché, de mes récents courriels à l'Elysée :
je m'y efforçais d'y faire lire le texte que vous aviez
introduit dans Le Monde, le
soir-même du premier débat de primaires pour la prochaine
élection présidentielle. Peut-être y êtes-vous - vous-même
- parvenu plus directement et en avez-vous reçu un écho ?
Merci à vous-même,
au Conseil permanent dont j'aurais voulu connaître
l'adresse internet de chacun des membres pour les
remercier aussi, et à l'ensemble de vos Frères dans
l'épiscopat.
Depuis le 28 Octobre 1972 (pour une pratique chrétienne de la politique), vos prédécesseurs nous ont enseigné à la suite notamment de Paul VI (14 Mai 1971 - lettre apostolique pour une société humaine) comment discerner en politique et comment contribuer, en cela, à la vie de notre pays, à l'amélioration de notre société. Cette fois-ci, votre apport est décisif, d'abord que vous vous situez vous-même - non plus en magistère - mais en contribution civique, et que vous ne vous pas seulement aux Français mais à tous les habitants avec nous de notre territoire. Ensuite, parce que vous prenez la parole par défaut. De fait, aucune personnalité, aucun mouvement, aucun parti dans la "classe politique", ni aucun commentateur ou essayiste, n'a présenté de manière si crûe et si pressante la situation dans laquelle - d'âme et d'esprit - notre pays se trouve : structures, "charpente" écrivez-vous, discernement du bien commun semblent avoir disparu, pas seulement de la pratique nationale, mais de la conscience de chacun.
Vous proposez avec instance - le questionnaire à la fin de votre adresse et avant le rappel de votre première "sensibilisation", celle du 20 Juin dernier - l'engagement personnel de chacun, des chrétiens, des catholiques dont vous supposez qu'ils vous écoutent les premiers, et le dialogue de tous avec tous.
Tendu et sobre comme il est votre texte sous-entend que sans cette réflexion - cet arrêt intérieur de chacun en lui-même et pour notre pays - les différents processus habituels de la politique et de l'économie seront encore plus inopérants que ces dernières années. A commencer par la prochaine élection présidentielle. Combien j'en suis personnellement d'accord, qui milite par écrit vers l'Eysée (le secrétaire général par internet ou le Président lui-même par la poste) depuis bientôt dix ans pour une prise de conscience, laquelle fait forcément surgir les ressorts encore intacts souvent qui doivent être tendus.
L'effet d'annonce a été parfait, exceptionnel, correspondant très bien au texte. Votre entretien dans le Monde, particulièrement précis et vibrant. Succès tel que le premier tirage a été épuisé en moins d'une semaine.
C'est la suite, maintenant, qui importe.
Il apparaît que votre adresse est immédiatement comprise des incroyants ou des indifférents parce que vous vous posez en citoyens, préoccupés de notre avenir commun. Et il apparaît tout autant que beaucoup de fidèles pratiquants dans notre Eglise de France sont de plus en plus éloignés d'une entrée en eux-mêmes et d'un dialogue avec tous, librement et sans a priori, s'il s'agit du politique. Considérant la politique, avec autant de simplisme que de conviction, comme un mal et une erreur, ne la distinguant pas, précisément, du politique, beaucoup se sentent en état de siège face à des gouvernements considérés comme illégitimes : la Manif.pour tous et les combattants de la bio-éthique, quand ce n'est pas une analyse anti-Islam sommaire. Autrement dit, l'engagement et la réflexion - selon ce que votre adresse inspire, suggère et attend - n'est pas, actuellement, immédiat. Et le clergé - qui n'a jamais été formé jusqu'à présent, au moins en tant que clergé - au discernement pratique du politique et de son bien-fondé, ne semble pas s'engager à faire s'engager. Je ne sais si cette sensation que j'ai dans les paroisses de l'est du Morbihan (la Bretagne du sud) est trop pessimiste ou subjective, ou si elle peut être la tendance nationale.
Se saisir du politique et y contribuer est nouveau, c'est accueilli avec faveur et même admiration en dehors de l'Eglise, c'est reçu avec contre-sens par la "classe politiqe" (l'exposé de François Fillon vous remerciant de votre texte, en plaçant ses analyses et ses projets comme démonstration que lui-même est déjà au point... le pharisien et le publicain au Temple), c'est craint parmi les fidèles et dans le clergé.
Je vais tenter pour ma part de susciter des réunions de lecture puis de commentaire et mises en perspective, soit dans les paroisses que je connais, soit erga omnes dans des enceintes publiques.
Voici d'ailleurs mes notes de lecture, développant vos paragraphes ou dialoguant avec eux.
Il me semble que - comme en politique, surtout internationale - un "comité de suivi" au sein de votre Conseil permanent serait nécessaire pour
1° recueillir les échos retour de la diffusion de votre adresse : échos de presse, mais surtout échos selon la vie de chaque diocèse
2° zéler les diocèses pour qu'ils pressent les paroisses les composant afin que le texte soit réfléchi à plusieurs, commenté et sorte aussi des enceintes exclusivement catholiques
3° porter cette urgence et ce souci à divers responsables : les autorités religieuses dans des fois qui nous sont soeurs, l'Islam, l'Eglise réformée, le judaïsme. Cela peut se faire à la base dans chaque diocèse, mais aussi par vous-même - les chefs politiques, syndicaux et des groupements patronaux.
Naturellement, fils de France, elle-même fille aînée de l'Eglise, je suis, Monseigneur, mon Père, à votre disposition, comme à celle de "mon" évêque, l'évêque de Vannes.
Recevez, mon Père, l'hommage et l'assurance de mes sentiments filiaux et fraternels, et de nouveau l'expression de mon admiration pour le moment et le contenu de votre adresse.
Depuis le 28 Octobre 1972 (pour une pratique chrétienne de la politique), vos prédécesseurs nous ont enseigné à la suite notamment de Paul VI (14 Mai 1971 - lettre apostolique pour une société humaine) comment discerner en politique et comment contribuer, en cela, à la vie de notre pays, à l'amélioration de notre société. Cette fois-ci, votre apport est décisif, d'abord que vous vous situez vous-même - non plus en magistère - mais en contribution civique, et que vous ne vous pas seulement aux Français mais à tous les habitants avec nous de notre territoire. Ensuite, parce que vous prenez la parole par défaut. De fait, aucune personnalité, aucun mouvement, aucun parti dans la "classe politique", ni aucun commentateur ou essayiste, n'a présenté de manière si crûe et si pressante la situation dans laquelle - d'âme et d'esprit - notre pays se trouve : structures, "charpente" écrivez-vous, discernement du bien commun semblent avoir disparu, pas seulement de la pratique nationale, mais de la conscience de chacun.
Vous proposez avec instance - le questionnaire à la fin de votre adresse et avant le rappel de votre première "sensibilisation", celle du 20 Juin dernier - l'engagement personnel de chacun, des chrétiens, des catholiques dont vous supposez qu'ils vous écoutent les premiers, et le dialogue de tous avec tous.
Tendu et sobre comme il est votre texte sous-entend que sans cette réflexion - cet arrêt intérieur de chacun en lui-même et pour notre pays - les différents processus habituels de la politique et de l'économie seront encore plus inopérants que ces dernières années. A commencer par la prochaine élection présidentielle. Combien j'en suis personnellement d'accord, qui milite par écrit vers l'Eysée (le secrétaire général par internet ou le Président lui-même par la poste) depuis bientôt dix ans pour une prise de conscience, laquelle fait forcément surgir les ressorts encore intacts souvent qui doivent être tendus.
L'effet d'annonce a été parfait, exceptionnel, correspondant très bien au texte. Votre entretien dans le Monde, particulièrement précis et vibrant. Succès tel que le premier tirage a été épuisé en moins d'une semaine.
C'est la suite, maintenant, qui importe.
Il apparaît que votre adresse est immédiatement comprise des incroyants ou des indifférents parce que vous vous posez en citoyens, préoccupés de notre avenir commun. Et il apparaît tout autant que beaucoup de fidèles pratiquants dans notre Eglise de France sont de plus en plus éloignés d'une entrée en eux-mêmes et d'un dialogue avec tous, librement et sans a priori, s'il s'agit du politique. Considérant la politique, avec autant de simplisme que de conviction, comme un mal et une erreur, ne la distinguant pas, précisément, du politique, beaucoup se sentent en état de siège face à des gouvernements considérés comme illégitimes : la Manif.pour tous et les combattants de la bio-éthique, quand ce n'est pas une analyse anti-Islam sommaire. Autrement dit, l'engagement et la réflexion - selon ce que votre adresse inspire, suggère et attend - n'est pas, actuellement, immédiat. Et le clergé - qui n'a jamais été formé jusqu'à présent, au moins en tant que clergé - au discernement pratique du politique et de son bien-fondé, ne semble pas s'engager à faire s'engager. Je ne sais si cette sensation que j'ai dans les paroisses de l'est du Morbihan (la Bretagne du sud) est trop pessimiste ou subjective, ou si elle peut être la tendance nationale.
Se saisir du politique et y contribuer est nouveau, c'est accueilli avec faveur et même admiration en dehors de l'Eglise, c'est reçu avec contre-sens par la "classe politiqe" (l'exposé de François Fillon vous remerciant de votre texte, en plaçant ses analyses et ses projets comme démonstration que lui-même est déjà au point... le pharisien et le publicain au Temple), c'est craint parmi les fidèles et dans le clergé.
Je vais tenter pour ma part de susciter des réunions de lecture puis de commentaire et mises en perspective, soit dans les paroisses que je connais, soit erga omnes dans des enceintes publiques.
Voici d'ailleurs mes notes de lecture, développant vos paragraphes ou dialoguant avec eux.
Il me semble que - comme en politique, surtout internationale - un "comité de suivi" au sein de votre Conseil permanent serait nécessaire pour
1° recueillir les échos retour de la diffusion de votre adresse : échos de presse, mais surtout échos selon la vie de chaque diocèse
2° zéler les diocèses pour qu'ils pressent les paroisses les composant afin que le texte soit réfléchi à plusieurs, commenté et sorte aussi des enceintes exclusivement catholiques
3° porter cette urgence et ce souci à divers responsables : les autorités religieuses dans des fois qui nous sont soeurs, l'Islam, l'Eglise réformée, le judaïsme. Cela peut se faire à la base dans chaque diocèse, mais aussi par vous-même - les chefs politiques, syndicaux et des groupements patronaux.
Naturellement, fils de France, elle-même fille aînée de l'Eglise, je suis, Monseigneur, mon Père, à votre disposition, comme à celle de "mon" évêque, l'évêque de Vannes.
Recevez, mon Père, l'hommage et l'assurance de mes sentiments filiaux et fraternels, et de nouveau l'expression de mon admiration pour le moment et le contenu de votre adresse.
[2]
- plaçant ces notes pour mon
envoi quotidien, ce matin du lundi 31, je me relis donc et
vérifiant le titre de l’hebdomadaire, je m’aperçois que j’ai
eu soldé à 2 € mais qu’il doit être en avance sur le
calendrier : n° 989 du 12 au 18 novembre… et voici que je
lis : 2014. Ainsi, le phénomène AJ vient de loin, et je
dispose d’un texte antérieur aux paris et pronostics de
maintenant…je ne le lirai que ce soir, mon chapitre III et
plus, bouclé
[3]
- Paul aux Ephésiens II 1 à
4 ; psaume CXXXII ; évangile selon saint Luc XIV 12 à 14
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