Samedi 23 Juillet 2016
Minuit
dix-huit + Journée sans ordinateur et sans que ma machine me revienne réparée…
Prier… si nous n’avons ni points de repère ni volonté de ce que nous
souhaitons, nous entrons dans une ère de violence provoquéed précisément par ce
flou et cette logorrhée devenus automatiques. Des violences individuelles ou
collectives, pour le moment individuelles et n’emportant que des personnes fut-ce
par dizaines ou centaines, mais bientôt… le néant du discours politique, le
délitement de toutes les institutiuons concourant explicitement et
objectivement au bien commun. Alors, la boule se perd… propos insensés, idées
excentriques, dépression et découragement. De même qu’en plein air, tant de
silhouettes de nos contemporains pour quelques très beaux visages – ma chère
femme en fait autant que moi la remarque en d’autres lieux et itinéraires –
sont tassées et n’expriment que lourdeur et fatigue.
Repère
principal, le vrai et qui s’assortit d’un accompagnement actif, sensible pour
qui le choisit et s’y tient, y revient : le Christ, Dieu fait homme,
dimension divine, nature humaine. Postute tout humaine, affirmation d’adoption
universelle qui est cele de Dieu pour nous : parcourant du regard ceux qui éaient assis en cercle
autour de lui, il dit : « Voici ma mère et mes frères. Celui qui fait
la volonté de Dieu, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère ». Et pour les adoptés que nous sommes, l’exemple,
la posture de Paul . Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Chriost qui
vit en moi. [1]
Les
saints que nous présente l’Eglise, la lecture de ce que leur vie et l’Esprit
Saint, leur a inculqué d’expérience. Conférences
de Cassien, matrice des préceptes bénédictins avant la lettre, et révélations de Brigitte,
princesse suédoise (l’Eglise locale lutéhrienne, unie à la conférence des évêques
catholiques pour prier Jean Paul II de la désigner co-patronne de toute l’Europe.
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