Au fil de l'horrible actualité venant , cette
fois ci , de la côté d'Azur , je ne peux m'empêcher d'exprimer
, à titre personnel , mes pensées pour la France qui m'avait
si bien accueilli en tant qu'étudiant et dans laquelle je
compte de nombreux amis , au peuple français et,
particulièrement , aux familles , terriblement , affectées .
les premières informations évoquent " un camion fou" qui a foncé dans la foule venue pour célébrer le bal populaire du 14 juillet sur La promenade des anglais .
A vrai dire le terrorisme est le stade suprême de la folie humaine ....,
les premières informations évoquent " un camion fou" qui a foncé dans la foule venue pour célébrer le bal populaire du 14 juillet sur La promenade des anglais .
A vrai dire le terrorisme est le stade suprême de la folie humaine ....,
12:04, guineitt bah a écrit :
chère père mes condoléances a vous le peuples français et les familles des victimes je bien de savoir sa par la radio sa ses un cancers qui touche touts le mondes vrement ses jents nons pas de coeurs ni de fois et pa de religions nous sommes tristes que le Seugneures rentes touts ses victimes dans le paradis amine
. .
. Norauto à Muzillac,09
heures 16 + La g… de bois, les rodomontades dès la fin de l’
« euro », les approximations d’hier sur le terrorisme, la
prétention
de protéger : 73 morts à Nice, un modus operandi nouveau. J’ai
couriellé
dans notre deuil à JPJ .Prière
pour nos morts autant que pour les déréglés de la haine et de
la robotisation.
Mais ce tropisme humain vers le plein emploi, vers l’utilité,
vers
l’appréciation de soi par autrui et la société, cela amène
aussi bien à la
passion pour la politique, au terrorisme, à l’amour. Etre
utile, être considéré
pour ce que l’on apporte. Je suis aussi de ce bois. Le Christ
Lui-même sans
cesse expose Son utilité pour l’humanité. Qui suis-je ? sinon
ce que
j’accomplis.
Faute
d’avoir pensé à emmener mon Prions en
Eglise, je vais au
« journal »
de notre fille
J’écris dans l’espace (trois fauteuils, un guéridon à
magazines) à l’entrée de
la halle à accueil et à exposition des multiples accessoires
pour automobiles.
Venue de couples, les dynamiques qu’on peut devenir à
l’allure, au physique, à
la manière de saluer, de sourire, ou pas ; La généralité est
que les gens
vivent bien leur physique et apprécient leur couple. Ce qui
ramène à ces
« clés d’interprétation » que je cherche et assemble pour
FH :
couple = zéro, assumer son physique = fort peu, cf. coiffure
et cécité sur
l’habillement. Mal dans son intimité, ou plutôt dans le plus
proche de son
intimité (celle-ci me reste impénétrable car, à part le goût
du pouvoir, qui
n’a rien d’anormal en politique, ni d’original, qu’est-ce
qui le motive, et le
tend ? signe d’ailleurs du vide de son action et de ce qu’il
paraît
lui-même, que ce genre de question soit loisible. Avec aucun
de ses
prédécesseurs, elle ne se posait car les réponses étaient
d’avance évidentes,
données), mal avec lui-même ? je ne le crois pas, mais tant
d’atrophies,
surtout en compassion , en communion, en sensation des
autres, un homme
entièrement dédié à la mécanique des comportements pour s’en
servir. Résultat
en tout cas, il nous impose comme aucun de ses prédécesseurs
sa façon d’être et
de faire. Et il le peut car son impopularité le sert :
strictement rien à
perdre. Le culot de NS n’était que verbal, c’est un homme
vulnérable à l’autre,
ses amours, tandis que FH a plus que du culot, il a le
mépris, il ne sait pas
aimer, il n’a pas même idée de ce qu’est aimer. Son propos
est creux, banal,
précisément parce qu’il n’a pas de sentiments cordiaux.
. . . à ma table de
travail, chez nous
(Reniac), 15 heures 04 + A mon retour ici
vers midi et demi, Marguerite venant
vers moi, la petite chatte : malade ? non, perdue,
recherchée depuis
déjà deux heures, dans le buissonnement le long de la maison
et peut-être de la
séparation le long du four-à-pain avec la prairie…
16
heures 47 + Toujours pas notre chatounette… c’est le cas de
l’écrire :
nous battons les buissons et du coup je défriche toute une
part de
l’environnement immédiat de notre habitat : Aoulie Ata.
Politique…
nouvelle note rapide pour JPJ tout à l’heure. FH a tort de
répéter que nous
sommes un grand pays. Non, mais petit ou moyen, nous pouvons
d’une part
provoquer l’Union européenne, vraiment sans être soupçonné
d’hégémonisme et
d’autre part mettre du poil à gratter là où il faut et
prophétiser sur les
points de blocage qui ne le sont que par langue de bois et
dogmatiques, vg. la
question du Proche-Orient. Secundo, la négociation du
Brexit, une
pro-européenne chargé du dossier à Londres. Nous ne ferons
jamais route
vraiment différente de l’Angleterre et nous ne serons pas,
avant plusieurs
générations, sinon jamais, vraiment du même pas et surtout
de la même pensée.
Par conséquent ne cherchons pas les facteurs de rupture et
de différence, pas
de chantage ni de fausse unanimité à une pseudo-cohérence de
la sécession. Au
contraire, soyons très ouverts et ne coupons rien, sauf le
visible, du genre
réunion à Bruxelles. On se verra en G 7 ou à l’OTAN. En
revanche, inventons
de nouveaux territoires où nous
rencontrer bien plus qu’avant le referendum. Certainement,
la défense. Pas de simplisme,
pas de leçons. Je vais peut-être écrire à Theresa MAY .
Après GORBATCHEV, MERKEL : MAY…
21
heures 10 + Les deux héroïnes du jour : notre petite adoptée
depuis
vingt-quatre heures – 17 heures 50, enfin
repérée mais en haut de
l'arbre à plusieurs fortes branches en encoignure, sur la
terrasse, entre
cuisine et salle-de-séjour. Et notre trésor adoré – 20
heures 15, Marguerite au
plus haut de l'échelle et en équilibre pour s'approcher au
plus près de la
chatounette réfugiée sur une branche à cinquante
centimètres au-dessus du toit
de la cuisine, parvient à la prendre, à la poser dans son
panier, à la couvrir
de sa petite couverture et à passer d'en haut à sa mère
ledit panier... aussitôt,
emmenée dans la chambre de sa petite maîtresse. Là, repas
mais sans boire,
puisqu’elle ne le veut pas et liberté restreinte à cette
seule chambre. Emotion
pendant presque douze heures puisque la fugue de Kitty,
imprudemment emmenée en
liberté se rendre compte de l'environnement de la maison,
a dû commencer à 11
heures environ. Elle se cache très vite au plus dru de
gros buissonnements
devant la maison, entrevue deux fois, mais ne se laissant
pas prendre. De 12
heures 30 à 17 heures, débroussaillage d'une semi-haie et
du buissonnement. Ce que
je n’ai jamais fait, laissant s’installer les ronces,
maintenant le travail est
bien commencé. Changement d'aire d'investigations,
miaulements entendus en
plusieurs endroits, du fait des échos de l'encoignure...
Lola nous a aidés, qui
voulait monter à l'arbre. – Parabole… Marguerite
initialement fautive,
conclusivement courageuse, maîtresse d’elle-même,
ingénieuse et ayant
certainement fait un grand chemin dans la confiance de la
petite bête en sa maîtresse.
Et voici notre petite fille devant la télévision, un film
de Barbies…
Prier,
fatigue, action de grâce, notre trinité mais Nice, notre
pays et l’ensemble des
perplexités européennes. Que ces défis nous approfondissent…
Précisément, le
juridisme, la coûtume sont autant de surdités, de cécité
tandis qu’il y a
ici plus grand que le Temple [1]. La prière exaucée, la
miséricorde divine,
modèle de celle qui nous est demandée. Seigneur,
souviens-toi ! j’ai
marché en ta présence, dans la loyauté et d’un cœur sans
partage… J’ai entendu
ta prière, j’ai vu tes larmes, je vais ajouter quinze ans à ta
vie… Et Dieu donne même
un signe, exauçant dans
le détail la demande du pauvre roi, avide d’un signe fondant
sa foi et son
espérance : et le soleil remonta sur le cadran les dix
degrés qu’il
avait déjà descendus. Conclusion
et réplique
aux pharisiens scandalisés de la glane des disciples un jour
de sabbat quand Jésus
vint à passer à travers les champs de blé… Je veux la
miséricorde, non le
sacrifice. Et comme
toujours : miracle
ou leçon, l’affirmation de Soi par Dieu fait homme : en
effet, le Fils
de l’homme est maître du sabbat. Et
Ezéchias… oui, tu me guériras, tu me feras vivre. Voici
que mon amertume se
change en paix. Proposition que je prends
au pied de la lettre,
moi qui peut dire parce que je l’ai vécu : tel un
tisserand, j’ai dévidé
ma vie : le fil est tranché. Eh bien
non ! ni pour Ezéchias ni pour moi ni, finalement pour les
malheureuses et
les malheureux de Nice. Mystère et force de la vie. Le
Seigneur est auprès
d’eux : ils vivront ! Tout ce qui vit en eux, vit de son
esprit.
23
heures 37 + L’imprévu… ce mot de HITLER en 1924, selon Joachim
FEST : l’invraisemblable
est ce qu’il y a de plus sûr. Nice… maintenant la
Turquie… et toute cette
journée, cette minuscule chatte, maintenant à la tête de
l’oreiller de notre
fille. La réflexion sur l’événement, sur notre part de
responsabilité toujours.
Mais pas le réflexe de la prière pour simplement entendre. Plus
un visage d’homme
parmi les habitants du monde ! … Isaïe
XXXVIII. Il y a à réfléchir et gloser, toujours plus d’erreur
et d’inconvenances
dans nos fonctionnements étatiques, le terrorisme n’en
fournissant que l’illustration
la plus évidente et tragique. Sans doute, mais ce soir, cette
nuit, la prière
et le cri : je disais : je ne verrai pas le Seigneur sur
la terre
des vivants. Pas de
rétrospective, mais
avancer. Oui, tu me guériras, tu me feras vivre. Et les textes pour demain disent déjà : les
nations mettront
en son nom leur espérance.
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