Vendredi 22 Juillet 2016
18
heures 57 + En priorité, ce matin, écrire [1]aux
sept camarades de
notre fille dont j’avais suivi les dernières heures avant
leur Profession de
foi : deux mois, maintenant. Les accompagner jusqu’à… ou
jusqu’à ce que…
je ne sais. Sans doute une année calendaire, chaque mois.
Des réactions, une
correspondance de l’une ou de l’autre ? ou des parents ? au
jour le
jour, je verrai. L’accompagnement, la contagion pour la vie
spirituelle de
l’extrême jeunesse, puis de la jeunesse, les âges de notre
fille. Elle n’a pas
encore lu cette lettre dont avec deux autres amies, elle est
également
nécessaire. Je lis le message du Concile à la jeunesse : je
ne le crois
pas adéquat, il témoigne des égards (assez naturels) que
toute institution et
toute maturité, et plus encore la vieillesse a forcément
pour la jeunesse, plus
en tant que commencement et absence de passif, que vraiment
un caractère
propre. Or, c’est ce qui est propre à la jeunesse, et selon
ce qu’elle dit et
nous fait savoir d’elle-même, qu’il faut considérer,
comprendre, accompagner,
et à qui il faut, avant même de passer quelque relais que ce
soit, associer
déjà à nos conduites collectives. Et personnelles, ainsi
notre fille
m’apprenant tellement, et appelant tellement à une forme de
perfection
indulgente et réaliste. Je lirai ce soir, soigneusement, le
message personnel
de Jean Paul II.
L’école
de voile jusqu’à maintenant, la planche : très physique.
Notre trésor
s’endort aussi assise dans la voiture et colère si je
conteste qu’elle s’y soit
si mal prise cet après-midi qu’elle ait très peu navigué
tant elle a
« galéré » avec sa voile, taille 4. Sur le goudron
descendant à
l’école, même heure qu’hier, min-jupe rouge et deux jambes
parfaites, par
elles-mêmes comme je n’ai pas souvenir d’en avoir vu de
telles… de ma vie.
Simples, parfaites. De la jeune fille, sans doute
adolescente, je ne vois rien
d’autre même si elle a dû être de profil, donc de buste,
hier. Avec la
vie ? ou l’âge ? mais l’amour partagé à toute époque de ma
vie
produisait la même libération : aucun élan de prédation,
seule l’action de
grâce : la beauté existe et se rencontre. Autre version, cet
après-midi, un
visage, un âge certain, les traits bien marqués, creusés, le
poil blanc, sans
excès, fermeté, la silhouette, je ne la remarque. Je croise
cet homme et pense
qu’il y a de beaux visages, forcément résultat d’une
existence belle et claire.
La contre-épreuve est donnée par la laideur de nos
politiques, même les
« bellâttres » comme LEMAIRE ou MACRON ne peuvent donner le
change
sur le reflet de leur âme. Est-ce le parcours qui les
détruit ? ou
étaient-ils fait d’avance pour ce parcours… et ce vide
actuel pour ce qu’on
appelle l’action politique. Commençant d’attendre la fin du
goûter de notre
fille et de son groupe, paysage du marais au revers de la
mer, un scooter en
premier plan, arrive le propriétaire que ma voiture pourrait
gêner, il
m’assure que non. C’est lui qui se casque pour partir. Je
lui dis ce qu’il
m’inspire et pourquoi. Il acquiesce avec simplicité. Oui, il
a eu de la chance,
une belle vie, un couple, des enfants, des petits-enfants,
une profession. Il
dit : j’avais… j’interroge : vous ne les avez plus. Si, il
les
a ? Chance d’ailleurs d’habiter ici à l’année, après avoir
été ailleurs,
il ne dit pas où… l’étranger probablement. Je le prends en
photo. mais casqué,
c’est moins bien. Il a les dents jaunes, il ne faut pas
qu’il sourit. Je prends
son adresse internet puisque pour les siens, il sera heureux
des photos.
Prier…
dès hier soir, le parallélisme des deux textes : le
témoignage-phare sur
la Résurrection et la course à l’amant selon le Cantique des cantiques, m’avait frappé. Et d’abord que pour la bien-aimée,
hantée par le
bien-aimé, autant que pour Marie-Madeleine, tout commence à
la nuit ou
presque : sur mon lit, la nuit, j’ai cherché celui que
mon âme
désire ; je l'ai cherché ; je ne l’ai pas trouvé. Oui, je me
lèverai…
Marie-Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était
encore les
ténèbres. [2].
Second trait commun,
ce qui ne saurait étonner
puisqu’il s’agit d’amour. Le bien-aimé ne se reconnaît ni ne
se saisit à
volonté, selon notre volonté… quand il s’agit de Dieu-même,
mais d’un homme, il
peut en aller autrement. Je l’ai cherché, je ne l’ai
pas trouvé… On a
enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé… Ne me
retiens pas… Je
l’ai saisi et ne le lâcherai pas. Quoique
les mots du Christ me donnent à penser qu’Il fait à
Marie-Madeleine, à l’amante,
la prière qu’elle renonce, qu’elle Le libère ! des formes
d’amour et de
possession encore précaires tant que nous demeurons sur
cette terre, et dans
cette version de la vie : pré-éternelle (si l’on peut
concevoir ainsi). Les
retrouvailles se font par surprise mais elles sont
précédées d’une forme
d’introduction, des tiers sont en scène : ils m’ont
trouvée, eux, les
gardes qui tournent dans la ville : « Celui que mon âme
désire, l’auriez-vous
vu ? » … Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à
la tête
et l’autre aux pieds, à l’endroit ù avait reposé le corps de
Jésus. Ils lui demandent :
« Femme, pourquoi pleures-tu ? ». Dénouement : à peine, les avais-je dépassés,
j’ai trouvé celui
que mon âme désire… Ayant dit cela, elle se retourna ; elle
aperçoit Jésus
qui se tenait là. La
bien-aimée et Marie-Madeleine,
la toute aimante, sont entrainées par la personne entière de
l’aimée, et pas d’une
façon principalement sensuelle. Le bien-aimé, qui ailleurs
dans le Cantique,
sera physiquement décrit, comme la belle
également, et dans des termes d’une rare délicatesse, est
pour qui le cherche :
celui que mon âme désire. Et si l’évangéliste
évoque le corps de Jésus,
Marie-Madeleine dit mon Seigneur même
si la mort, puis maintenant des inconnus ont disposé de Lui…
Pourtant, une
différence essentielle fait aboutir la réalité historique
tout autrement que la
parabole du Cantique. Le bien-aimé n’a
pas à se faire reconnaître de son aimée et il ne la prénomme
jamais tout au
long de son chant, tandis que Jésus se fait reconnaître par
son initiative. Il
laisse d’abord Marie-Madeleine s’ « enferrer » en lui posant
la
même question que celle des anges. Ce qui fait préciser son
dessein par
Marie-Madeleine : moi, j’irai le prendre. Marie-Madeleine et l’adoration du corps… du corps du
Christ, les pieds
lavés, les cheveux parfumés, une adoration s’exprimant
physiquement… et Jésus
la fait passer, nous fait passer du physique au théologique
et au spirituel :
je ne suis pas encore monté vers le Père (indication majeure pour méditer sur ce qu’est, ce
que fut ce temps,
encore sur terre, dans notre condition encore, ce temps du
Ressuscité, Son
corps déjà glorieux, vainqueur de la mort mais aussi de
toutes nos dimensions,
tout en restant le même dont les disciples partagèrent la
vie et le ministère
pendant trois ans). Et seconde différence, cella-là toute
pratique avec la parabole
de l’amour humain, de tout amour humain : la rencontre de
l’aimé n’est pas
un but en soi, à peine acquise quand il s’agit du Christ, de
Dieu, c’est l’envoi
en mission. Et de même que les Apôtres n’ont jamais décrit
physiquement Jésus,
de même Marie-Madeleine ne dit pas ce qu’elle a vu du
Christ, comment elle L’a
vu, étreint, regardé : elle raconta ce qu’Il lui avait
dit. Nous annonçons une
Personne et répétons Ses
dires. Ainsi soit-il, de génération en génération.
Et le dialogue d’amour avec Dieu reçoit son modèle ici : Jésus
lui dit alors : « Marie ! ». S’étant
retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! »,
c’est-à-dire
Maître. Notre nom
propre, le plus intime
de notre identité, ce que Dieu plus que tout autre sait de
nous. Et nous, nous
ne savons et ne pouvons dire de Lui que : Maître… ou bien à l’instar de Thomas : mon Seigneur
et mon Dieu !
le samedi 21 Mai
dernier, t’en
souviens-tu ? qu’est-ce que c’était ? qu’est-ce que cela
a
signifié ?
Me sentant
responsable de toi comme de
tes six camarades depuis que nous avons parlé ensemble
en préparation de cette
Profession de Foi, travaillé des textes, prié, nous être
préparés à la
confession = sacrement du pardon et de la réconciliation
avec nous-mêmes, avec
nos frères proches ou lointains, avec Dieu et grâce à
Lui, je me permets de te
réécrire comme je l’ai déjà fait deux fois.
Essayons – par
la pensée – de nous retrouver à au moins une messe
importante pendant ces
vacances d’été, celle du 15 Août prochain : la grande
fête de la Sainte
Vierge. Son Assomption, elle est morte comme nous
mourrons, probablement
entourée par les disciples de Son Fils, Jésus = les
Apôtres, mais cela a été
comme un sommeil et son corps a été emporté – nous ne
savons comment – jusqu’au
ciel et dans les bras de Dieu. Pas dans un cimetière,
directement dans la vie
éternelle où nous aurons chair, corps, âme mais n’ayant
plus aucune limite ni
de temps ni d’espace. Mystère mais promesse, et nous
sentons que c’est cela
notre grand avenir. Sur beaucoup de façades (le tympan)
de nos cathédrales
médiévales, on voit le Christ couronnant sa Mère au
ciel, à son Assomption. C’est
une fête de tendresse familiale. Certainement, c’est à
toi d’entrainer tes
parents et ta famille à ces habitudes de chaque
dimanche : le temps
d’arrêt, de réflexion et de communion au Corps du Christ
et donc aux autres. En
famille. Sans ton désir à toi, et ta volonté, cela ne se
fera pas. Et ta
Profession de foi aura été sans fécondité, la parabole
du semeur que tu
connais. Et les grandes rencontres d’une vie, Marie
Madeleine, peut-être ?
ne sauras-tu pas en profiter autant qu’elles en valent
la peine. Rencontre,
fécondité, c’est la vie, pas automatique, mais ressentie
tout le temps, avec
espérance et bonheur même quand tout semble, te semblera
très difficile.
La Bible, les
évangiles, l’ensemble, si
tu peux petit à petit entrer dedans, un peu au hasard
(c’est aussi la façon du
Saint-Esprit de nous guider sans nous forcer), en
ouvrant une page et en y
restant pour la lire lentement et réfléchir à ce qui
viendra dans ton cœur, tu
te rendras compte que Dieu, que Jésus t’apporte vraiment
quelque chose, qui te
fait du bien et que tu n’aurais pas trouvé tout seul.
Mais il faut que tu
ouvres la Bible, les évangiles. Toi. Et tu auras alors
un échange à la fois
mystérieux et facile, un accompagnement et même un
soutien quand tu en auras
besoin, surtout si tu le demandes : ce qui est tout
simplement prier.
Regardons ensemble
deux pages, qui ont
été priées cette semaine à la messe. Partout dans le
monde, le même jour.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
20,1-2.11-18.
Le premier jour de la semaine, Marie
Madeleine se rend au tombeau
de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle
s’aperçoit que la
pierre a été enlevée du tombeau.
Elle court donc trouver Simon-Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a déposé. »
Marie Madeleine se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau.
Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus.
Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé. »
Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était Jésus.
Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle lui répond : « Si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as déposé, et moi, j’irai le prendre. »
Jésus lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! », c’est-à-dire : Maître.
Jésus reprend : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »
Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples : « J’ai vu le Seigneur ! », et elle raconta ce qu’il lui avait dit.
Elle court donc trouver Simon-Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a déposé. »
Marie Madeleine se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau.
Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus.
Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé. »
Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était Jésus.
Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle lui répond : « Si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as déposé, et moi, j’irai le prendre. »
Jésus lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! », c’est-à-dire : Maître.
Jésus reprend : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »
Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples : « J’ai vu le Seigneur ! », et elle raconta ce qu’il lui avait dit.
C’est la rencontre
d’une femme, de nous,
de nos âmes, mais aussi de nos yeux, de notre prière.
Une femme vivant au temps
de la vie terrestre du Christ, et dans le même pays, les
mêmes villages. Elle
est la sœur de Marthe, qui a accueilli Jésus dans leur
maison, et de Lazare que
Jésus a ressuscité. Elle-même, ayant mené une vie
vraiment laide et païenne,
s’est repentie et par amour de Jésus lui a lavé les
pieds avec ses pleurs,
parfumé la tête. Jésus déjà à deux reprises, devant sa
sœur et devant tout le
monde, a dit combien son amour est grand, valable. Elle
est vraiment unie au Christ
comme nous finirons par l’être, grâce à Lui. Après Sa
mort, elle Le rencontre
d’abord sans Le reconnaître. Elle est le premier témoin
de sa Résurrection, et
courant l’annoncer, elle est la première missionnaire de
l’Histoire. On ne
reconnaît pas toujours Dieu tout de suite, à cette joie
imprévue que nous
ressentons parfois, ou devant l’inconnu. Mais Dieu se
fait reconnaître –
nettement – en nous appelant personnellement. Nous ne
pouvons pas Le retenir en
nous, c’est Lui qui nous entraîne vers Lui. Et ensuite,
selon ce que nous
sommes et où nous sommes, et avec qui nous sommes, nous
pouvons parler de Lui,
avec nos propres mots. Jésus, en nous et par les autres,
parle notre langue à
nous. Même s’il ne parlait, dans sa vie terrestre il y a
deux mille ans, qu’une
langue disparue : l’araméen. Mais en vie éternelle, la
communication est
directe, au-delà de toutes les langues, comme toujours
en amour. Et l’amitié en
est une façon.
Évangile de Jésus Christ selon saint
Matthieu 13,1-9.
Ce jour-là, Jésus
était sorti de la maison,
et il était assis au bord de la mer.
Auprès de lui se rassemblèrent des foules si grandes qu’il monta dans une barque où il s’assit ; toute la foule se tenait sur le rivage.
Il leur dit beaucoup de choses en paraboles : « Voici que le semeur sortit pour semer.
Comme il semait, des grains sont tombés au bord du chemin, et les oiseaux sont venus tout manger.
D’autres sont tombés sur le sol pierreux, où ils n’avaient pas beaucoup de terre ; ils ont levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde.
Le soleil s’étant levé, ils ont brûlé et, faute de racines, ils ont séché.
D’autres sont tombés dans les ronces ; les ronces ont poussé et les ont étouffés.
D’autres sont tombés dans la bonne terre, et ils ont donné du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un.
Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »
Auprès de lui se rassemblèrent des foules si grandes qu’il monta dans une barque où il s’assit ; toute la foule se tenait sur le rivage.
Il leur dit beaucoup de choses en paraboles : « Voici que le semeur sortit pour semer.
Comme il semait, des grains sont tombés au bord du chemin, et les oiseaux sont venus tout manger.
D’autres sont tombés sur le sol pierreux, où ils n’avaient pas beaucoup de terre ; ils ont levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde.
Le soleil s’étant levé, ils ont brûlé et, faute de racines, ils ont séché.
D’autres sont tombés dans les ronces ; les ronces ont poussé et les ont étouffés.
D’autres sont tombés dans la bonne terre, et ils ont donné du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un.
Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »
Tout simplement, où
sommes-nous ?
quand tombe la graine, quand Dieu parle… regarde en toi
et autour de toi, et
creuse aussi, prolonge cette comparaison de nous avec du
sol. Qu’est-ce que le
sol dans notre vie, que sont les ronces, quels sont les
obstacles : la
pierre, la sécheresse, qu’est-ce que cela veut dire dans
la vie de notre cœur,
de notre âme, avec ceux/celles que nous aimons, ou que
nous n’aimons pas ?
La dernière phrase = se servir de nos qualités, de notre
intelligence, pour
comprendre ce que Dieu nous dit.
[2]
- Cantique des cantiques III 1 à 4 ; psaume LXIII ;
évangile
selon saint Jean XX 1 à 18 passim
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