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Saint Benoît de
Bénévent († 1003)
et ses compagnons Jean, Matthieu, et Isaac
ermites
camaldules, martyrs en Pologne
Ils furent les compagnons
de saint Adalbert de Prague pour évangéliser les Slaves.
Ils étaient moines
Camaldules, les deux premiers italiens, les trois autres polonais.
Ils furent mis à mort
alors qu'ils chantaient l'Office Divin, dans leur monastère de Kazimierz, près de
Gniezno, en Pologne.
Moines camaldules venus d’Italie en Pologne pour y
répandre la foi chrétienne, ils furent abattus de nuit par des voleurs, ainsi
que saint Christian, leur familier polonais, qui fut pendu sur la place de
l’oratoire près de Casimiria, sur la Warta.
Moine bénédictin et martyr en Pologne
Benevento, Campanie – † Miedzyrzecz, près de
Gniezno (Gnesen), 11 novembre 1003
Autre graphie : Benoît de Bénévent ou de
Pologne
Canonisé en 1508
Né à Bénévent, Benoît était moine à Pereum, près
de Ravenne en Émilie, quand l’empereur germanique Otton III l’envoya
évangéliser les Slaves païens de Poméranie, en bordure de la mer Baltique.
Benoît de Bénévent fut assassiné dans la nuit du 10 au 11 novembre 1003, dans
leur monastère, à Miedzyrzecz, près de Gniezno (Gnesen) en Pologne, avec ses
quatre compagnons (Jean, Isaac, Matthieu et Christian) par des voleurs. Ils
furent canonisés par le pape Jules II (1503-13) en 1508.
Cinq Frères Polonais (Les)
Moines Bénédictins et Martyrs
† Miedzyrzecz, près de Gniezno (Gnesen), 10/11
novembre 1003
Canonisé en 1508
Benoît (Benedykt) de Bénévent, Jean (Jan), les
Slaves Isaac (Izaak) et Matthieu (Mateusz) et le Polonais Christian (Krystyn)
suivirent saint Adalbert de Prague dans sa mission auprès des Slaves, et furent
massacrés par des voleurs dans leur monastère, à Miedzyrzecz, près de Gniezno
(Gnesen) en Pologne, dans la nuit du 10 au 11 novembre 1003. Ils furent
canonisés par le pape Jules II (1503-13) en 1508.
nominis.cef.fr
Saint Benoît de Bénévent
et ses compagnons ermites camaldules, martyrs en Pologne (✝ 1003)
avec saint Jean, saint Isaac, saint Matthieu et saint Christian. Ils furent les compagnons de saint Adalbert de Prague pour évangéliser les Slaves. Ils étaient moines Camaldules, les deux premiers italiens, les trois autres polonais. Ils furent mis à mort alors qu'ils chantaient l'Office Divin, dans leur monastère de Kazimierz, près de Gniezno, en Pologne.Moines camaldules venus d’Italie en Pologne pour y répandre la foi chrétienne, ils furent abattus de nuit par des voleurs, ainsi que saint Christian, leur serviteur polonais, qui fut pendu sur la place de l’oratoire près de Casimiria, sur la Warta.
fr.zenit.org
Ce que la Pologne doit à S. Benoît de Bénévent, son évangélisateur
Message du pape Jean Paul II à son envoyé spécial pour le millénaire du martyre du saintCITE DU VATICAN, Lundi 8 novembre 2004 (ZENIT.org) – Ce que la Pologne doit à S. Benoît de Bénévent, son évangélisateur, le pape l’expose dans une lettre adressée au cardinal Zénon Grocholewski, préfet de la congrégation pour l’Education catholique, et son envoyé spécial aux célébrations du millénaire du martyre de ce saint, qui auront lieu les 13 et 14 novembre.
Dans sa lettre, le pape rappelle combien saint Benoît et ses quatre compagnons, moines comme lui, ont sacrifié leur vie pour annoncer l’Evangile du Christ en terre polonaise.
Et dans cet événement « mémorable », insiste Jean-Paul II, « ma terre natale si chère » et celle de Bénévent se sont liées par le lien de la foi et de la charité.
Les Bénédictins italiens, Benoît, Jean, Isaac, Matthieu et Christian, étaient en effet des compagnons de saint Adalbert de Prague dans sa mission auprès des populations slaves. Ils ont été torturés et massacrés le 11 novembre 1005 par des voleurs païens, dans leur ermitage.
Ils avaient auparavant vécu dans un monastère camaldule de Ravenne, sous saint Romuald. Puis l’empereur Othon III avait envoyé les moines auprès du duc Boleslas Ier qui leur fit construire un ermitage à Kazimierz, près de Gniezno, et leur fit enseigner la langue.
A leur mort, les moines furent vénérés comme des saints par la population, l’ermitage devint un lieu de pèlerinage fréquenté, et leur culte a été confirmé par le pape Jules II en 1508. Ils sont vénérés comme les « Cinq frères polonais ».
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