Prier… assez après le lever du
soleil, beauté exceptionnel du ciel, des écharpes et des
trainées de rose et de gris : un TURNER au moins. Nous avons l’espérance de la vie
éternelle, promise depuis toujours par Dieu, qui ne ment pas.
[1] Fils d’espérance,
enfants de foi, frères dans la même connaissance de Dieu
autant que Celui-ci nous la dispense, il y a aussi
l’organisation, la pérennité humaine : conseils de l’Apôtre
et portrait du prêtre. Prière du prêtre, et prière pour en
obtenir beaucoup et de saints. L’Ancien doit être
quelqu’un qui soit sans reproche, époux d’une seule femme (le célibat sacerdotal
institué à ce que j’ai su de notre cher Denis M. que pour
éviter une appropriation familiale et héréditaire des biens
paroissiaux), ayant des enfants qui soient croyants et
ne soient pas accusés d’inconduite (un sacerdoce collectif,
familial, de couple...)… Il est l’intendant de Dieu, il
ne doit être ni arrogant, ni coléreux, ni buveur, ni brutal,
ni avide de profits malhonnêtes ; mais il doit être
accueillant, ami du bien, raisonnable, juste, saint, maître de
lui. Vraiment aussi le
portrait du « responsable » politique… Il doit être
attaché à la parole digne de foi, celle qui est conforme à la
doctrine (communion
avec l’évêque, avec le Saint-Siège), pour être capable
d’exhorter en donnant un enseignement solide, et aussi de
réfuter les opposants (quelques
qualités intellectuelles et capacités d’études)… Qui
peut gravir la montagne du Seigneur, et se tenir dans le lieu
saint ? L’homme au cœur pur, aux mains innocentes, qui ne
livre pas son âme aux idoles. Il obtient du Seigneur, la
bénédiction, de Dieu son Sauveur, la justice. Sagesse de la liturgie :
nous commençons par l’enseignement des hommes si inspirés
soit-il, lectures des Apôtres et des Prophètes, puis nous
nous rappelons qui nous sommes, plaignants, pauvres,
dépendants comme le psalmiste. Alors, mais alors seulement
nous accueillons le Souverain enseignant : si vous
aviez la foi, gros comme une graine de moutarde, vous auriez
dit à l’arbre que voici : « Déracine-toi et va te planter dans
la mer », et il vous aurait obéi. La foi, notre foi, celle
qui est maintenu en nous, c’est le secret de la miséricorde.
La nôtre comme celle de Dieu. Pardonnez-nous nos
offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé…
même si sept fois par jour, il (ton frère) commet un péché contre toi, et que
sept fois de suite, il revienne à toi en disant : « Je me
repens », tu lui pardonneras. Et les Apôtres, pétris
de bonne volonté et subjugués quotidiennement par Celui qui
les appelés à Le suivre : Augmente en nous la foi !
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