mardi 15 novembre 2016

je connais ta conduite, je sais que ton nom est celui d’un vivant, mais tu es mort - textes du jour


Mardi 15 Novembre 2016


Chaque matin, le courriel de MesOpinions.com [1] avec des plaintes ou des horreurs que nous partageons intensément ma femme et moi, dont la chasse à proximité des maisons. Il n’y a pas de problème du mal, il y a les humains, leur égocentrisme pour leur plaisir et un point de vue unilatéral, et il y a la bêtise. Cela vaut en tous domaines de la vie collective et du rapport à soi-même. Et cela caractérise nos politiques « environnementales ». Nous ne faisons pas des animaux « domestiques » ou « sauvages » nos alliées qui seraient les plus efficaces pour la survie de notre planète. Nous continuons de penser "anthropocentrés". – Notre campagne présidentielle. Le concours que caractérise jusqu’au burlesque l’ém0ssion Quotidien sur TMC : le syndrome de Saint-Germain-des-Prés, à qui mieux les candidats à la « primaire de la droite et du centre » (notamment JUPPE, COPE, FILLON et le « porte-flingue » de NS, et NS lui-même), opposent le « terrain » qui leur est familier et Saint-Germain-des-Prés, dont évidemment ils ne sont pas. Or, quel est le député de cette circonscription parisienne ? François FILLON que l’on attend comme la surprise de dimanche prochain… Et pas une once d’analyse ou de proposition d’ensemble que produirait ce groupe, où tous sont censément de la même famille d’esprit. Deux autres faces de notre environnement politique… le gouvernement et une partie de l’appareil du PS : on y lance des noms pour voir s’il y a quelque chance de remplacement (nous sommes l’époque des thèses du remplacement…) : TAUBIRA, ROYAL, LE DRIAN… tandis que FH ne perçoit toujours pas qu’il doit répondre de ses actes et lacunes devant tous les Français. Pourquoi humilier sa fonction dans des primaires, l’opinion des militants se ressentant de gauche, que ne l’a-t-il considérée depuis son élection…. Pour chacun de nos figurants, ce n’est pas même du contre-emploi, c’est le vide… Une sorte de capitulation implicite du politique, cf. l’adresse de nos évêques « aux habitants de notre pays : dans un monde qui change, retrouver le sens du politique ». pas un d’entre eux n’a accusé réception de mon commentaire de texte et de mes propositions de suivi. Et hormis, ici, dans une paroisse qui m’est familière mais dont je ne fais pas territorialement partie, je ne parviens pas à disposer d’une salle de réunion correspondant à la probable chalandise. Pour la mairie de Vannes, il faut une association déjà reconnue et qui n’ait pas d’objet politique, or le nom que je souhaite, pris des évêques : retrouver le sens du politique semble subversif. Et pour l’aire catholique, une dépendance universitaire bien dotée, problèmes de sécurité, frais divers, etc… – Donald  TRUMP, qui donc remarque ce qui me frappe depuis son élection et donc la projection fréquente et en gros plan de son visage, surtout quand il parle : c’est la bouche de François MITTERRAND, pas de lèvre supérieure, et l’inférieure pendant en ourlet. Indice qu’au-dessus, il doit y avoir plus qu’un petit pois.

Prier… je connais ta conduite, je sais que ton nom est celui d’un vivant, mais tu es mort. [2] Le texte de Jean n’est pas la fresque de la fin du monde, il est en grandiose et en contexte, la lutte du bien et du mal, et la victoire du Rédempteur. Il est pour ce qu’il nous est proposé de lire aujourd’hui, le portrait de nos psychologies abîmées et pécheresses. Je connais tes actions, je sais que tu n’es ni froid ni brûlant – mieux vaudrait que tu sois froid ou brûlant. Aussi puisque tu es tiède – ni brûlant ni froid – je vais te vomir de ma bouche. Tu dis : « Je suis riche, je me suis enrichi, je ne manque de rien », et tu ne sais pas que tu es malheureux, pitoyable, pauvre, aveugle et nu ! Et en regard, le soin de Dieu pour nous : moi, tous ceux que j’aime, je leur montre leurs fautes et je les corrige… Voici que je me tiens à la porte et je frappe (cf. le Cantique des cantiques). Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui ; je prendrai mon repas avec lui, et lui avec moi. Le rêve, la vie, le bonheur. Au Paradis de nos origines, c’était la promenade du soir avec le Créateur. Au chaud de nos existences d’aujourd’hui, chahutées, incertaines mais souvent heureuses, au sein même des épreuves et du malheur, car se savoir aimé et recevoir son unité intime de Son Seigneur vaut tous les baumes et assure déjà de notre aboutissement. Le français, notre langue, est très juste : fin veut autant dire ce qui se termine, que ce que nous poursuivons. Jean conclut comme son maître. Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Eglises… Aujourd’hui, le salut est arrivé pour cette maison. Zachée est le type même du converti, attendu par l’Apocalypse : rappelle-toi ce que tu as reçu et entendu, garde-le et convertis-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur et tu ne pourras savoir à quelle heure je viendrai te surprendre. Mais Zachée veillait…  Voici, Seigneur : je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens, et si j’ai fait du tort à quelqu’un, je vais lui rendre quatre fois plus. Car qu’avait répondu le Christ, et que répond-Il à qui l’attend, espère ? aujourd’hui, il faut que j’aille demeurer dans ta maison. … Aujourd’hui, il faut ! Dieu obligé par notre foi, notre attente… Lui, notre Créateur, obligé par Sa créature, jusqu’à la croix.


* Stop à la chasse à côté des maisons les week-ends

Auteur : Magda, mescargot.com
Créé le 10/11/2016
À l'attention : du Ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer, Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt
Les chasseurs tuent mes animaux domestiques. Dimanche 6 novembre 2016, ils ont tué mon petit chat, que j'ai élevé. Samedi 13 novembre 2015, ils ont tué une chatte qui allait avoir trois chatons.
Quand les chasseurs chassent à-côté avec leurs chiens meurtriers qui viennent dans notre jardin. Nous vivons un drame comme si nous avons perdus un cher enfant.
1/ Stop à la chasse prés des maison, 300 mètres minimum.
2/ Stop à la chasse les week-ends surtout le dimanche, qui est fait pour se reposer et se promener en forêt avec les enfants.
3/ Stop tuer,  des animaux sauvages sans aucun besoin, sangliers, cerfs, renards, lièvres... Ils sont tués sans que cela soit nécessaire.
L’Association communale de chasse agrée (ACCA) de Tarentaise a tué mes chats deux fois, pendant ses chasses!
Ils savent très bien, ce qu’il font avec leur fusils et chiens en liberté.
Je n’ai pas d’autres enfants que mes chatons qui apportent la joie à la maison. Les chiens des chasseurs sont plus dangereux que leurs fusils.
  [2] - apocalypse de saint Jean III 1 à 22 ; psaume XV ; évangile selon saint Luc XIX 1 à 10

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