Prier… offrande de tout. Action de grâce pour
ces perspectives de travail. Demande de constance pour les débroussaillages et
autres devoirs très concrets. Récit par Tobith de son malheur, imagé, précis et
avec scènes de ménage. Comme la femme de Job, celle de Tobith le met en
contradiction avec sa foi : son malheur la périme. Qu’en est-il donc de tes aumônes ? Qu’en est-il
de tes bonnes œuvres ? On voit bien maintenant ce qu’elles signifient. [1]Le Christ, lui aussi, est acculé de la même
manière, croient ses détracteurs et futurs assassins : pourquoi
voulez-vous me mettre à l’épreuve ? Ils
lui prêtent la même sensibilité à la flatterie que leurs propres maîtres… Tu
es toujours vrai, tu ne te laisses influencer par personne, car ce n’est pas
selon l’apparence que tu considères les gens, mais tu enseignes le chemin de
Dieu selon la vérité. Tobie (à lire demain) se dégage, quoiqu’en
larmes, l’âme désolée, par la prière.
Jésus se contente de manifester du bon sens, sachant leur hypocrisie. Il ne repousse même pas les compliments,
il répond par l’évidence. – Vie quotidienne.
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