La vie ?
la pureté, peut-être nos bonnes volontés et intentions mais…
centre Leclerc,
« espace culturel », il interroge la libraire, un livre sur
e-tele,
l’offrir à ses deux « gars » pour Noël, pas le titre ni
l’auteur en
mémoire mais très bien, démonstration de ce que l’Islam veut
tuer les
chrétiens… j’interviens, faites lire la Bible et vos enfants,
le Coran, aussi.
Nous croûlons sous les experts en Islam, qui ne montrent que
la guerre civile…
Il les a mariés, lui a fait une c… elle lui demande le
divorce, lui l’aime mais
accepte… le prêtre, ami de la famille d’elle après des mois de
silence convoque
le jeune homme, lui demande avec qui il va vivre Noël (chez
nous, mon neveu par
alliance) puis seconde demande qui n’est pas une question. Il
faut que vous
demandiez l’annulation de votre mariage religieux. Et
d’invoquer même l’opinion
du dernier archevêque européen – un Jésuite – qui avait
présidé le mariage du
jeune homme venu de son diocèse en Afrique centrale et
opinait, selon lui, que
les Africains et le mariage, ou la fidélité en mariage…
J’écris audit prêtre
qui a d’ailleurs placé en « spam » mon envoi quotidien (initié
à la
suite d’un combat commun pour la réunion familiale d’un
paroissien haïtien
qu’empêchait notre consulat à Port-au-Prince) et expose cette
édifiante
pastorale à l’archevêque de Paris, par une lettre séparée…
Quant au président de
la République, hier à l’issue du conseil des ministres, il
nous offre son
cadeau de Noël : la vérité de la France pour elle-même et dans
le monde…
ce quinquennat tourne à la forfaiture. J’en ai couriellé à JPJ
[1]
hier soir. Robert
BADINTER, Roland DUMAS, leur écrire, avocats et grands
ministres de gauche et
de François MITTERRAND. Déchéance de nationalité ? peine
établie par
SCHOELCHER dans un esprit tout autre : faire appliquer
absolument
l’abolition de l’esclavage et donc mettre au ban de la
communion française
celles et ceux qui continueraient de le pratiquer et le faire
pratiquer.
L’outre-mer et la République, qu’incarne ces années-ci
Christiane TAUBIRA ne
peuvent cautionner cette « révision »…
Prier…admirable
catéchèse de Benoît XVI sur Jacob : . Celui qui se laisse bénir par Dieu, qui s’abandonne à
Lui, qui se
laisse transformer par Lui, rend le monde béni Prier ainsi [2]…
Cantique magnifique
de Zacharie… et tu puer, propheta altissimi… tu seras
appelé prophète du
Très-Haut, tu marcheras devant à la face du Seigneur et tu
prépareras ses
chemins… quant un père
reçoit de
prophétiser son enfant nouveau-né… pour donner à son
peuple de connaître le
salut par la rémission de ses péchés, grâce à la tendresse, à
l’amour de notre
Dieu, quand nous visite l’astre d’en-haut, pour illuminer ceux
qui habitent les
ténèbres et l’ombre de la mort, pour conduire nos pas au chemin
de la paix. Luc, Luc,
nous te devons le Magnificat, le Nunc dimittis et ce cantique, et cette leçon de vie spirituelle : elle
gardait
ces choses dans son cœur. Fruit
de
notre disponibilité et de notre bonne volonté : David,
l’adultère et
l’ancêtre, deux qualités décisives du psalmiste royal, ne
construira pas le
Temple, ce sera son fils, l’adultérin, mais… moi, je
serai pour lui un
père, et lui sera pour moi un fils (vérifier
si cette paternité que Dieu affirme à l’homme n’est pas ici,
dans ce second
livre de Samuël, pour la première fois évoquée). Ta
maison et ta royauté
subsisteront toujours devant moi, ton trône sera stable pour
toujours. Enoch, le
Baptiste : marcher devant
Dieu, sous Son regard (belle devise de mon cher Kergonan).
Face à face avec
Dieu. L’éternité signifiée à Noël.
Cher ami,
Monsieur le Secrétaire général,
j'entends donc que - par respect de la parole présidentielle, donnée devant le Congrès du Parlement - la possibilité de retirer la nationalité française à des binationaux va être inscrite dans la Constitution.
1° comme je vous l'avais aussitôt fait remarquer à la suite de l'adresse présidentielle, le droit français ne connaît pas la binationalité, et cela depuis toujours. Ce qui rend inopérante cette distinction dans l'application éventuelle de ces retraits de nationalité ;
2° cette pratique a tristement illustré le gouvernement de Vichy et l'une de ses premières applications a concerné le général de Gaulle ;
3° la mesure est maladroite parce qu'elle nous fait abandonner tout titre pour réclamer de juger chez nous et selon nous, des nationaux français incriminés à l'étranger ;
4° la mesure, si - après déjà bien des débats au sein même du gouvernement comme dans tous les milieux en France -, elle est proposée au vote constituant, va créer une objection de conscience à faire réélire un président qui se serait à ce point écarté des idéaux de la gauche et de la République en faisant sien un élément-phare du programme et des réactions du Front national.
Déjà, le discours de Grenoble - du prédécesseur - avait commencé de faire distinguer en France et dans le monde les discours de politique intérieure de l'image fondamentale (et fondatrice) de notre pays, telle que la portent et la veulent tant de nos concitoyens chez nous et tant d'amis étrangers. Vous allez renforcer cette distinction et le Président perdra en autorité tandis que la France, dans une Europe en péril dans la plupart de ses Etats-membres, sera encore moins exemplaire.
J'espère que dans ce triste cas, la garde des Sceaux si représentative des consciences de gauche et de la République et qui a rendu de si grands services au Président depuis le début du quinquennat, n'attache pas son nom à de telle dispositions.
Vraiment prenez garde : la mesure n'aura aucun effet dissuasif, en revanche elle va irréversiblement tacher le Président.
Voeu donc...
j'entends donc que - par respect de la parole présidentielle, donnée devant le Congrès du Parlement - la possibilité de retirer la nationalité française à des binationaux va être inscrite dans la Constitution.
1° comme je vous l'avais aussitôt fait remarquer à la suite de l'adresse présidentielle, le droit français ne connaît pas la binationalité, et cela depuis toujours. Ce qui rend inopérante cette distinction dans l'application éventuelle de ces retraits de nationalité ;
2° cette pratique a tristement illustré le gouvernement de Vichy et l'une de ses premières applications a concerné le général de Gaulle ;
3° la mesure est maladroite parce qu'elle nous fait abandonner tout titre pour réclamer de juger chez nous et selon nous, des nationaux français incriminés à l'étranger ;
4° la mesure, si - après déjà bien des débats au sein même du gouvernement comme dans tous les milieux en France -, elle est proposée au vote constituant, va créer une objection de conscience à faire réélire un président qui se serait à ce point écarté des idéaux de la gauche et de la République en faisant sien un élément-phare du programme et des réactions du Front national.
Déjà, le discours de Grenoble - du prédécesseur - avait commencé de faire distinguer en France et dans le monde les discours de politique intérieure de l'image fondamentale (et fondatrice) de notre pays, telle que la portent et la veulent tant de nos concitoyens chez nous et tant d'amis étrangers. Vous allez renforcer cette distinction et le Président perdra en autorité tandis que la France, dans une Europe en péril dans la plupart de ses Etats-membres, sera encore moins exemplaire.
J'espère que dans ce triste cas, la garde des Sceaux si représentative des consciences de gauche et de la République et qui a rendu de si grands services au Président depuis le début du quinquennat, n'attache pas son nom à de telle dispositions.
Vraiment prenez garde : la mesure n'aura aucun effet dissuasif, en revanche elle va irréversiblement tacher le Président.
Voeu donc...
[2]
- 2ème Samuel VII 1 à 16 ; psaume LXXXIX ;
évangile
selon saint Luc I 67 à 79
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