Le
mot de la fin ? un anniversaire anticipé de plusieurs mois – pourquoi ?
– et dont il n’est même plus dit que c‘est celui d’un assassinat : ils ont fait taire Jaurès, commençant la
Grande Guerre autant que l’attentat de Sarajevo… à Carmaux,
FH est hué, dispositif policier exactement comme aux temps les plus marquants
de NS, et une femme crie : vous nous avez volé le socialisme. Mais une fin
n’est pas un dénouement. Epoque passionnante et à suspense, sur tous les sujets
et sur tous les théâtres. Epoque funèbre pour la France et par la faute de ses
dirigeants, aussi de son peuple qui ne se soulève pas contre tant d’erreurs,
tant de gaspillages, de pillages et de désinvolture. Un peuple trahi, jamais
consulté depuis des années à qui l’on fait croire que les élections ont un sens
et lui donne à choisir. Toute l’expérience de ces deux ans pas encore écoulé le
clame. – Prier … c’st pour vous d‘abord que Dieu a fait lever son
Serviteur, et il l’a envoyé vous bénir, en détournant chacun de vous de ses
actions mauvaises. Le christianisme, la
Bible entière en ses deux Testaments, la condition humaine ainsi dite et reflétée,
sont tragiques, dramatiques, pas du tout suaves, et vivre comme si nous étions
au repos – le repos de l’Esprit ou dans l’Esprit, disent certains – au repos perpétuel
est certainement une illusion, probablement même une façon de refuser la vie. Le nerf de celle-ci
est la conscience de ce drame et c’est cette conscience qui nous fait prier,
implorer notre salut et découvrir, vivre – alors – qu’il nous est pleinement
accordé. Convertissez-vous donc et revenez à Dieu pour que vos péchés soient
effacés [1] Leur premier miracle effectué, c’est ce que
prêchent les Apôtres, en situation et avec un fait nouveau à proclamer : le
Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, le Dieu de nos pères, a donné sa gloire à
son serviteur Jésus, alors que vous, vous l’aviez livré ; devant Pilate,
qui était d’avis de le relâcher, vous l’aviez rejeté. Lui, le saint et le
juste, vous l’avez rejeté et vous avez demandé la grâce d’un meurtrier. Lui, le
Chef des vivants, vous l’avez tué ; mais Dieu l’a ressuscité d’entre les
morts : nous en sommes témoins. Factuel
et non philosophie. Réplique de la
Genèse mais avec un aboutissement immédiat : un péch d’origine, collectif, mais
une victoire, l’humanité pécheresse a cette fois son champion, et cet homme –
qui est le Fils de Dieu – vainc cette mort qui était la conséquence, dans la
Genèse, du premier péché. Tout repose sur la foi au nom de Jésus, Jésus ressuscité. Le Christ crucifié,
mort, enseveli, ressuscité. Voyez mes mains et mes pieds : c’est bien
moi ! Touchez-moi : un esprit n’a pas de chair ni d’os, et vous
constatez que j’en ai… C’est vous qui en êtes les témoins.
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