Hier…. La messe dominicale, homélie très positive, l’eamen
de conscience quotidien, le sacrement (autrefois, confession, puis pénitence,
puis réconciliation) de la renaissance et de la joie… La passion jouée depuis
cent ans à Loudéac (passion.bretagne.pagesperso-orange.fr), question
de Marguerite : pourquoi Dieu veut-Il tant de souffrance de son Fils pour
nous racheter ? Valéry GISCARD d’ESTAING en campagne en 1974, une
fraicheur et une jeunesse plus jamais retrouvées ensuite chez un candidat, l’absence
totale de moyens, le film de DEPARDON tourné alors (chaîne parlementaire LCP), commentaire de maintenant : la démocratie, une vie nationale
normale, que le second septennat eût installée. Ce qui n’a pas été. Alternance
au pouvoir, mais de quoi ? de qui ? et progressivement la disparition de toute
aspérité et donc de tout débat, de tout choix. Epoque, Régine DESFORGES se
parlant, parlant avec Sonia RYKIEL (dont j’apprends qu’elle a vendu aux
Chinois), importance de la révolution castriste et du personnage dans l’intelligence
mondiale, la censure et l’érotisme, la pornographie des pauvres tandis qu’au
Vietnam les enfants sont brûlés au napalm, là l’obscénité, FM et la
littérature, les écrivains. La France d’aujourd’hui : vide. Il y a cependant
nous ?
Assemblée plénière des évêques. Leur écrire pendant qu’ils
sont ensemble, une instance qui peut quelque chose, mais en a-t-elle conscience ?
Notre pays, la chrétienté, le désert chez nous, les massacres ailleurs. – Prier…
[1] sens de cet épisode,
un fait divers, des hiérarchies, des mouvements de foule, la libido des gens de
pouvoir et aussi d’âge ? La prière de Suzanne, comme celle d’Esther. Dieu éternel, toi qui pénètres les secrets, toi qui
connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent, tu sais qu’ils ont porté
contre moi un faux témoignage. Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait
de tout ce que leur méchanceté a imaginé contre moi. Justice populaire, justice divine. La mort en pleine jeunesse, la fille
de Jéthro. Dieu agit par les hommes. Le Seigneur entendit sa voix. Comme on
la conduisait à la mort, Dieu éveilla l’esprit de sainteté chez un tout june
garçon nommé Daniel, qui se mit à crier d’une voix forte. Ce cri est la parole balbutiée de Pilate, le lâche, cf. ses stances
très bien données hier à Loudéac. Mais Daniel l’assume et convertit tout un
peuple : tout le peuple revint donc en hâte. Le Christ et la femme adultère. J’ai ressenti, c’est personnel et
discutable, le débat entier sur « le mariage pour tous » comme une
haine de la chair, du corps et comme une envie forcenée de lapidation chez ceux
qui se sont passionnément opposés à la loi TAUBIRA, chrétiens de bonne volonté mais
éveillés au pire, prélats ayant apparemment trouvé des troupes mais pis encore
se livrant à des obscurités personnelles : regards, textes et visages des
plus notoires et médiatisés. Les passions de juger et de condamner ne sont pas
bonnes conseillères. Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le
premier à lui jeter la pierre. … Femme,où sont-ils donc ? alors personne
ne t’a condamnée ? – Personne, Seigneur. – Moi non plus, je ne te condamne
pas. Va, et désormais ne pèche plus. Pécheur,
péchresse mais ni jugés ni condamnés. Nous. Convertis. Ne pèche plus.
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