23 heures 48 + Ce que j’ai noté et prié
tandis que j’attendais ce matin…[1]
Nathanaël aujourd’hui, Pierre hier. Ces deux appels pas directement par le
Christ, mais déjà par des témoins. Pierre, le regard de Jésus sur lui, le
projet de Jésus. Nathanaël, la vue sous le figuier, la pénétration de Jésus.
Dans les deux « cas », le Christ s’empare de quelqu’un : il
dénomme l’un, qualifie l’autre, mais la liberté reste intacte. Elle s’exprime
par les multiples professions de foi de Pierre, et autant de reniements et de
maladresses. Nathanaël, sa profession de foi. Du premier, l’Histoire voulue de
Dieu et pour le second l’eschatologie, les anges l’échelle…L’évangéliste, le
disciple que Jésus aimait, « professeur de foi » : qu’est-ce qui
fait la reconnaissance humaine de la divinité ? comment cela
« marche », comment cela s’énonce ? Dieu nous fait jouer avec
lui selon nos propres jeux et enfances : regarder jouer les enfants et les
jeunes. La Sagesse jouait devant Dieu, avec les enfants des hommes.
jeudi 5 janvier 2017
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