Jeudi 19 Janvier 2017
Prier… les repères… ces trois
conversations fortes, le
professeur de physique-chimie de notre fille… ce couple en
salle d’attente
comme moi pour la rééducation… et mon médecin… chacune si
féconde… Le débat
pour la primaire socialiste, le diktat des journalistes, les
approches sur un
service civique mais de six mois et sans composante
militaire, sur la
construction européenne (la coalition des pays du sud en
imposant à l’Allemagne),
la dette à diminuer mais toujours pas en moratoire, des
mi-chemins… l’essentiel
est manqué : c’est l’ensemble d’un pays et d’une action
gouvernementale
qui permet de résoudre questions particulières et émergences
de nouveaux problèmes.
Concours d’idées et de solutions, ce n’est pas une élection
présidentielle.
Quand sans rien dire de ce que je pense et vois mais
interroge et appelle à réfléchir
hors des rites, je sens aussitôt plus que du bons sens, une
vraie solidité,
alors que les opinions politiques sont différentes et même
arrêtées. Il y a donc
un espace immense de progrès chez nous. La primaire dans le
désordre organisé
par des journalistes voulant de l’organisation. Le fatras…
des journalistes prétendant
régir la politique : les primaires le montrent ce n’est pas
sain. Ce soir,
je ne peux aller plus loin alors que la matière à réflexion
augmente. Cependant
avantage de cette forme nouvelle de campagne, c’est de
donner à voir des
politiques discuter entre eux, sinon se concerter. – Autant
qu’hier en partage
d’évangile, j’entends maintenant des affirmations sur le
métier de parents qui
s’apprend. Comme j’en entendais sur la vocation religieuse
ou sacerdotale.. –
La parité hommes/femmes, certainement pour les salaires si
la tâche est la même,
le congé des pères, certainement aussi mais les violences
conjugales ? elles
me paraissent sans discrimination, les déchirements et les
violences ne sont
pas que le fait des hommes : dans ma fratrie et dans nos
amitiés, deux ruptures
à l’initiative des femmes, la souffrance des divorces. Je ne
crois pas qu’il
faille légiférer, mais les cas particuliers et les
jurisprudences. Plus je suis
ces primaires, plus je ressens l’absolue nécessité de la
considération mutuelle.
Et je constate aussi de la bonne volonté. Et même de l’unisson sur le
Proche-Orient, sur l’Europe.
Sans que tout cela change la donne pour
cette élection présidentielle qui n’ouvre l’appétit de
personne chez nous. C’est
l’impasse. La question n’est pas de savoir comment en
sortir, mais de comprendre
comment d’année en année nous y sommes entrés. Sur la
plupart des sujets difficiles,
aucun diagnostic n’est posé. Elire sans savoir sur quoi
l’élu aura à se
colleter ? Faiblesse de la culture de nos candidats en
relations
extérieures, en connaissance de l’étranger. – Qualité de
l’appréciation sur
MACRON : les sondages ou un vote. Qualité des arguments de
chacun des sept
socialistes sur lui, sur l’unité de la gauche. Mais a-t-on
jamais eu une élection
présidentielle où aucun pronostic n’est possible ? et pis
une projection
sur la suite. Moins que jamais nous ne savons l’avenir,
parce que nous ne
sommes plus vrais ? seulement soumis aux circonstances, aux
rites.
Textes
du jour [1]…
prier. Toi, tu es le Fils de Dieu !
Le mal est le premier à discerner, pas tant le bien, que
Celui qui va
abolir les clivages, détruire la mort et le mal. Jésus
suscite trois attitudes,
les disciples, les curieux, les démons. La foule, les futurs
témoins, le mal.
Dès le début, ce qui se vivra le Vendredi-Saint, est déjà
présent. – Et humour
de l’Ecriture… sur nos affaires politiques : Quant
au grand prêtre que nous avons, le service qui lui revient se
distingue
d’autant plus que lui est médiateur d’une alliance meilleure,
reposant sur de
meilleures promesses. L’Alliance
atlantique aujourd’hui… Comment prier ? comment voter ?
comment
travailler ? Comment être homme, femme, enfants, gens
d’âges ? Ce
soir, tout m’est inconnu, sauf l’action de Dieu dans chacune
de nos vies, et qui
fait que nos vies sont des vies.
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