Vendredi 6 Janvier 2017
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. . en gare Montparnasse salle d’attente, 18
heures + …. après une
« grande » bière à la brasserie du niveau grandes lignes,
vingt ans
d’habitude et de rendez-vous ainsi avec mon cher neveu,
depuis deux ans. Presque jamais le même
garçon, celui-ci là très « garçon », et jamais quoique ce
soit si
souvent le train de 19 heures 40, les mêmes commensaux.
Prier d’action de
grâces et de
retrouvailles. Action,
de grâces
pour chaque moment de ces trois jours, les rencontres, les
récapitulations
intimes, les dialogues intenses de différences pas dites
mais profondes si une
surface et un plan de route ont de la profondeur, et de
communion vraie,
d’écoute et de curiosité de l’autre. Ces dîners donc avec
Eric de L. Ces deux
éditeurs cet après-midi, un certain bonheur et la
préparation de l’étape
suivante, après « la brochure » puis la « tentative »,
leur accueil à chacun, l’attente que j’écrive, propose et
finisse, donc les
vingt ans à venir si… Denys P..., deux mois pour qu’existe
le livre (les dates
mauritaniennes, les courriels à l’Elysée) mais pour
l’ordalie au pied du mur,
moins de deux mois, donc le début de Mars.Il doute que je
puisse… mais c’est un
homme de passion et de scandale qui a éprouvé l’attente de
France, vg l’épouse
de Bachar, en soins à Londres et demandant 300 professeurs
de français, la
Syrie d’alors qui aurait dû pu être autre n’e reçut aucun,
vg. l’Irak à huit
jours de l’attaque américain, le tombeau d’Ali, la relation
avec le chef du chiisme,
l’ambassadeur inexistant (jamais allé au tombeau, et sans
doute peu de ses
prédécesseurs), les Dominicains, ce qui confirme le
ministère confié à mon cher
Emmanuel D., vg enfin l’Iran avec Pierre LAFRANCE comme
interprète… Nous avons
communié dans le diagnostic et l’énoncé de notre nécessité
nationale, sans que
je donne la référence : le souci permanent de Michel
DEBRE qui
constatait dès après DG : l’administration n’est pas
commandée… et puis
Bernard de F.., un ascenseur, tandis qu’avaient été
difficiles les marches
Louis-Philippe ou plus ancienne de la rue de la
Montagne-Sainte-Geneviève, pour
atteindre Denys P… deux bureaux vivants, une femme au
premier téléphonant, et
au second, mon homme, vieilli : j’ai fait le pari que
c’était bien lui.
Venez, expliquez-moi… vous n’avez pas les parlementaires,
les librairies font
la mise en place de la mi-Mars mais le diagnostic sur la
campagne et le début
de la suite : oui, il va me lire parce que c’est moi.
Quoiqu’il ne m’ait
jamais publié : au motif que ce n’était pas fini ou autre
(mauvais pli au collège
à Franklin, les meilleures notes en rédaction », même quand
je ne donnais
que le brouillon, et que fais-je maintenant : copie
inachevée, pas relue...).
Le métro, derniers
personnages de Paris,
et leurs images. Ligne 13, seize-dix-sept ans, écouteurs,
blonde, pas grande
assise à côté de l’ouverture des portes,, le regard
intérieur, une concentration
totale à ce qu’elle reçoit, une mobilisation intime pour
comprendre ou évaluer
et comparer, le regard lentement va et vient, mais
intérieurement. J’ai
communié avec elle, et sa forme de prière, pas un dialogue.
La prière est
dialogue puisqu’il y a attente et réponse mutuelles (nous
avec Dieu, présence
mutuelle, élan). Et puis ce fut la station : Montparnasse.
Sur le quai,
d’abord à le croire avec pour maître un corps méconnaissable
de couvertures et
de recroquevillement, l’anonyme masculin, puis identifiant,
chien et maître.
Presque un pittbull, poil anthracite, beau et
luisant :l’animal
peut-être en semi-muselière, tout jeune, calme, accaparé par
la récupération d’une balle rouge vif,
tout en suivant un quidam, plus jeune que le dormeur sans
demeure, lui aussi de
poil noir. La balle aura suivi.
Prier : Jésus dans
l’Histoire.
« l’au-delà » n’est pas un lieu, le bonheur n’est pas d’y
être. L’un
et l’autre sont d’être enfin totalement en Dieu et abouti
selon Lui. Nos intuitions, des nostalgies plus encore que
nos actes, constructions et
peut-être réussites humaines et/ou spirituelle, tous faits
de nous, nous
assurent que ce nous est promis et que nous y arriverons.
Généalogie
aujourd’hui du Christ, rappelée par saint Matthieu. Présence
et enracinement
dans l’Histoire certes, mais pourquoi ne pas considérer ces
« ancêtres » comme autant d’étapes spirituelles, aussi.
Vécues par
nos devanciers et à vivre par leurs héritiers, héritiers de
leur foi, héritiers
de ce relais pour que Dieu soit manifesté dans notre
Histoire, l’humanité, et
la nôtre. Rien de nous n’est petit.
.
. . à bord du TGV retour Paris-Montarnasse à Vannes,
20 heures 57 + Prier [1] :
la généalogie du Christ, selon l’évangéliste de Marie et de l’enfance. Luc remonte
bien plus haut que Matthieu.
Jésus descend d’Adam, façon de souligner l’Incarnation. Et
cela me fait soudain
comprendre cette expression « le Fils de l’Homme » dont
aucune
explication ne me convainquait, surtout quand on amalgamait
Fils de l’homme
avec fil d’homme (livre de Daniel et la vision de celui-ci).
Se présentant et
se nommant ainsi, et absolument seul à n’être évoqué sous
cette appellation,
que par Lui-même : le
Fils de l’homme, chaque
mot compte et
pèse, signifie, instruit… Jésus, Fils de Dieu, revendique
absolument et explicitement sa lignée
avec Adam. Et celui ci est bien, par excellence : l‘homme,
mais l’homme de
de tous les péchés, puisque tous les péchés ont pour origine
et
explication : Adam. Le rédempteur de l’homme est l’homme
lui-même, parce
que Dieu s’est fait homme. – Lettre de saint Jean :
paisible. Notre foi
nous sauve, nous fait vaincre le monde, c’est-à-dire la mort
et la permanente
pente en nous à préférer la mort et la mort sans au-delà
pour fuir la vie,
notre sculpture par Dieu, les épreuves toujours à notre
proportion. Celui
qui met sa foi dans le Fils de Dieu, possède
en lui-même ce témoignage. Celui qui ne croit pas Dieu,
celui-là fait de Dieu un menteur, puisqu’il n’a pas mis sa foi dans le témoignage que Dieu rend à son Fils.
celui-là fait de Dieu un menteur, puisqu’il n’a pas mis sa foi dans le témoignage que Dieu rend à son Fils.
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