Prier…
une lumière est semée pour le juste,
et pour le cœur simple, une joie… évangile
lapidaire de Luc, confident de la Vierge Marie non seulement l’histoire de l’enfance
de Jésus, mais pour ce que celle-ci a vécu de l’enfance. Echo précis à ma
prière du chapelet ces deux jours. Combien fixer son attention sur les deux
simples textes du Notre ère et du Je vous salue, Marie fait approfondir très
peu d’éléments masi décisifs ou au moins appropriés à notre vécu du moment. Quant
aux « mystères » contemplés, vignettes au sens de l’école freudienne
rapportant des cas et des comportements, je ne pensais en apprendre et
comprendre autant par ce support de récitation… Heureuse la mère qui t’a
porté en elle, et dont les seins t’ont nourri. – Heureux plutôt ceux qui
écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent ! [1]. Même démenti ou même relativisation à propos
de Joseph : Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois !
ton père et moi, nous te cherchons angoissés Jésus, à douze ans, en fin de pèlerinage de son village, est resté au
Temple à Jérusalem, à l’insu de ses parents : Et pourquoi me
cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que je me dois aux affaires de mon
Père ? Mais eux ne comprirent pas la parole qu’il venait de leur dire.[2] Ensuite, Marie aura certainement compris que
l’ensemble des précisions de son Fils, l’universalité de Sa fraternité adoptive
avec l’humanité, Ses noces avec elle par Son incarnation, la rédemption, la
résurrection ne sont pas l’apanage de Sa mère, de la mère de Dieu, mais que
tout est dédié, selon son Père, à l’ensemble de la création. D’où d’ailleurs la
raison d’être du rosaire.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire