Prier … [1]
le Seigneur est celui qui paye de retour ; il
te rendra sept fois plus que tu n’as donné… Nul n’aura quitté, à cause de moi
et de l’Evangile… sans qu’il reçoive, en ce temps-là déjà, le centuple… et dans
le monde à venir, la vie éternelle. Je n’ai jamais aimé le propter
retributionem. Dialogue au bord de la Sarthe à une Pentecôte de 1964 avec
l’un de « mes » scouts les plus fins et avec lequel j’avais le plus
d’affinités, tout à mi-mots, un surdoué alors, qui aujourd’hui continue une vie
de ruptures et, à ses dernières nouvelles, peut-être une dizaine d’années
maintenant, déchristianisé, divorcé, « remis »… mais militant
scientifique et pour la francophonie, très intelligemment. Relation à raviver,
si je retrouve bien le contact internet. Quitter, s’abandonner, aimer
inconditionnellement et sans perspective humaine, uniquement parce que nous
sommes habités par cette évidence : Moi, Dieu, je suis ton Dieu !
… N’essaye pas de l’influencer par des présents, il ne les acceptera pas… rends
gloire au Seigneur sans être regardant. Mais c’est d’expérience spirituelle,
et parfois même très matérielle et temporelle que nous sommes comblés dès que
nous nous abandonnons en toute confiance. C’est apporter une offrande de
fleur de farine que se montrer reconnaissant. … Donne au Très-Haut selon ce
qu’il te donne et, sans être regardant, selon tes ressources. … Ne te présente
pas devant le Seigneur les mains vides. L’Eglise et Pierre avaient posé la
question, après le renouvellement de leur vocation : suis-moi. La
réponse avait été semi-claires, les hiérarchies et les fortunes de ce monde
peuvent s’inverser, mais c’est encore du pratique, du limité. L’assurance est
plus simple, moins aléatoire, plus personnalisée : sur le chemin qu’il
aura pris, je lui ferai voir le salut de Dieu.
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