Samedi 29 Mars 2014
Plus on s’enfonce dans la liturgie du
Carême plus l’on va vers l’essentiel de notre foi qui n’est pas une révélation
sur Dieu mais sur notre salut, grâce à Dieu. Après deux jours il nous rendra la vie, le
troisième jour il nous relèvera et nous vivrons en sa présence. [1]
Le chemin de la foi est une tension, un
effort, un désir, un goût, tout cela à la fois, mais déjà l’expérience de Dieu
se « prouvant » par Lui-même, la foi est reçue et entretenue. Non seulement,
elle ne s’impose pas à l’homme, Dieu ne s’impose pas à sa créature, mais ce
qu’Il prise, souhaite et donne, c’est l’effort pour connaître le Seigneurs, et comment ? c’est l’amour que je
désire, et non les sacrifices, la connaissance de Dieu, plutôt que les
holocaustes. Le prodigue n’est pas en peine, il n’a aucun
sacrifice à proposer, aucun holocaute, il revient et avoue son péché, sa faute.
Il est accueilli.
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