La paix intérieure, quelles en sont les composantes ? y a-t-il des
règles ? la reçoit-on ? ce qui est mon expérienc et fait son mystèr,
car à circonstances inchangées, elle est là à mon éveil, ou au contraire ce
sont les désordres et les abattements de la désespérance et du mécontentement
de soi. – Ingrédients d’hier : me coucher quand j’en ai eu envie (besoin),
avant mes aimées… la parabole familiale autant que du progrès de l’humanité, les croods que nous reverrons en
trinité et avec les lunettes 3 D… notre
petite fille, à l’instar du « zap » sur halloween, se cachant dans
notre lit pour me faire peur… surtout la lente compréhension que me débattre
est moins efficace pour quelque suite que ce soit qu’avoir un simple confiance
dans les ordonnancements et plans de Dieu. Ce qui est diffère de la nouvelle ou
dernière chance, vg. celle du figuier : laisse-le
encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.
Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon tu le couperas. [1] Le Christ a aimé les figues… mon père aussi,
le figuier à Bellevue, en angle rehaussé du mur au fond du jardin, la maison de
pêcheur et la mitoyenne celle du passeur de Conleau. Nos figuiers que pas plus
que nos deux pieds de vigne, je n’ai entretenus vraiment. Doux et chaleureux
chantier de notre environnement ici : ni parc ni jardin, mais vrger,
terrasse et disponibilité à un travail que nous ne faisons pas. L’immédiate
rétribution de la nature quand nous nous en occupons. Ce matin, cependant,
creuser autour des pieds de notre pergola pour que ma chère femme, avant la
semaine de Strasbourg, y plante ce qui doit grimper. Il vint chercher du
fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas. Le
vigneron est en faute, implicitement, il n’avait pas bêché. La providence, les
aides d’autrui, nous ne vivons pas seuls, nous ne serons pas sauvés seuls. Voici
le peuple de ceux qui le cherchent. … L’Esprit est votre vie, parce que vous
êtes devenus des justes. Les expressions
que les circonstances ou une époque « polluent » puisque l’adjectif est
aujourd’hui (avec la majuscule) la distinction suprême qui peut attribuer,
posthume, l’Etat d’Israël à ceux qui ont sauvé des Juifs pendant la dernière
guerre. Distinction dont la marque peut être l’inhumation dans la Terre
promise : précédent, Moïse. Lien paulinien entre chair et péché. Le
prendre au sens large de notre incarnation, comprendre alors que Jésus a pu vivre
notre incarnation sans principale conséquence : le péché, mais sans éviter
cependant la mort, qu’Il révèle ainsi non comme une limite et un désastre
inéluctables, mais comme un moment logique ! Il voulait ainsi que les
exigences de la Loi se
réalisent en nous, qui ne vivons pas sous l’emprise de la
chair mais de l’Esprit. Paul, sur sa
piste, définit a contrario la vie de l’Esprit en nous. La chair tend vers
la mort, mais l’Esprit tend vers la vie et la paix (réponse à mon interrogation sur ces états de l’âme à nos révils ou à
mesur qu passent la journée et notre existence). Car la chair tend à se
révolter contre Dieu, elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, elle n’en est
même pas capable.
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