Dimanche 4 Décembre 2016
08
heures 27 + A mon image, la situation de
notre pays et sans doute l’Europe. Celle-ci sans voix, sans
réflexion sur
elle-même et partant dans tous les sens, le chacun pour soi,
les vies nationales
toutes médiocres et dominées par ce qui n’est qu’un cri sans
projet ni
construction que s’écrouler sous l’échec les
extrêmes-droites. Chez nous, les
procédures et la Constitution n’ont plus de sens, c’est du
vide, là aussi du
chacun pour soi. CAMBADELIS et son appel à MELENCHON et
MACRON pour les
primaires à gauche : évidence que ces deux-là ne rejoindront
pas le
troupeau qui s’est dispersé depuis quinze ans et pas
seulement cet été et cet
automne. Donc au moins trois candidatures à gauche, et
l’homme-médecine à
droite, qu’est FF ne pourra être élu que par force, car
personne sauf quelques
chefs d’entreprise ou experts ne pourra choisir cinq ans ou
dix ans de potion
magique, la,simple comptabilité, sans réflexion de fond sur
le pays et sur l’Europe.
Rien que sur la dette extérieure, qui est le principal poste
de nos dépenses,
pas de réflexion : alors qu’une méditation et une expertise
sur les
conversions de dettes depuis un siècle et demi, et surtout
une entente des
Etats, à ce propos, nous tirerait tous d’affaire. FH hier
aux Emirats, mon
devoir vous protéger. Mais pas une allusion à une défense
proprement
européenne. Je lui ai conseillé avant-hier la démission,
maintenant.
L’expédition des affaires courantes pendant six mois d’une
campagne
présidentielle calamiteuse, ne dégageant ni élan ni
espérance, qu’au plus de la
raison à courte vue : la comptabilité et ne pas avoir LE PEN
à l’Elysée.
Hier
était simple. La vie au présent de neuf petites filles,
chacune charmante et
attachante. Marguerite boute-en-train, les "musicali", des
jeux. Situation
familiales extrêmement différentes. Parlé surtout avec un
père séparé, le fils
aîné plus qu’intéressant et sa sœur l’amie la plus proche et
constante de notre
fille. Avec un couple apparemment déséquilibré, mais
profondeur
silencieuse du père, leur fille précoce,
neuf ans déjà en cinquième mais d’une vulnérabilité
et d’un besoin d’on
ne sait quoi, sans doute encore plus de sécurité et
d’amour : loisir, le
kart, la vitesse comme sa mère en auto… Une femme au visage
passionnant, comme
celui de sa fille, séparée du père. C’est elle qui en
tentative de suicide par
chemin de fer aurait fait le retard dont mes ailées avaient
été victime pour le
TGV vers Strasbourg, il y a trois ans. Depuis amputée de la
jambe droite, mais
un sourire, du texte, des propos de voyages, vg. l’Afrique
du sud, et vraiment
le charme d’une âme, d’une intelligence d’exception, et sa
fille, je la vois à
la Comédie française. Et chacune des amies de notre fille,
la si merveilleuse
« Panda », grande pour son âge et le groupe, retenue,
pudique,
simple, particulièrement attachante. Et toutes, j’y vois
deux paraboles :
celle de nos peuples européens, qui pourraient ainsi former
le groupe le plus
pacifié et pacifiant du globe, et en être « le
boute-en-train ». Un
univers joyeux, potentiellement racheté, se donnant aux
tâches immenses
d’abolir les inégalités et de mettre la planète et l’espace
en exploitation
réfléchie ? Et l’autre leçon est celle de la transmission et
de la continuité,
les familles, le collège donnant tous leurs fruits par le
groupe formée par ces
très jeunes fille, assurée de leur entente, de leur harmonie
à toutes ensemble.
Et évidemment, comment n’en être pas heureux et fier, ce
sont le choix et les
rencontres de notre fille. Action de grâces et leçon.
09
heures 39 + Aujourd’hui, la mémoire de deux saints décisifs
par ce qu’il
représente, l’élite du Proche-Orient : Clément à Alexandrie,
et plus
encore Jean dit Damascène, arabe, syrien, haut fonctionnaire
dans le califat au
1er siècle de l’hégire. Benoît XVI dit leur
importance à tous deux,
et surtout au second, alors qu’il va partir en Jordanie,
Israël et territoires
palestiniens occupés (Mai 2009).
Dans
ce carrefour de décisions à prendre, engageant l’emploi du
temps et de
l’énergie qui me sont encore données, et engageant donc la
suite de ma vie,
dont je ne peux savoir la longévité ni l’état de mes
capacités à terme, je ne
dois pas commettre l’erreur que je fis, notamment à l’été de
1976 : ne pas
décider par instinct, peur ou entêtement, mais bien devant
Dieu avec le
principal de l’espérance qui est – fondamentalement – Son
secours et Son
inspiration, la force de l’Esprit… prier l’alternative et la
décision. Pas seul
« devant » moi-même, mais les miens en responsabilité, et
Dieu de toute
force et de toute inspiration, de tout effort, de toute
décision. Dieu de la
foi reçue.
18
heures 08 + Légèreté et beauté de tout hier, mais je sens
que notre trésor
s’ennuie aujourd’hui : la famille nombreuse que je n’ai pas,
que nous
n’avons pas su former, fonder, vouloir. Le deuil de Sinus a
empêché notre
ultime tentative ... Journée
parfaite en programme pour ce qui nous incombait, et don
évident de Marguerite
pour animer un groupe, des jeux avant et après le repas, à
des musicalis chez
CARTRON : influence possible de ce président de la
fédération des
artisans-pâtissiers-chocolatiers.
18
heures 31 + La nuit noire, mes aimées devant la télévision
19
heures 18 + Je rattrape une partie de ma messagerie : le
dîner de ma
promotion Franklin (plus d’empêchements que de venants,
certains ne sont pas
parisiens, d’autres ne sont plus bien portants) et des
réactions à ma réaction
sur la « renonciation » de FH (exactement le terme technique
pour
Benoît XVI en Février 2013) [3]
– Et MMR, fidèle et
informé, m’indique que FH est
aux antipodes de ce que je lui fais suggérer [4].
20
heures 01 + La messe paroissiale ce matin. Commencement pour
cinq enfants, deux
à peine marchant et trois de sept-huit ans, de la
préparation au baptême. Beau
rite de la croix, marquée du pouce au front, à la bouche,
aux yeux, aux
oreilles, à l’épaule. Au prône, évocation de la lettre de
Mgr. PONTIER, le
président de la conférence des évêques de France, à FH à
propos de textes en
gestation qui sanctionneraient les sites dissuadant de
l’avortement. En
revanche, sauf messe manquée où en conclusion d’une d’elle,
aurait été
présentée l’adresse des évêques pour retrouver
le sens du politique… De nouveau le portrait du
candidat idéal à la
présidence de toute République : texte d’Isaïe, déjà lu
mardi dernier [5].Il ne jugera pas sur l’apparence ; il
ne se
prononcera pas sur des rumeurs. Il jugera les petits avec
justice ; avec
droiture, il se prononcera en faveur des humbles du pays… La
justice est la
ceinture de ses hanches, la fidélité est la ceinture de ses
reins. Qualités qui ne
sont pas propres au
candidat… elles tiennent à sa relation à Dieu : sur lui
reposera
l’esprit du Seigneur : esrit de sagesse et de discernement,
esprit de
conseil et de force, esprit de connaissance et de crainte du
Seigneur. Qualités
données selon Son dessein : un
rameau sortira de la souche de Jessé… la racine de Jessé sera
dressée comme un
étendard pour les peuples, les ,nations la chercheront, et la
gloire sera sa
demeure. Caractéristique
de ce règne, de
cet exercice du pouvoir : la paix, Parabole des animaux que
pourrait
illustrer Benjamin RABIER (les albums de Gédéon, pas tant la
vache qui rit…De toutes
autres relations entre les
personnes, entre tous les éléments de la création, et
toujours le souci du
faible et du pauvre, du pauvre dont il sauve la vie. Eloge de toute catéchèse : tout ce qui a été
écrit à
l’avance dans les livres saints l’a été pour nous instruire,
afin que, grâce à
la persévérance et au réconfort des Ecritures, nous ayons
l’espérance. Prier… autre
forme de la concorde et de la pacification du monde : être
d’accord
les uns avec les autres selon le Christ Jésus. Cette utopie ? a un nom, un agent, le Rédempteur.
Isaïe
prophétise autant le Christ que son Précurseur. Spécificité
du baptême : moi,
je vous baptise dans l’eau, en vue de la conversion… Lui vous
baptisera dans
l’Esprit Saint et le feu. L’Esprit déjà
caractérisé par Isaïe et qui a libre cours quand paraît puis
disparaît le
Christ, l’Esprit Saint au début et à la fin de la vie
terrestre du Christ.L’Histoire
et la politique selon Dieu : deux dimensions que nous
n’avons pas ou plus,
la prophétie, c’est-à-dire le rappel du sens, et le temps,
les millénaires. Et
le rôle principal, à Dieu. L’homme, quant à lui, efficace
parce qu’habité par l’Esprit
Saint, mais ce n’est pas une exclusivité car la
connaissance du Seigneur remplira
le pays comme les eaux recouvrent le fond de la mer.
Ami cher,
Le
chamboulement électoral
traduit le désarroi de la population et sa peur en
l'avenir.
Fillon
rassure par sa
posture.
Il répond
clairement aux deux
préoccupations escamotées par la gauche: l'Islam et
l'immigration.
Il
désigne implicitement
les responsables du chômage: les étrangers et les
fonctionnaires (de Paris et
de Bruxelles)
Il recentre
l'identité
nationale sur ses valeurs chrétiennes.
Pour
résumer, il coupe l'herbe
sous le pied de Le Pen. La différence entre eux se
jouera après le
maquillage, sur leur image.
À gauche,
personne ne semble
faire le poids. On attend l'outsider qui n'arrive pas.
Hier,
soirée chez des amis.
Tous anciens encartés PS, certains en responsabilité. Tous
démissionnés.
Ressentiment et amertume unanime: pacte
d'irresponsabilité, casse du Code
du travail, alignement sur Israël... Le parti socialiste
n'est plus, il a
implosé. Seule résolution: voter contre Le Pen au second
tour.
Le jeu
n'a jamais été
aussi ouvert.
Aux USA et
en France, on
découvre que les sciences politiques sont aléatoires. Que
la propagande
électorale ciblée grâce à des calculs savants et fondée
sur les bases de
données (les big data) est sans effet. Les gigantesques
moyens publicitaires
peuvent être contré par de simples tweet et quelques
images de Face book.
Chaleureusement,
H
Le 04/12/2016 à 14:42, Bertrand
Fessard de Foucault a
écrit :
Vous êtes
précieux, vous m'êtes précieux, cher Hedy.
J'ai trois sites en puissance avec noms de domaine, mais je ne sais pas les faire : de l'aide ? De même pour la rumeur réseaux sociaux.
Fillon est bien plus dangereux parce que s'il gagne la présidentielle, il aura une majorité parlementaire, on reviendra à 1815. Tandis que Marine Le Pen n'en aura pas et l'on ira au consensus national par le Parlement qui formera le gouvernement et proposera le Premier ministre. Marine pourra refuser deux ou trois puis négociera. Fillon aura l'apparence de la légitimité, en réalité il sera plus autoritaire que jamais personne depuis la République, et son programme est anti-européen et anti-social.
J'ai confiance dans notre pays et son ressort. Je crois mon/notre entreprise nécessaire. Je vais par ailleurs rédiger une quasi-brochure : taille entre Indignez-vous de Stéphane Hessel et le livret des évêques.
Il faut que FH provoque un séisme et place tout le monde, y compris nous tous, en réflexion et responsabilité : qu'il démissionne maintenant. L'élection aura lieu, constitutionnellement, au plus tard trente-cinq jours après le constat de vacances, provoqué par sa démission, et constaté par le Conseil constitutionnel. Il est pour moi incompréhensible, suicidaire dès son élection : aller à Berlin accepter ce qu'il n'a pas négocié, cela dès son premier soir.
Fraternellement.
J'ai trois sites en puissance avec noms de domaine, mais je ne sais pas les faire : de l'aide ? De même pour la rumeur réseaux sociaux.
Fillon est bien plus dangereux parce que s'il gagne la présidentielle, il aura une majorité parlementaire, on reviendra à 1815. Tandis que Marine Le Pen n'en aura pas et l'on ira au consensus national par le Parlement qui formera le gouvernement et proposera le Premier ministre. Marine pourra refuser deux ou trois puis négociera. Fillon aura l'apparence de la légitimité, en réalité il sera plus autoritaire que jamais personne depuis la République, et son programme est anti-européen et anti-social.
J'ai confiance dans notre pays et son ressort. Je crois mon/notre entreprise nécessaire. Je vais par ailleurs rédiger une quasi-brochure : taille entre Indignez-vous de Stéphane Hessel et le livret des évêques.
Il faut que FH provoque un séisme et place tout le monde, y compris nous tous, en réflexion et responsabilité : qu'il démissionne maintenant. L'élection aura lieu, constitutionnellement, au plus tard trente-cinq jours après le constat de vacances, provoqué par sa démission, et constaté par le Conseil constitutionnel. Il est pour moi incompréhensible, suicidaire dès son élection : aller à Berlin accepter ce qu'il n'a pas négocié, cela dès son premier soir.
Fraternellement.
[2] - Le 04/12/2016 à 17:20, Bertrand
Fessard de Foucault a
écrit à Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de
l’Elysée :
être mis, nous tous, devant nos
responsabilités
Cher ami, Monsieur le Secrétaire général,
il n'est pas possible que
1° la présidence de la République soit
galvaudée ou gaspillé en
expédition des affaires courantes pendant six mois et
que la France perde ces
six mois,
2° la campagne présidentielle soit menée
sans une réflexion de
tous sur nous-mêmes, et non pas selon un P.M.U. à qui
sera élu/élue et selon un
ordre du jour rédigé par les candidats probables ou déjà
en course.
Le quinquennat a beaucoup usé - en
vocabulaire, à ses débuts -
du terme et de l'ambition : un choc de ...
Il en faut un maintenant pour que nous
réfléchissions sur cette
responsabilité, du Président au moindre citoyens, en
passant par les élus, les
partis,les associations patronales, les syndicats et
même les églises.
Que le Président aille donc au bout de
la logique de sa
renonciation et démissionne. Le scenario est prévu par
la Constitution et nous
voterons au plus tard dans les trente-cinq jours
suivant le constat de la
vacance par le Conseil constitutionnel.
Je vous l'ai déjà recommandé. Un avantage
de plus : un décalage
plus sensible entre l'élection présidentielle et le
renouvellement de
l'Assemblée nationale. Un commencement de souplesse.
Cette réflexion nationale importe
beaucoup plus que le choix
d'un/d'une successeur du Président. C'est d'ailleurs
cette réflexion intime,
personnelle de tous les Français selon notre situation
et selon les
circonstances qui déterminera une lucidité nationale,
désormais intolérante
pour tout ce qui sera imposé à faux ou à tort.
Nous n'allons pas nous en sortir par
quelque programme que ce
soit, mais seulement par un retour à notre maturité. Et
il n'y a pas besoin
d'incuber des mois ou des années.
Voeux que cela soit.
Je
comprends votre désarroi,
je n'ai aucune expérience politique ,rien qu'un bulletin
de vote auquel je n'ai
jamais manqué .cependant je ne ressens aucune indulgence
pour un président dont
je respecte la fonction et dont lui même n'a pas mesuré la
grandeur.
Je n'ai de
ce fait aucun
regret devant son effacement.l'étalement d'une vie privée
qui ne m'inspire pas
d'admiration de surcroît me gêne ,je crois toujours à
l'exemplarité nécessaire
quand on brigue le pouvoir.
Je reste
amicalement
votre
Le 02/12/2016 à 12:10, jr...a
écrit :
Bonjour
Monsieur Fessard de
Foucault,
Voici mon
avis sur la
démission de M. Hollande :
Je pense
que le fait que
Monsieur Hollande renonce est une bonne nouvelle tout en
trouvant que c'est
lâche; il ne se battra pas pour les prochaines élections.
Je n'ai jamais
eu d'avis sur lui ou sur sa politique car ça n'a jamais
été un président (et
même un homme) avec du charisme, même son infâme et
incompétent premier
ministre en avait plus, c'est pour dire... La politique de
F.H je ne l'ai
jamais condamné, ni soutenu d'ailleurs. La seule chose
que je peux lui
reprocher est sa manie tomber dans des situations
particulièrement absurdes
uniquement par une interprétation (livre récemment paru)ou
un manque de
discrétion (Julie Gayet), les médias ne condamne plus les
sacandaleuse
déclaration de Nicolas Sarkozy alors pourquoi s'acharner
sur F.H ?
Je ne crois
pas en les
politiques d'aujourd'hui leur engagement n'est que
factice, il sert à
justifier des mesures qui deviennent celles des ministères
et des des
groupements de multinationales, c'est à mon sens une des
premières priorités
pour la résolution des problèmes du système politique
actuel.
Fraternellement
Jean
Rémi.
François est
dans l'état d'esprit inverse de ce que vous conseillez à
Jouyet. Il veut
utiliser les cinq mois qui courent jusqu'au terme de son
mandat pour défendre
son bilan en démontrant le bienfondé de ses décisions et
pour aider la gauche à
se "refaire" en vue des scrutins d'avril, mai et juin.
S'il a
annoncé
qu'il ne se représentait pas, c'est justement pour pouvoir
achever son mandat
en apothéose. Sinon, il aurait déjà démissionné
amicalement
vôtre
Le 04/12/2016 à 19:30, Bertrand
Fessard de Foucault a
écrit :
Je comprends
tout à fait le point de vue dont vous vous faites
l'écho, cher Michel. Merci de
l'exprimer.
Jusqu'au bout de son mandat, FH aura fait donc le contraire de ce que je souhaitais qu'il fît tant pour lui-même que pour le pays. Et évidemment, il ne m'aura jamais reçu ni accusé lui-même réception de l'un quelconque de mes messages. J'ai pourtant toujours eu la sensation d'être lu, et pas seulement par JPJ. Ce ne peut que me fortifier dans mon entreprise, dite "ordalie". J'ai donc été son contraire. Je prépare aussi l'édition en deux volumes de mes messages vers NS, puis vers FH...
Evidemment, en ne démissionnant alors qu'il est si manifestement désavoué qu'il en prend acte lui-même, il est au rebours du 28 Avril 1969 : " ma tâche évidemment impossible ... "
Reste le mystère de cet homme : pourquoi avoir quitté successivement deux femmes qui avaient de la qualité, pas seulement en politique et communication, Ségolène et Valérie T. ? pourquoi avoir nommé Valls puis Macron. Ayrault était parfait et transparent, et la réforme fiscale qu'il voulait entreprendre était une excellente entrée en matière pour la suite. Et quelle impression de solitude, il donne à tous les points de vue.
Fraternellement.
Jusqu'au bout de son mandat, FH aura fait donc le contraire de ce que je souhaitais qu'il fît tant pour lui-même que pour le pays. Et évidemment, il ne m'aura jamais reçu ni accusé lui-même réception de l'un quelconque de mes messages. J'ai pourtant toujours eu la sensation d'être lu, et pas seulement par JPJ. Ce ne peut que me fortifier dans mon entreprise, dite "ordalie". J'ai donc été son contraire. Je prépare aussi l'édition en deux volumes de mes messages vers NS, puis vers FH...
Evidemment, en ne démissionnant alors qu'il est si manifestement désavoué qu'il en prend acte lui-même, il est au rebours du 28 Avril 1969 : " ma tâche évidemment impossible ... "
Reste le mystère de cet homme : pourquoi avoir quitté successivement deux femmes qui avaient de la qualité, pas seulement en politique et communication, Ségolène et Valérie T. ? pourquoi avoir nommé Valls puis Macron. Ayrault était parfait et transparent, et la réforme fiscale qu'il voulait entreprendre était une excellente entrée en matière pour la suite. Et quelle impression de solitude, il donne à tous les points de vue.
Fraternellement.
[5]
- Isaïe XI 1 à 10 ; psaume LXXII ; Paul aux Romains
XV 4 à
9 ; évangile selon saint Mathieu III 1 à 12
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