Les
« belles choses »… Jean-Eudes F. allant chercher exprès notre cher
Denis M. pour que celui-ci, emmené à Noyal(-Muzillac) y voit un dernière fois
ses affaires… les appréciations et notations pour l’année scolaire et les
travaux ou exercice de notre fille, en « rédaction » ou en calcul, en
tests divers, parcourir ce qui lui est demandé et ce qu’elle répond : je
suis alors « dans sa peau » et je ressens son travail, ses
acquisitions, ses joies… l’intelligence
de ma femme, signant notre lettre entièrement de mon crû pour remercier
l’excellente maîtresse qu’a été Marie-Christine M., elle y ajoute d’un mot, ce
qui manquait vraiment ; repassant ma vie d’amant et de compagnon, évidence
qu’avec Isa. mais nous ne nous sommes pas épousés et celle-ci était moins
globalisante, quoique… elle est de loin la plus intelligente : je dis cela
pour le registre profane. Intelligence, qu’est-ce ? C’est en amour que
vraiment l’intelligence se distingue, les autres registres ne produisent que
des performances partielles, l’intelligence en amour et seulement en amour
transforme autant l’objet que le sujet, le génie divin qui nous en gratifie a
la délicatesse que tout cela se fait, se vit et évolue dans le mystère et
l’indicible, l’inconnaissable de
plus en plus. Nous en vivons les effets, non les causes. –
Livre d’Eric Emmanuel SCHMITT, entrevu hier à Saint-Nazaire, qui peut-être
approche ce sujet, mais à tenter d’élucider la cause de l’amour, humainement on
ne va pas loin ici-bas. Nous sommes dans le bel empire des effets. –
Relativité : l’audience avant-hier soir de TF1 pour NS, mais à la plage Benoît de La
Baule, à la poste carré des entreprises à Vannes, aux caisses de la FNAC, je
questionne systématiquement : avez-vous regardé ? personne de cette
quinzaine que je sonde n’a suivi l’émission, et l’explication donnée par chacun
est plus édifiante que des réponses thématiques. C’est un peu l’indifférence à
« la politique » mais pour presque tous, et les âges et sexes
représentaient bien notre ensemble, c’est la non-confiance et la non-sympathie…
Prier…
écoutez ceci, vous qui écrasez le
pauvre pour anéantir les humbles du pays… [1] Le prophète comme le Christ
apostrophe : nos comportements, nos duretés, la mienne (au lieu d’achats
de livres même en occasion de bon marché, j’ai à adresser quelque argent à
Ousmane, son dernier-né et en fin de Ramadan, de quoi festoyer…). Quelque chose d’impitoyable, mais de vrai . On
se trainera d’une mer à l’autre, marchant à l’aventure du nord au levant, pour
chercher en tout lieu la parole du Seigneur, mais on ne la trouvera pas. Malédiction ? simple constat de bien
davantage que le besoin de Dieu, inné en l’homme, besoin du Créateur ressenti
par la créature, de son conjoint, de sa compagne en amitié en amour, l’un
l’utre, le couple qui n’est ni hiérarchie ni dépendance, celui de Dieu et de
l’homme, qui est cet amour, plus compréhensible, parce que nous le vivons, que
l’amour trinitaire dont il est une image, un début, un effet surtout… ce ne
sera pas une faim de pain ni une soif d’eau, mais la faim et la soif d‘entendre les paroles du Seigneur.
Collctivement en notre époque et selon nos diverses civilisations, il y
a ce trait commun aujourd’hui : le manque de repères, le manque
d’autorités morales, celles des familles religieuses étant pour le moment
considérées avec recul, crainte puérile du mélange des genres ou d’un
totalitarisme, qu’en réalité nous pratiquons bien plus dangereusement en
économie et en société… Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont
besoin du médecin, mais les malades… je suis venu appeler non les justes, mais
les pécheurs. Le collecteur d’impôt
qu’est Matthieu sera non seulement un disciple impeccable, mais surtout un
biographe décisif, un homme de sagesse et justement un ministre de la Parole. Curiosité :
s’y connaissant en finances, il aurait dû logiquement avoir la gestion de la
bourse commune, au lieu que ce soit le lot de Judas dont je ne crois pas que
nous sachions la profession antérieure à son appel. Matthieu, consacré
mémorialiste. La mémoire, lieu d’écoute de l’Esprit Saint, un de nos
lieux.d’écoute. – Réponse à l’admonestation divine : mon âme a brûlé
de désir en tout temps pour tes décisions. J’ai choisi la voie de la fidélité,
je m’ajuste à tes décisions. Vois, j’ai désiré tes préceptes… A recopier ces mots, comment ne pas trembler
d’y adhérer, trembler d’envie et d’intention, mais prescsience aussi de ce
qu’en Dieu commence le total inconnu : celui de notre perfection. Par
ta justice, fais-moi vivre. La bouche grande ouverte, j’aspire, assoiffé de tes
volontés. Ainsi soit-il.
Hier
Les commentaires aux dires de NS hier
soir pour TF1
et Europe 1, aucun ou presque ne porte de la part des journalistes ou de
celles des politiques, sur les faits eux-mêmes, c’est-à-dire ce qui motive
« l’acharnement judiciaire ». On est dans l’appréciation d’un
règlement de comptes, dans la recherche de qualification. – La presse cependant
n’est pas complaisante, rappel fréquent des chefs de mise en examen :
présomption de corruption, recel, intérêts. Rappel des dires et repasse de
certains moments de l’entretien d’hier soir. Je ne suis pas un homme qui
fuit ses responsabilités… mes conversations les plus intimes avec mon avocat
alors que bien sûr je n’ai rien à m reprocher . Réactions… Paul LAURENT (le
PC). J’attendais des explications, aucune clarification, faits reprochés
très graves. Prise à partie violente des magistrats. L’objet-même était son
retour politique. Le temps judiciaire et le temps politique, il n’est
pas précisé à nouveau que cette mise en examen peut durer quelques dix-huit
mois. Sondage avant-hier, donc avant la comparution puis la mise en examen :
65% des Français ne souhaitent pas son retour
et sondage ce matin (Le Parisien) après l’entretien d’hier
soir : 63% n’ont pas été convaincus… Jean-Pierre RAFFARIN colle à
l’argumentaire d’hier soir, ce qui n’avait pas été sa première réaction
auparavant : confiance dans la justice mais qu’elle soit impartiale.
Claude GUEANT : interdire le syndicalisme dans la magistrature, supprimer
l’Ecole nationale de la magistrature, elle favorise et crée l’entre soi des
magistrats. C’est un ancien préfet qui parle (dont il n’y avait rien à dire
avant qu’il n’entre au service de NS). – Validation en Cour de cassation de la
décision d’appel : les enregistrements BUISSON, les dommages-intérêts à NS
et à Carla.
A midi, retour de France-Infos. sur les « petites
arrangements avec la vérité» commis par NS. La comparaison avec
CAHUZAC : celui-ci avait pris rendez-vous avec les juges pour avouer. La
procédure est bien que le prévenu n’a l’occasion de questions-réponses avec le
juge d’instruction qu’à partir seulement de leur second entretien, le premier
n’étant que pour la
signification. Affaires « blanchies » ?
Karachi : pas dix ans d’enquête mais trois et demi seulement, commencée le
10 Septembre 2010, étant donné la qualité des prévenus ; Edouard BALLADUR,
François LEOTARD et évetuellement Nicolas SARKOZY, saisine de la Cour de
justice de
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire