Mon message à
JMA pour réinstituer la D.R.E. [1]. Voir clair… les deux
statuts donnés à NS après douze heures d’interrogatoire, qui semblent devoir
beaucoup aux charges fournies par Jean-François COPPE (les trois proches
collaborateurs de l’ancien président… BUISSON pour l’idéologie, FILLON pour le
gouvernement, et COPPE pour le parti sont ses ennemis depuis que le pouvoir l’a
quitté). Soupçon ou réalité, il est clair que le candidat pour 2017 a montré qu’il n’a
aucun scrupule quand il est au pouvoir. Or, et en plus s’il s’est possible, il
a fait dégénéré la pratique présidentielle chez nous et ses comportements
autant que ses propos nous ont fait honte. La cause est entendue. Voir clair…
la Grande-Bretagne, persévéramment distincte et distinguée de l’Union
européenne à laquelle elle est censée appartenir depuis que DG est parti et
qu’elle avait de 1950 à 1961, tout aussi persévéramment, refusé de rejoindre.
Seulement les bons vœux de CHURCHILL pendant qu’il n’était plus au pouvoir. Le
« chèque » depuis le sommet de Fontainebleau présidé par FM en 1984.
L’exception de la City qui « plombe » les relations financières
internationales et qui manque à l’euro. L’exception de cette attraction exercée
sur les immigrants. Que négocie-t-on « au sommet » ? de
nouvelles exceptions à une Union, par ailleurs de moins en moins intégrante et
de plus en plus mal aimée partout et en tous domaines ? Je crois que cela
ne motivera pas davantage le oui outre-Manche et que toutes nouvelles
concessions diminueront encore l’élan et la crédibilité de l’Union. Une sortie
britannique et la réécriture complète du traité de l’Union sont la bonne
solution. Prévoir et organisation la démocratie directe par le mode d’élection
du président de l’Union et le referendum obligé dans certaines manières.
Prévoir et organiser (ce qu’avait justement disposé le projet de Constitution
de VGE en 2004-2005) la sécession, la suspension et même des allers-retours
dehors-dedans mais sans qu’il y ait rien à la carte. Tout ou rien, mais des
congés, des absences.
Voir clair…
c’est faire confiance. Non à la vie qui n’a de logique de vie qu’en Dieu. Faire
d’autant plus confiance au Seigneur, notre Sauveur que nous sommes mis devant
le fait de nos impasses, totalement. Comprendre, vivre, accepter que nos
chemins non seulement peuvent aller à l’impasse (pour ma part j’y étais et y
suis encore, même si mes consentements au douloureux et à l’inconnu
éclaircissent un peu regard et horizon), mais que ceux de Dieu, pour notre
triomphe et notre aboutissement, soient à leur commencement lequel dépend de
notre fiat incompréhensibles et même indicibles, indéfinissables, non identifiables.
Prier… [2] Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu, renouvelle et
raffermis au fond de moi mon esprit. Ne me chasse pas loin de ta face, ne me
reprends pas ton esprit saint…tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et
broyé… En voyant leur réaction, et comment ils se détournaient de leur conduite
mauvaise, Dieu renonça au châtiment dont il les avait menacés. La conduite mauvaise ?
fondamentalement, s’éloigner de Dieu, mais qui le ferait ou le fait en
connaissance de cause, c’est-à-dire en pleine connaissance, conscience de
Lui ? Nous péchons par distraction, légèreté, inconscience : nous ne
sommes pas centrés sur notre Créateur ni en totale confiance avec Lui. Je le
vois bien, ces dernières années, pour telle décision très grave que j’ai prise
autrefois sans L’invoquer, sans réfléchir avec Lui et selon Lui, sans avoir
confiance dans la force qu’Il me donnerait, m’aurait donnée si j’avais pris une
autre décision, la décision selon Lui et non selon moi, le fuyard et
parjure. Décision qui, précisement et comme toujours dans la vie spirituelle,
était de consentir. Et je suis en train de le vivre, me confier à la force
qu’Il va me donner, puisqu’il me faut constater l’impasse et consentir à
l’inconnu d’en sortir. Cette génération est une génération mauvaise :
elle cherche un signe, mais en fait de signe il ne lui sera donné que le signe
de Jonas… et il y a ici bien plus que Jonas. Quel fut ce signe, et en quoi le Christ-même le fut aussi ? cette
pérégrination à travers une immense et puissante ville, une époque, une
civilisation. Celle aussi et surtout du Christ, marchant, parlant, guérissant,
miraculant pendant trois ans… celle enfin d’une époque de ma vie et de ses
certitudes, tenant bien trop à moi seulement, et qui ont été et sont broyées.
[1] - Cher Monsieur le
Premier Ministre,
je suis heureux que vous soyez pour quelque temps au Quai d'Orsay pour vous et pour une véritable intimité franco-allemande à ré-établir... elle n'existe plus depuis la dissolution de l'entente Mitterrand-Kohl. Les fondations ne demandent pas la durée, mais une inspiration tirant tout le parti et de la réalité et des circonstances et de l'acquiescement populaire à ces fondations. Donc, vous et maintenant.
Nous n'avons pas correspondu tandis que vous étiez à Matignon. Espérant alors beaucoup du Président, ce qui allait à lui, était également pour vous.
Et depuis - d'autant que je suis chaque semaine plusieurs jours à Nantes pour des enseignements : j'admire le bâti, l'ambiance et la détente mentale de votre ville, ma femme également - je voulais vous écrire pour vous rencontrer à loisir. J'ai admiré depuis Avril 2014 votre silence et donc votre loyauté, alors que... évidemment beaucoup apprécié le document télévisé établi par votre fille.
Pour l'immédiat, suggestion et voeu : réinstituer notre outil pour zéler notre commerce extérieur. Donc rétablir aux Finances, sous un sigle ou un autre, la D.R.E.E., la Direction des Relations Economiques Extérieures. Ni le Trésor et ses moutures successives, ni le Quai ne peuvent en tenir lieu, quoique pendant des décennies, ils aient chacun louché gloutonnement vers la D.R.E.E. la qualité de dispositif dans le monde et en France, sa multidisciplinarité et les postes censés "juteux" à l'étranger.
Les privatisations du réseau en France par osmose ou habitat commun avec les Chambres de commerce et d'industrie, des antennes de l'ex-Centre français du commerce extérieur (organisme de prospection et d'accompagnement), de la Coface jouant la concurrence avec tous organismes de banque ou d'assurance et une clientèle tout venant, étrangère ou nationale ont privé le gouvernement d'un outil visible - que ne remplace pas la cohorte des patrons intégrés dans les voyages présidentiels à l'étranger en quête de fabuleux contrats qui polluent les dialogues qui devraient entre responsables suprêmes des Etats n'être que politiques.
Que le Quai ne fasse que de la politique, même quand ses directions ou bureaux économiques, ont compétence pour l'action commune avec Bercy, notamment pour l'inspirer en appui de la politique. Que cette Direction à réinventer - ce fut le thème de notre dernier entretien avec Pierre-René Lemas avant qu'il démissionne puisqu'il tenait (comme moi) à ce que vous restiez à Matignon - redonne au gouvernement un regard, une stratégie, des outils pour notre commerce extérieur. Tout est donc à faire.
Naturellement, je suis à votre disposition, mais le retraité de cette ancienne direction et aussi du Département, est tout à fait secondaire. Je veux - comme beaucoup - avoir matière à de nouveau être fier de nous, au moins dans quelques domaines, ceux dépendant de vous depuis quelques jours déjà.
Très chaleureusement, avec déférence et des voeux sincères.
je suis heureux que vous soyez pour quelque temps au Quai d'Orsay pour vous et pour une véritable intimité franco-allemande à ré-établir... elle n'existe plus depuis la dissolution de l'entente Mitterrand-Kohl. Les fondations ne demandent pas la durée, mais une inspiration tirant tout le parti et de la réalité et des circonstances et de l'acquiescement populaire à ces fondations. Donc, vous et maintenant.
Nous n'avons pas correspondu tandis que vous étiez à Matignon. Espérant alors beaucoup du Président, ce qui allait à lui, était également pour vous.
Et depuis - d'autant que je suis chaque semaine plusieurs jours à Nantes pour des enseignements : j'admire le bâti, l'ambiance et la détente mentale de votre ville, ma femme également - je voulais vous écrire pour vous rencontrer à loisir. J'ai admiré depuis Avril 2014 votre silence et donc votre loyauté, alors que... évidemment beaucoup apprécié le document télévisé établi par votre fille.
Pour l'immédiat, suggestion et voeu : réinstituer notre outil pour zéler notre commerce extérieur. Donc rétablir aux Finances, sous un sigle ou un autre, la D.R.E.E., la Direction des Relations Economiques Extérieures. Ni le Trésor et ses moutures successives, ni le Quai ne peuvent en tenir lieu, quoique pendant des décennies, ils aient chacun louché gloutonnement vers la D.R.E.E. la qualité de dispositif dans le monde et en France, sa multidisciplinarité et les postes censés "juteux" à l'étranger.
Les privatisations du réseau en France par osmose ou habitat commun avec les Chambres de commerce et d'industrie, des antennes de l'ex-Centre français du commerce extérieur (organisme de prospection et d'accompagnement), de la Coface jouant la concurrence avec tous organismes de banque ou d'assurance et une clientèle tout venant, étrangère ou nationale ont privé le gouvernement d'un outil visible - que ne remplace pas la cohorte des patrons intégrés dans les voyages présidentiels à l'étranger en quête de fabuleux contrats qui polluent les dialogues qui devraient entre responsables suprêmes des Etats n'être que politiques.
Que le Quai ne fasse que de la politique, même quand ses directions ou bureaux économiques, ont compétence pour l'action commune avec Bercy, notamment pour l'inspirer en appui de la politique. Que cette Direction à réinventer - ce fut le thème de notre dernier entretien avec Pierre-René Lemas avant qu'il démissionne puisqu'il tenait (comme moi) à ce que vous restiez à Matignon - redonne au gouvernement un regard, une stratégie, des outils pour notre commerce extérieur. Tout est donc à faire.
Naturellement, je suis à votre disposition, mais le retraité de cette ancienne direction et aussi du Département, est tout à fait secondaire. Je veux - comme beaucoup - avoir matière à de nouveau être fier de nous, au moins dans quelques domaines, ceux dépendant de vous depuis quelques jours déjà.
Très chaleureusement, avec déférence et des voeux sincères.
[2] - Jonas III 1 à 10 ; psaume LI ; évangile selon saint Luc XI 29
à 32
20 heures 49
+ NS… Mise en examen pour financement illégal de sa campagne en 2012. Témoin
assisté pour faux, escroquerie et abus de confiance. – Explications assurées d’un
député FENNECH (orthographe) du parti des Républicains : la présomption d’innocence,
rien en obstacle pour participer à la primaire, ce ne sont pas les juges qui
décident ni de la vie des partis ni de la démocratie. L’avocat, ensuite…
Thierry HERZOG délaye, délaye, délaye : mis en examen seulement pour les
comptes de campagne « pour moi et pour le président NS : une
satisfaction, tout ce qui est lié à l’affaire Bygmalion ne le
concerne pas ». Mis en examen, ce sont des indices, pas un renvoi, pas un
jugement. Je vais exercer tous les recours de droit et nous verrons bien. La
rigueur du juge d’instruction qui avait envisagé un certain nombre de chefs
d’examen et qui à la fin de douze heures d’instruction, a statué : l’affaire
Bygmalion ne concerne pas le président NS … Je retiens que ce qui était
annoncé, tympanisé par certains médias depuis deux ans, est… Faux, usage de
faux faits d’escroquerie au préjudice de
l’Etat, abus de confiance au préjudice de l’UMP. Ces faits-là, le juge
d’instruction a jugé que ces faits ne pouvaient concerner le président NS. Je
suis donc satisfait… Je produirai le moment venu un certain nombre de faits…
nous verrons si les contestations que … ce soir, je le répète, le président NS
n’est pas concerné. L’affaire est grave…
Amende de 3.500 euros. Il n’est donc... – BFM TV en direct.
Reste une
évidence : s’il y a eu dépassement des comptes de campagne légalement
plafonnés, comment et par quoi l’ont-ils été ? sinon principalement par Bygmalion ?Les
deux affaires n’en font qu’une : le résultat et l’outil. Sans compter les
recels multipliés car beaucoup ont dû s’en mettre plein les poches, il n’y a
pas eu que de la politique, mais bien du personnel et du privé… Rappel… la
campagne de BALLADUR, financièrement dirigée par le même NS cumulant cette
responsabilité avec le ministère du Budget (confusions du genre de celle de
WOERTH, trésorier du parti et ministre, lui aussi, du Budget)… campagne sans
doute réglée par une décision du Conseil constitutionnel (dont le cher Jacques ROBERT
témoigne qu’elle fut de complaisance, sinon de convenance !) mais qui a fait
couler du sang…
23 heures 13
+ Mort de BOUTROS-GHALI : africain, arabe, chrétien (copte) et marié à une
humanitaire juive. Un très grand homme. SADATE aussi. Ceux qui débloquaient les
situations. Précisément les chrétiens d’Orient…
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