Prier…
la grande prière autant politique que patriotiqu et spirituelle, le dirigeant
et son peuple, l’hérédité aussi, autant d’ingrédients perdus dans notre pays… [1] et l’état spirituel
autant sensible et gratifiant que juste et théologal : je trouve dans la voie de tes xigences plus de joie
que dans toutes les richesses. Les
dialogues des Patriarches avec Yahvé s fondaient sur une identité divin
renvoyant au plus concret et appréhensible, la généalogie familiale, je suis le
Dieu de tes pères, ce qui suppose aussi la fibre filiale. Salomon reprend ce
fil conducteur. Tu as montré beaucoup d’amour à ton serviteur David, mon
père mais il y a presque du
donnant-donnant. Salomon rappelle aussi la fidélité et la piété de David, quelque
pécheur qu’il se soit montré sa vie durant. Tu lui as gardé ce grand amour.
Ainsi situé, Salomon qui st doublement
appelé : sa filiation royale le mettant par le fait même sur le trîne
paternel, le songe, pndant la nuit qju’il
passe devant l’autel à Gabaon, qui était lors le grand sanctuaire. On est bien à Reims, la nuit précédant le
sacre. Et Salomon, avant même de l’avoir précisément et xplicitement reçu,
montre qu’il a le don de la
sagesse. Et ce n’est pas pour lui-même, mais selon le rôle
qui lui échoit, qu’il prie. Conscience de sa fonction autant que pénétration de
ce qui lui a fait recevoir cette fonction. Parabole et enseignement sur
parabole pour ce que devrait être aujourd’hui l’abnégation et l’intuition du
politique quand il parvient à l’objectif de son ambition… mais les chemins
d’aujourd’hui peuvent-ils donner la conscience de ce devoir et de la gratuité
d’une situation qui n’appartient pas à celui qui s’y trouve. Me voilà au
centre du peuple que tu as élu. … Donne à ton serviteur un cœur attentif pour
qu’il sache gouverner ton peuple et discerner le bien et le mal. Réponse de Dieu : pleinement exaucé, le
jeune roi reçoit aussi ce qu’il n’a pas demandé. Je te donne et la richesse
et la gloire, si bien que pendant toute ta vie, tu n’auras pas d’égal parmi les
rois. Comment Jésus, son lointain
descendant, reçoit-il cela pour ses propres contmporains ? La mission… Il
fut saisi de pitié parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Dégénérescence de l’histoire humaine à
certaines de ses époques, fléchissements de tout à certains moments de nos vies
à chacun. Recours ? Toi, Seigneur, tu s béni : apprends-moi tes
commandements. Révision de vie et lecture
de ce qu’il nous a été donné de vivre jusqu’à ces instants de désarroi,
mouvement du cœur, de l’âme, de la mémoire, du désir d’équilibre et de bonheur,
de re-départ valables aussi pour chacun de nous que pour un pays, une
civlisation… je fais repasseer sur mes lèvres chaque décision de ta bouche.
Et puis, le répit, la simple sagesse de
savoir s’employer autant que de savoir se reposer, se ressourcer, arriver
tranquillement. Jésus coupe court à l’enthousiasme de ses disciples, quoiqu’Il
les écoute avec patience et leur fait sentir comment et combien Il les a suivis
dans leur mission, celle qu’Il leur avait donnée. Il leur dit :
« Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu. »
Mais l’histoire n’arrête aps sa respiration, surtout celle de notre rédemption.
Ce seront les grands discours, la multiplication
des pains, la marche sur les eaux. Suavité
de Dieu et mouvement de nos vies, en Lui et entre Ses mains.
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