Ce soir
Prier enfin… je ne réalisais pas
qu’aujourd’hui est la fête de la
Transfiguration. Textes évangéliques donnant presque
symétriquement à ceux de
l’Apocalypse lus hier, à contempler la gloire de la Mère et du
Fils qui nous
sauvent. Gloire de personnes tout humaines cependant. La
Vierge assurément, le
Christ puisque Dieu fait homme. Gloire qui sera la nôtre,
celle de notre chair
divinisée dans et par la vie éternelle. Témoignage des trois
synoptiques et
aussi celui de Pierre : récit autant que description, alors
que Jean, tout
autant témoin oculaire, n’en donne, dès son Prologue, que la
théologie : nous
avons vu Sa gloire.
Pierre est précis,
comme l’est Paul, les faits stricts. Ce n’est pas en
ayant recours à des
récits imaginaires sophistiqués que nous vous avons fait
connaître la puissance
et la venue de notre Seigneur Jésus, mais c’est pour avoir été
les témoins
oculaires de sa grandeur.
Car il a
reçu de Dieu le Père l’honneur et la gloire quand depuis la
Gloire magnifique,
lui parvint une voix qui disait : Celui-ci est mon Fils, mon
bien-aimé, en
lui j’ai toute ma joie. Cette voix venant du ciel, nous
l’avons-nous-mêmes
entendue quand nous étions avec lui sur la montagne sainte. Le récit de Luc diffère,
quant à ce qui est
entendu, et surtout il donne et les circonstances et ce qui
fut vu par les
trois disciples privilégiés au Thabor et à Gethsémanie : ils
virent la
gloire de Jésus, et les deux hommes à ses côtés. [1] Au contraire du jardin
dit des Oliviers,
Pierre, Jacques et Jean, quoique accablés de sommeil, parviennent à rester éveillés, ce n’est pas
un rêve ni une
vision, c’est la réalité. Ils voient la réalité du Christ,
ils voient aussi que
le temps et les époques ne font plus loi : voici que deux
hommes
s’entretenaient avec lui, et ceux-ci s’éloigneront. La voix
mystérieuse et
d’une telle autorité, n’est entendue que quand la vue n’est
plus
possible : une nuée survint et les couvrit de son
ombre. Ils furent
saisis de frayeur lorsqu’ils y pénétrèrent. Au
contraire, la contemplation splendide ne les inquiète pas au
contraire, ils
veulent y demeurer. C’est la proposition, en fait la demande
de Pierre qui est
dans un état béatifique : Maître, il est bon que nous
soyons ici. Dans la
version de Luc de cet événement
nous permettant de tout anticiper, c’est spontanément et non
sur recommandation
du Christ que Pierre, Jacques et Jean gardèrent le
silence et, en ces
jours-là, ils ne rapportèrent à personne rien de ce qu’ils
avaient vu. La totalité
de l’identité du Christ, donnée
à voir, à constater aux disciples, et ce qu’ils voient,
Celui qu’ils
voient : pendant qu’il priait, l’aspect de son visage
devint autre, et
son vêtement devint d’une blancheur éblouissante… est authentifiée, « légendée » par le Père,
directement,
une parole, des mots qui se retiennent et peuvent être
transmis. Leur
importance est ressentie en profondeur et motive le silence.
Le texte pose en
fait la question de ce qu’est la prière, au fond,
décisivement. Sans doute, y
a-t-il le don, l’enseignement du Notre Père, et l’Eglise a compris la manière et le mouvement
puisqu’elle a su
d’elle-même composer (mais en près de mille ans) le Je
vous salue, Marie, mais
la prière va au-delà ou en deçà. Elle
nous transfigure, elle nous met en relation avec Celui qui
porte ultimement le
secret de notre âme, de notre personnalité, de celui qui
peut attester un jour
qui nous sommes : jugement dernier ?Tous les peuples ont
vu sa
gloire.
A déjeuner et cet après-midi
Déjeunant
de bœuf bourguignon, gâteau de riz
et gâteau « fait maison » par ma chère femme, je me suis
plongé dans le
Monde.
D’évidence, le monde change, pas seulement l’époque, et pas
forcément pour du
nouveau. Je vois plutôt la conséquence de nos lacunes et de
nos inerties depuis
une grande vingtaine d’années : l’implosion soviétique,
l’émergence
chinoise au premier rang mondial n’ont pas été vraiment
perçue, compris, analysée.
Nous nous sommes focalisés, à l’initiative américaine, sur
l’Islam et la dérive
des « printemps », puis sur le terrorisme. L’amalgame
aujourd’hui
entre cette absence d’analyse de fond et de mise en
perspective de grands
changements, et ce
que nous subissons en
quasi-récession économique, reculs sociaux et terrorisme
ambitionnant le
spectaculaire, la prise psychologique, la fascination des
opinions, nous rend
mentalement très dépendants de l’imprévu et très
improductifs. Rien ne se
construit depuis deux décennies, et ce qui se construisait
il y a vingt ans
fait fiasco. Notamment l’Union européenne, et aussi une
« mondialisation » qui aurait pu être bénéfique et
libertaire, et ne
l’est pas, faute d’encadrement, d’ajustement et des
accompagnements, thème par
thème, région par région qu’il aurait fallu. –
Paradoxalement, la
Grande-Bretagne ces derniers temps n’avait jamais été plus
européenne, et
notamment en binôme avec nous. L’affaire des deux centrales
EPR pour lesquelles
la nouvelle Première ministre a annoncé un délai de
réflexion, valant sans
doute remise en cause est probablement l’événement le plus
important de
l’année, bien plus que le Brexit qui
n’est qu’un faux départ puisque l’Union n’existe plus dans
les esprits.
J’apprends que le partenariat initié en Chine-même par EDF
et avec Areva avait surtout pour portée, et première mise en
pratique ces EPR. La
Chine y a vu son entrée dans le marché international, elle
qui est déjà, mais
pour elle-même, le premier constructeur mondial de centrales
nucléaires. Donc,
une mauvaise humeur très clairement exprimée, sinon
menaçante : rappel que
l’établissement de la confiance mutuelle n’avait pas été
facile et n’est que
récent. Quel contentieux auparavant ? Hong-Kong ? Le
partenariat
britannique pour certaines pénétrations en Europe, mais
aussi pour la mise en
œuvre d’une Banque asiatique d’investissements dans les
infrastructures, que les
Américains considèrent comme un anti-Bretton woods. Il est
évident que le
concours de la City peut être décisif pour les Chinois. Le
débat
sino-britannique est donc porteur de beaucoup de
conséquences d’envergure
mondiale. Nous sommes au cœur de ce sujet, d’autant qu’assez
maladroitement
nous avons affiché notre envie de profiter des éventuels
déserteurs, en fait
nos compatriotes qui avaient émigré à Londres, pourraient
faire retour et
surtout nous donner des éléments pour une stature de grande
place financière
sur le continent. Coincidence accentuant la frustration
chinoise, alors que
depuis dix-quinze ans ce n’étaient que des succès dans cette
avancée au premier
rang, sans scrupule et avec de moins en moins de précautions
d’apparence ou de
langage : la mise en place, en Corée du sud, d’une défense
anti-missiles
américaine répondant aux essais nord-coréens, est également
considérée comme
une menace à Pékin, visant à neutraliser sa propre
dissuasion nucléaire. Déjà POUTINE avait ressenti comme une
atteinte à la Russie le bouclier anti-missiles déployé par
les Etats-Unis sur le sol des anciens vassaux de l'URSS.
Cela
fait donc beaucoup de coincidences, et de surcroît Mrs MAY
ne cache pas que
les droits de l’homme ne sont pas une litote, alors que son
prédécesseur
n’évoquait jamais la question. Second changement
considérable : le
climat, cette fois ce ne sont plus des projections, des
extrapolations, mais
c’est le record de 2015 vraiment inquiétant. Le Brésil a
d’ailleurs très bien
compris l’enjeu puisque le remède, l’antidote au
réchauffement, ce n’est pas
principalement la diminution des pollutions, mais bien de
favoriser par tous
moyens les reforestations, les plantations, l’alliance
prioritaire de l’homme
avec le végétal. Le logo antinucléaire enrichi d’une
arborescence construite
sur son Y. La forêt, le végétal, c’est par excellence
l’Amazonie et le Brésil.
Changement enfin qui tend à devenir structurel et induit
décisivement des
comportements stratégiques : la baisse constante du cours du
pétrole,
autour de 40 dollars le baril. Les monarchies du Golfe font
de l’épargne
investissement en Europe principalement tandis qu’avec des
effets appropriatifs
et d’accaparement analogue, la Chine acquiert des propriétés
de matières
premières au lieu de se contenter de flux. L’Afrique et
l’Europe ont en cela
une solidarité de destin : marchés pillés et ressources hors
souveraineté.
– Qui fait la synthèse, qui présente une analyse et une
prospective ? ce à
quoi excellait DG. Propos de fête patronale, hier soir, que
ceux de FH, bien malheureusement.
Et manifestement, la campagne présidentielle américaine ne
va pas structurer
l’opinion mondiale. Alors que la plupart des questions sont
pluridisciplinaires,
que les réponses sont contagieuses, le simplisme a tout
envahi
Confirmation
par mon cher journal de l’impression que j’avais hier soir.
L’enthousiasme, la
logorrhée étaient forcés, joués, pas vécus. Ces Jeux
olympiques 2016 sonnent
faux. Et ils vont avoir une fonction inattendue : décrire la
dérive d’un
peuple, d’un continent peut-être. D’ailleurs pas de foule,
du moins à l’écran,
et pas de dire de spectateurs brésiliens au micro. Je viens
surtout de passer
près de trois heures à compiler les dépêches numériques du Monde.fr, les
unes appelant les autres, et formant pour moi une
passionnante mise à jour, au
moins selon les deux années 2015-2016. Deux excellents
journalistes : une
fille, GATINOIS, à Sao Paulo, et un garçon, BOURCIER, à
Rio. Je comprends
donc le marasme économique, relativement nouveau, mais
générant la crise
politique et la contestation. Car « de mon temps » la
question
n’était ni la dette (un pays dont l’excédent commercial est
le second au monde
peut emprunter), ni la croissance mais l’inflation qui avait
été réduite,
artificiellement sans doute, en sollicitant les statistiques
et en changeant
les signes monétaires : mon cher Dilson FUNARO, bien trop
tôt disparu.
L’ambiance était alors à la détente politique plus encore
car le passage du
pouvoir des militaires, après leur dictature de plus en plus
théorique, pendant
vingt ans, aux civils – je l’ai vécue – avait été réussi.
Notamment grâce à la
personnalité ambivalente de Tancredo NEVES d’autant même que
le président élu
en assemblée et non au suffrage universel direct, n’avait pu
prendre ses
fonctions pour raisons de santé, inopinément mais
défihitiveent très aggravées
la veille du grand jour.en scrutin. Le Brésil était même
parvenu à remédier à
l’un des vices de sa Constitution : l’interdiction pour le
président
sortant de se représenter. Œuvre de la relation la plus sûre
de notre ambassade
quand j’y étais : Fernando Henrique CARDOSO. A l’expérience
de maintenant,
fut-une bonne chose que Dlima soit rééligible, et réélue.
Donc, un pays tendu,
comme toute l’Amérique latine, victime de proche en proche
des cours du
pétrole, pas seulement la dépendance bolivienne vis-à-vis
d’un Venezuela
moribond. Une dialectique assez simple : Petrobras qui n’était qu’à ses débuts quand j’étais à
Brasilia (1984-1986) et le
pétrole qui n’était pas une ressource nationale majeure,
semble à l’origine de
la crise politique ayant abouti à la procédure de
destitution de Dlima
ROUSSEFF. Car c’’est dans une ambiance de récession
accentuée par des plans
d’austérité qu’a donc éclaté le scandale de corruptions
immenses, affectant
plus d’une centaines de parlementaires et le parti gouvernemental.
Et j’apprends le
point décisif : Dlima ROUSSEFF avant de succéder à son
mentor LULA
dirigeait l’entreprise pétrolière. Celle-ci était considérée
par le PT (Parti
des travailleurs de LULA) comme sa chose. De même que Dlima
revendique la tenue
des JO comme l’œuvre de son patron et d’elle-même). Comment
va se dénouer la
crise ? puisque tout le monde est impopulaire, que le
« tombeur » de Dlima, le président de l’Assemblée a lui
aussi
été » convaincu de corruption et a dû démissionner, et que
l’intérimaire,
plus qu’ambitieux, est unanimement détesté. Personne
n’évoque dans nos médias,
ni semble-t-il déjà dans l’opinion brésilienne, la
possibilité d’un coup
militaire. Mais on accuse les différents protagonistes de la
destitution de Dlima,
et aussi celle-ci, de se conduire en « golpistes »,
l’expression
datant de la " révolution des oeillets " au Portugal, telle
aussi que j’en ai vécu
les dernières phases de 1975 à 1979.
Les
JO ne passionnent donc pas grand monde. Peu de chefs d’Etat,
et dans certains
sports la préférence donnée par les principaux champions à
d’autres formes et
aires de compétiton. De toutes les personnes que j’ai
sondées ce matin :
une dizaine dans mes lieux, personne n’avait regardé la trop
tardive, pour nous
en Europe, cérémonie d’ouverture. Les filles de mon
pharmacien, bonnes
nageuses, ne vont suivre que leur discipline.
. . . France 2, 23 heures
31 + Censément l’ouverture des Jeux olympiques… Les MANAUDOU
, le handball… les
horaires dictés par la télévision américaine… retour du
rugby depuis 1924… le
base-ball… 23 heures
55 + FH, sa
platitude habituelle, les valeurs olympiques, défendre la
candidature de Paris
pour les JO en 2024, capacité démontrée à organiser et avec
exigence de
sécurité. Nous, on peut vous montrer l’exemple… Les
sportifs : on sait ce
que vit notre pays, les Français… faire tout pour aller
chercher la médaille, le
porte-drapeau le même qu’en 2012. Les journalistes : la
question contenant
déjà les réponses…. On ne peut pas gagner en étant
malhonnête. Participer,
il faut être qualifié, il y a une
équipe, on ne peut pas gagner tout seul, cf. la politique et
la présidentielle.
Pas
d’écran géants sur les plages pour inciter les gens à aller
sur les
sites…L’envie et la cohésion… les hyperboles, la
consommation des superlatifs…
faire l’exploit… l’improvisation des commentateurs qui ne
savent pas même la
composition des équipes, les absents, les accidentés. En
tennis, les meilleurs
se réservent pour le grand chelem. … rejoindre Karl LEWIS
dans la légende…. En
athlétisme, pas de surprise, des confirmations… on va se
régaler, çà va être
vraiment génial. ... Le stade Maracana édifié pour la coupe
de foot-ball de 1950 :
initialement 200.000 places. Explication par les « lapins
crétins » de certaines disciplines. Le "roi" PELE : 1281
buts, champion du monde à 17 ans. Aujourd’hui,
75 ans. Lien avec la France, lors de mon premier mundial,
j’avais 17 ans,
rencontres avec les Français, COPA et d’autres, film avec
François REICHENBACH,
rencontre glamour avec BB. Amour et feeling pour la France.
Visage marqué, peu
expressif, enregistre chanson sur l’espérance pour les jeux
à Sao Paulo. Faute
de parler l’anglais, emmenait sa guitare. Pas un bon
chanteur, mais un bon
professionnel. Dieu est si bon avec moi. N’a jamais été
champion olympique, parce que tout simplement ne pouvait pas
statutairement y participer..
Trois fois champion du monde. En 1970, première fois que
mondovision :
Brésil c/ Italie. Jamais gagné aux JO paarce que jamais
disputé les JO parce
que professionnel. Ministre des Sports de Fernando Henrique
CARDOSO. Le CIO l’a
sacré athlète du siècle, toujours reconnaissant de tout
cela, je ne sais
pourquoi, mais Dieu le sait. Je ne veux décevoir personne.
Remercier Dieu pour
la santé qu’il m’a donné. Suivre un athlète ? HUCHELBOLT… La
gentillesse.
Les voix et l’accent brésiliens. La sagesse des individus et
collective.
0
heure 38 + Résumé
d’histoire brésilienne
donné avec beaucoup d’ellipses, mais juste. 1550, début de
la traite, cinq
millions d’Africains. Don
Pedro.
L’abolition de l’esclavage en 1888. La République, les
vagues d’immigration
blanche. 1930, VARGAS, finance le carnaval, lance un
foot-ball métissé, le
stade Maracana. Brasilia en 1960, NIEMEYER. Dictature de
1964 à 1984. LULA en 2002,
premier président de gauche, boom pétrolier, corruption :
pétrole et
mondial de foot.
Une
heure moins le quart … Ipanema, les favellas… Le texte
enthousiaste n’est pas
illustré, pas de sensation ni de foules ni de tintamarres…
Le Corcovado en
vert, le Maracana : un ovale surélevé de couleur violette.
Donc, le stade
de VARGAS. … Les
images de Londres
exceptionnellement belles.. Les photos.de visage en très
gros plans, bestiaux,
les cris aussi, mais cependant supportables et joyeuses. Les
palmarès français…
jamaöcains, kenyans, les coureurs… l’entrée dans la légende…
tout là-haut dans
le ciel… parfois l’envie de gagner peut changer la vie d’un
homme… le chinois
sur les haies, blessé au tendon d’Achille, s'écartant à
cloche-pied… la coréenne épéiste rste sur le
terrain peendant une heure à pleurer. Londres : les
Etats-Unis premiers, de
façon écrasante, 2ème la Chine, et 3ème
la
Grande-Bretagne. – Manifestation dans l’après-midi à
Copacabana.- Unique au
monde… on plane, la foule est suir le côté mais on est
vraiment porté. Les
larmes aux yeux, c’est vraiment énorme.
Presque
une heure du matin + Vus d’en haut, le stade et
l’environnement cuivre sombre,
un film de science- fiction. A l’inauguration de 1950, le
Brésil battu en
finale par l’Uruguay. Figure d’apparence métallique, le plus
souvent bleu lais
ce sont des centaines d’artistes qui font se mouvoir des
plaques et de l'étoffe,
créant un mouvement, un moutonnement continu. Le compte à
rebours dit en
portugais par l’ensemble des présents dans les tribunes du
stade. L’hymne créé
en 1896. Donné par un soliste à cheveux blancs, comme une
prière murmurée,
rythme contenu. Poème très visuel sur l’obsession de la
déforestation. 1924,
l’escalade, le skate-board. SANTOS-DUMONT ou ADER en 1906,
premier vol :
le Français à peine décollé, le Brésilien à soixante mètres
d’altitude… . Le
Corcovado, conçu par un Français, qui avait déjà conçu et
fait la statue de la
Liberté, son arrivée par avion au-dessus de Rio, et installé
en 1936. La
favella, une fleur, l’invasion des villes. La mannequin la
mieux payée du
monde, la fille d’Ipanema. La capoeira, le mime de la
révolte des esclaves, le
foot-ball d’abord monopole des Blancs et invention du
« dribble » par
les Noirs. - Le
stade comme une anémone vue du ciel, des unissons de
voix par la foule. Figures
du réchauffement climatique, la forêt amazonienne.
Replantation, l’arbre dans
la rue… 01 heure
47. Les accélérés de la
pousse d’un arbre. Chaque prote-drapeau recevra d’un
enfant la graine d'une essence rare,
un futur arbre à planter au village olympique. Le signe
de la paix avec arbre.
XXXIème olympiade : défilé des athlètes. Le français
reste la langue
officielle des Jeux. Défilé dans l’ordre alphabétique en
portugais, mais en
tête toujours la Grèce. L e mot de COUBERTIN, en fait un
pasteur de
Pennsylvanie en 1919 : l'important est de participer,
je... pars me coucher au moment des Saoudiens et des
Algériens, les deux versions d'une même culture...
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