samedi 6 août 2016

les témoins oculaires de sa grandeur - textes du jour

Samedi 6 Août 2016

Ce soir


Prier enfin… je ne réalisais pas qu’aujourd’hui est la fête de la Transfiguration. Textes évangéliques donnant presque symétriquement à ceux de l’Apocalypse lus hier, à contempler la gloire de la Mère et du Fils qui nous sauvent. Gloire de personnes tout humaines cependant. La Vierge assurément, le Christ puisque Dieu fait homme. Gloire qui sera la nôtre, celle de notre chair divinisée dans et par la vie éternelle. Témoignage des trois synoptiques et aussi celui de Pierre : récit autant que description, alors que Jean, tout autant témoin oculaire, n’en donne, dès son Prologue, que la théologie : nous avons vu Sa gloire. Pierre est précis, comme l’est Paul, les faits stricts. Ce n’est pas en ayant recours à des récits imaginaires sophistiqués que nous vous avons fait connaître la puissance et la venue de notre Seigneur Jésus, mais c’est pour avoir été les témoins oculaires de sa grandeur. Car il a reçu de Dieu le Père l’honneur et la gloire quand depuis la Gloire magnifique, lui parvint une voix qui disait : Celui-ci est mon Fils, mon bien-aimé, en lui j’ai toute ma joie. Cette voix venant du ciel, nous l’avons-nous-mêmes entendue quand nous étions avec lui sur la montagne sainte. Le récit de Luc diffère, quant à ce qui est entendu, et surtout il donne et les circonstances et ce qui fut vu par les trois disciples privilégiés au Thabor et à Gethsémanie : ils virent la gloire de Jésus, et les deux hommes à ses côtés. [1] Au contraire du jardin dit des Oliviers, Pierre, Jacques et Jean, quoique accablés de sommeil, parviennent à rester éveillés, ce n’est pas un rêve ni une vision, c’est la réalité. Ils voient la réalité du Christ, ils voient aussi que le temps et les époques ne font plus loi : voici que deux hommes s’entretenaient avec lui, et ceux-ci s’éloigneront. La voix mystérieuse et d’une telle autorité, n’est entendue que quand la vue n’est plus possible : une nuée survint et les couvrit de son ombre. Ils furent saisis de frayeur lorsqu’ils y pénétrèrent. Au contraire, la contemplation splendide ne les inquiète pas au contraire, ils veulent y demeurer. C’est la proposition, en fait la demande de Pierre qui est dans un état béatifique : Maître, il est bon que nous soyons ici. Dans la version de Luc de cet événement nous permettant de tout anticiper, c’est spontanément et non sur recommandation du Christ que Pierre, Jacques et Jean gardèrent le silence et, en ces jours-là, ils ne rapportèrent à personne rien de ce qu’ils avaient vu. La totalité de l’identité du Christ, donnée à voir, à constater aux disciples, et ce qu’ils voient, Celui qu’ils voient : pendant qu’il priait, l’aspect de son visage devint autre, et son vêtement devint d’une blancheur éblouissante… est authentifiée, « légendée » par le Père, directement, une parole, des mots qui se retiennent et peuvent être transmis. Leur importance est ressentie en profondeur et motive le silence. Le texte pose en fait la question de ce qu’est la prière, au fond, décisivement. Sans doute, y a-t-il le don, l’enseignement du Notre Père, et l’Eglise a compris la manière et le mouvement puisqu’elle a su d’elle-même composer (mais en près de mille ans) le Je vous salue, Marie, mais la prière va au-delà ou en deçà. Elle nous transfigure, elle nous met en relation avec Celui qui porte ultimement le secret de notre âme, de notre personnalité, de celui qui peut attester un jour qui nous sommes : jugement dernier ?Tous les peuples ont vu sa gloire. 



[1] - 2ème lettre de Pierre I 16 à 19 ; psaume XCVII ; évangile selon saint Luc IX 28 à 36


A déjeuner et cet après-midi


 Déjeunant de bœuf bourguignon, gâteau de riz et gâteau « fait maison » par ma chère femme, je me suis plongé dans le Monde. D’évidence, le monde change, pas seulement l’époque, et pas forcément pour du nouveau. Je vois plutôt la conséquence de nos lacunes et de nos inerties depuis une grande vingtaine d’années : l’implosion soviétique, l’émergence chinoise au premier rang mondial n’ont pas été vraiment perçue, compris, analysée. Nous nous sommes focalisés, à l’initiative américaine, sur l’Islam et la dérive des « printemps », puis sur le terrorisme. L’amalgame aujourd’hui entre cette absence d’analyse de fond et de mise en perspective de grands changements,  et ce que nous subissons en quasi-récession économique, reculs sociaux et terrorisme ambitionnant le spectaculaire, la prise psychologique, la fascination des opinions, nous rend mentalement très dépendants de l’imprévu et très improductifs. Rien ne se construit depuis deux décennies, et ce qui se construisait il y a vingt ans fait fiasco. Notamment l’Union européenne, et aussi une « mondialisation » qui aurait pu être bénéfique et libertaire, et ne l’est pas, faute d’encadrement, d’ajustement et des accompagnements, thème par thème, région par région qu’il aurait fallu. – Paradoxalement, la Grande-Bretagne ces derniers temps n’avait jamais été plus européenne, et notamment en binôme avec nous. L’affaire des deux centrales EPR pour lesquelles la nouvelle Première ministre a annoncé un délai de réflexion, valant sans doute remise en cause est probablement l’événement le plus important de l’année, bien plus que le Brexit qui n’est qu’un faux départ puisque l’Union n’existe plus dans les esprits. J’apprends que le partenariat initié en Chine-même par EDF et avec Areva avait surtout pour portée, et première mise en pratique ces EPR. La Chine y a vu son entrée dans le marché international, elle qui est déjà, mais pour elle-même, le premier constructeur mondial de centrales nucléaires. Donc, une mauvaise humeur très clairement exprimée, sinon menaçante : rappel que l’établissement de la confiance mutuelle n’avait pas été facile et n’est que récent. Quel contentieux auparavant ? Hong-Kong ? Le partenariat britannique pour certaines pénétrations en Europe, mais aussi pour la mise en œuvre d’une Banque asiatique d’investissements dans les infrastructures, que les Américains considèrent comme un anti-Bretton woods. Il est évident que le concours de la City peut être décisif pour les Chinois. Le débat sino-britannique est donc porteur de beaucoup de conséquences d’envergure mondiale. Nous sommes au cœur de ce sujet, d’autant qu’assez maladroitement nous avons affiché notre envie de profiter des éventuels déserteurs, en fait nos compatriotes qui avaient émigré à Londres, pourraient faire retour et surtout nous donner des éléments pour une stature de grande place financière sur le continent. Coincidence accentuant la frustration chinoise, alors que depuis dix-quinze ans ce n’étaient que des succès dans cette avancée au premier rang, sans scrupule et avec de moins en moins de précautions d’apparence ou de langage : la mise en place, en Corée du sud, d’une défense anti-missiles américaine répondant aux essais nord-coréens, est également considérée comme une menace à Pékin, visant à neutraliser sa propre dissuasion nucléaire. Déjà POUTINE avait ressenti comme une atteinte à la Russie le bouclier anti-missiles déployé par les Etats-Unis sur le sol des anciens vassaux de l'URSS. Cela fait donc beaucoup de coincidences, et de surcroît Mrs MAY ne cache pas que les droits de l’homme ne sont pas une litote, alors que son prédécesseur n’évoquait jamais la question. Second changement considérable : le climat, cette fois ce ne sont plus des projections, des extrapolations, mais c’est le record de 2015 vraiment inquiétant. Le Brésil a d’ailleurs très bien compris l’enjeu puisque le remède, l’antidote au réchauffement, ce n’est pas principalement la diminution des pollutions, mais bien de favoriser par tous moyens les reforestations, les plantations, l’alliance prioritaire de l’homme avec le végétal. Le logo antinucléaire enrichi d’une arborescence construite sur son Y. La forêt, le végétal, c’est par excellence l’Amazonie et le Brésil. Changement enfin qui tend à devenir structurel et induit décisivement des comportements stratégiques : la baisse constante du cours du pétrole, autour de 40 dollars le baril. Les monarchies du Golfe font de l’épargne investissement en Europe principalement tandis qu’avec des effets appropriatifs et d’accaparement analogue, la Chine acquiert des propriétés de matières premières au lieu de se contenter de flux. L’Afrique et l’Europe ont en cela une solidarité de destin : marchés pillés et ressources hors souveraineté. – Qui fait la synthèse, qui présente une analyse et une prospective ? ce à quoi excellait DG. Propos de fête patronale, hier soir, que ceux de FH, bien malheureusement. Et manifestement, la campagne présidentielle américaine ne va pas structurer l’opinion mondiale. Alors que la plupart des questions sont pluridisciplinaires, que les réponses sont contagieuses, le simplisme a tout envahi
Confirmation par mon cher journal de l’impression que j’avais hier soir. L’enthousiasme, la logorrhée étaient forcés, joués, pas vécus. Ces Jeux olympiques 2016 sonnent faux. Et ils vont avoir une fonction inattendue : décrire la dérive d’un peuple, d’un continent peut-être. D’ailleurs pas de foule, du moins à l’écran, et pas de dire de spectateurs brésiliens au micro. Je viens surtout de passer près de trois heures à compiler les dépêches numériques du Monde.fr, les unes appelant les autres, et formant pour moi une passionnante mise à jour, au moins selon les deux années 2015-2016. Deux excellents journalistes : une fille, GATINOIS, à Sao Paulo, et un garçon, BOURCIER, à Rio. Je comprends donc le marasme économique, relativement nouveau, mais générant la crise politique et la contestation. Car « de mon temps » la question n’était ni la dette (un pays dont l’excédent commercial est le second au monde peut emprunter), ni la croissance mais l’inflation qui avait été réduite, artificiellement sans doute, en sollicitant les statistiques et en changeant les signes monétaires : mon cher Dilson FUNARO, bien trop tôt disparu. L’ambiance était alors à la détente politique plus encore car le passage du pouvoir des militaires, après leur dictature de plus en plus théorique, pendant vingt ans, aux civils – je l’ai vécue – avait été réussi. Notamment grâce à la personnalité ambivalente de Tancredo NEVES d’autant même que le président élu en assemblée et non au suffrage universel direct, n’avait pu prendre ses fonctions pour raisons de santé, inopinément mais défihitiveent très aggravées la veille du grand jour.en scrutin. Le Brésil était même parvenu à remédier à l’un des vices de sa Constitution : l’interdiction pour le président sortant de se représenter. Œuvre de la relation la plus sûre de notre ambassade quand j’y étais : Fernando Henrique CARDOSO. A l’expérience de maintenant, fut-une bonne chose que Dlima soit rééligible, et réélue. Donc, un pays tendu, comme toute l’Amérique latine, victime de proche en proche des cours du pétrole, pas seulement la dépendance bolivienne vis-à-vis d’un Venezuela moribond. Une dialectique assez simple : Petrobras qui n’était qu’à ses débuts quand j’étais à Brasilia (1984-1986) et le pétrole qui n’était pas une ressource nationale majeure, semble à l’origine de la crise politique ayant abouti à la procédure de destitution de Dlima ROUSSEFF. Car c’’est dans une ambiance de récession accentuée par des plans d’austérité qu’a donc éclaté le scandale de corruptions immenses, affectant plus d’une centaines de parlementaires et  le parti gouvernemental. Et j’apprends le point décisif : Dlima ROUSSEFF avant de succéder à son mentor LULA dirigeait l’entreprise pétrolière. Celle-ci était considérée par le PT (Parti des travailleurs de LULA) comme sa chose. De même que Dlima revendique la tenue des JO comme l’œuvre de son patron et d’elle-même). Comment va se dénouer la crise ? puisque tout le monde est impopulaire, que le « tombeur » de Dlima, le président de l’Assemblée a lui aussi été » convaincu de corruption et a dû démissionner, et que l’intérimaire, plus qu’ambitieux, est unanimement détesté. Personne n’évoque dans nos médias, ni semble-t-il déjà dans l’opinion brésilienne, la possibilité d’un coup militaire. Mais on accuse les différents protagonistes de la destitution de Dlima, et aussi celle-ci, de se conduire en « golpistes », l’expression datant de la " révolution des oeillets " au Portugal, telle aussi que j’en ai vécu les dernières phases de 1975 à 1979.
Les JO ne passionnent donc pas grand monde. Peu de chefs d’Etat, et dans certains sports la préférence donnée par les principaux champions à d’autres formes et aires de compétiton. De toutes les personnes que j’ai sondées ce matin : une dizaine dans mes lieux, personne n’avait regardé la trop tardive, pour nous en Europe, cérémonie d’ouverture. Les filles de mon pharmacien, bonnes nageuses, ne vont suivre que leur discipline.   

Hier et cette nuit


. . . France 2, 23 heures 31 + Censément l’ouverture des Jeux olympiques… Les MANAUDOU , le handball… les horaires dictés par la télévision américaine… retour du rugby depuis 1924… le base-ball…  23 heures 55 + FH, sa platitude habituelle, les valeurs olympiques, défendre la candidature de Paris pour les JO en 2024, capacité démontrée à organiser et avec exigence de sécurité. Nous, on peut vous montrer l’exemple… Les sportifs : on sait ce que vit notre pays, les Français… faire tout pour aller chercher la médaille, le porte-drapeau le même qu’en 2012. Les journalistes : la question contenant déjà les réponses…. On ne peut pas gagner en étant malhonnête.  Participer, il faut être qualifié, il y a une équipe, on ne peut pas gagner tout seul, cf. la politique et la présidentielle.
Pas d’écran géants sur les plages pour inciter les gens à aller sur les sites…L’envie et la cohésion… les hyperboles, la consommation des superlatifs… faire l’exploit… l’improvisation des commentateurs qui ne savent pas même la composition des équipes, les absents, les accidentés. En tennis, les meilleurs se réservent pour le grand chelem. … rejoindre Karl LEWIS dans la légende…. En athlétisme, pas de surprise, des confirmations… on va se régaler, çà va être vraiment génial. ... Le stade Maracana édifié pour la coupe de foot-ball de 1950 : initialement 200.000 places. Explication par les « lapins crétins » de certaines disciplines. Le "roi" PELE : 1281 buts, champion du monde à 17 ans. Aujourd’hui, 75 ans. Lien avec la France, lors de mon premier mundial, j’avais 17 ans, rencontres avec les Français, COPA et d’autres, film avec François REICHENBACH, rencontre glamour avec BB. Amour et feeling pour la France. Visage marqué, peu expressif, enregistre chanson sur l’espérance pour les jeux à Sao Paulo. Faute de parler l’anglais, emmenait sa guitare. Pas un bon chanteur, mais un bon professionnel. Dieu est si bon avec moi. N’a jamais été champion olympique, parce que tout simplement ne pouvait pas statutairement y participer.. Trois fois champion du monde. En 1970, première fois que mondovision : Brésil c/ Italie. Jamais gagné aux JO paarce que jamais disputé les JO parce que professionnel. Ministre des Sports de Fernando Henrique CARDOSO. Le CIO l’a sacré athlète du siècle, toujours reconnaissant de tout cela, je ne sais pourquoi, mais Dieu le sait. Je ne veux décevoir personne. Remercier Dieu pour la santé qu’il m’a donné. Suivre un athlète ? HUCHELBOLT… La gentillesse. Les voix et l’accent brésiliens. La sagesse des individus et collective.

0 heure 38 +  Résumé d’histoire brésilienne donné avec beaucoup d’ellipses, mais juste. 1550, début de la traite, cinq millions d’Africains.  Don Pedro. L’abolition de l’esclavage en 1888. La République, les vagues d’immigration blanche. 1930, VARGAS, finance le carnaval, lance un foot-ball métissé, le stade Maracana. Brasilia en 1960, NIEMEYER. Dictature de 1964 à 1984. LULA en 2002, premier président de gauche, boom pétrolier, corruption : pétrole et mondial de foot.

Une heure moins le quart … Ipanema, les favellas… Le texte enthousiaste n’est pas illustré, pas de sensation ni de foules ni de tintamarres… Le Corcovado en vert, le Maracana : un ovale surélevé de couleur violette. Donc, le stade de VARGAS.  … Les images de Londres exceptionnellement belles.. Les photos.de visage en très gros plans, bestiaux, les cris aussi, mais cependant supportables et joyeuses. Les palmarès français… jamaöcains, kenyans, les coureurs… l’entrée dans la légende… tout là-haut dans le ciel… parfois l’envie de gagner peut changer la vie d’un homme… le chinois sur les haies, blessé au tendon d’Achille, s'écartant à cloche-pied… la coréenne épéiste rste sur le terrain peendant une heure à pleurer. Londres : les Etats-Unis premiers, de façon écrasante, 2ème la Chine, et 3ème la Grande-Bretagne. – Manifestation dans l’après-midi à Copacabana.- Unique au monde… on plane, la foule est suir le côté mais on est vraiment porté. Les larmes aux yeux, c’est vraiment énorme.

Presque une heure du matin + Vus d’en haut, le stade et l’environnement cuivre sombre, un film de science- fiction. A l’inauguration de 1950, le Brésil battu en finale par l’Uruguay. Figure d’apparence métallique, le plus souvent bleu lais ce sont des centaines d’artistes qui font se mouvoir des plaques et de l'étoffe, créant un mouvement, un moutonnement continu. Le compte à rebours dit en portugais par l’ensemble des présents dans les tribunes du stade. L’hymne créé en 1896. Donné par un soliste à cheveux blancs, comme une prière murmurée, rythme contenu. Poème très visuel sur l’obsession de la déforestation. 1924, l’escalade, le skate-board. SANTOS-DUMONT ou ADER en 1906, premier vol : le Français à peine décollé, le Brésilien à soixante mètres d’altitude… . Le Corcovado, conçu par un Français, qui avait déjà conçu et fait la statue de la Liberté, son arrivée par avion au-dessus de Rio, et installé en 1936. La favella, une fleur, l’invasion des villes. La mannequin la mieux payée du monde, la fille d’Ipanema. La capoeira, le mime de la révolte des esclaves, le foot-ball d’abord monopole des Blancs et invention du « dribble » par les Noirs. - Le stade comme une anémone vue du ciel, des unissons de voix par la foule. Figures du réchauffement climatique, la forêt amazonienne. Replantation, l’arbre dans la rue…  01 heure 47. Les accélérés de la pousse d’un arbre. Chaque prote-drapeau recevra d’un enfant la graine d'une essence rare, un futur arbre à planter au village olympique. Le signe de la paix avec arbre. XXXIème olympiade : défilé des athlètes. Le français reste la langue officielle des Jeux. Défilé dans l’ordre alphabétique en portugais, mais en tête toujours la Grèce. L e mot de COUBERTIN, en fait un pasteur de Pennsylvanie en 1919 : l'important est de participer, je... pars me coucher au moment des Saoudiens et des Algériens, les deux versions d'une même culture... 

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