Mon
livre est vraiment accompagné : le rebond avec le
documentaire dimanche de
KOHLY (Un acteur
nommé désir),
puis les biographies et l’anthologie de la résistance
chrétienne au
totalitarisme, le modèle du genre, l’hitlérisme et les
personnages d’Edith
STEIN, Simone WEIL et des grands protestants. Aujourd’hui,
la suite des martyrs
de la guerre civile espagnole autre forme du totalitarisme,
et dans tous ces
cas historiques (pas seulement l’actualité mal lue de
l’Islamisme menant au
djihadisme) la manipulation de la propension humaine à la
foi, à l’espérance.
Sauver Dieu, sauver un pays par le massacre, se sauver en se
tuant. Enigme,
mais tranquillement interrogée quoique ancienne dans ma
vie : le Christ
acculé au sacrifice de la croix, comme seul moyen humain de
faire croire à la vérité
de ses dires en ministère public, moyen humain… la mort.
Maturation et
magnificence de la pensée, de la foi, de la prière quand
l’Eglise en est le
ciboire, vg. l’Immaculée conception. J’interroge souvent
maintenant google, et
notamment wikipédia pour appréhender ce que le
non-croyant ou le neutre ou le
scientifique et historien disent des « articles » de notre
foi et de
nos saints ou martyrs. Magnifique figure, commémorée
aujourd’hui, de ce grand
maître des Dominicains assassiné à Madrid en Août 1936.
Etudier la dérive
immédiate de la guerre civile espagnole : les massacres de
chrétiens, du côté
républicain, les massacres d’autorités intellectuelles
(Garcia LLORCA, et d’autres :
approfondir) par les putschistes et leurs soutiens
nationalistes. JPD me citant
mardi soir un auteur immense tant sur ce sujet que sur la
révolution allemande
de 1918 à 1923, puis davantage encore sur l’Internationale
communiste et une
biographie monumentale de TROTSKY. Le nom m’échappe, mais
souvent venu, BOUEY
ou BOUET… ?
Prier…[1]
éloge de la femme mais
union de l’homme avec elle, union du Christ et de l’Eglise,
la femme est l’humanité.
Texte et description magnifiques par Ezéchiel que je ne
connaissais pas : tu
devins de plus en plus belle et digne de la royauté.
Ta renommée se répandit parmi les nations, à cause de ta
beauté, car elle était
parfaite, grâce à ma splendeur dont je t’avais revêtue –
oracle du Seigneur. Ambivalence
de la beauté, mon propre
cheminement, un des éléments de la spiritualité de ce frère
initialement père,
personnalité si complexe (achevée sur cette terre ? je ne le
crois pas) de
Dom Jacques MEUGNIOT, moine de Solesmes. La beauté n’est
qu’un chemin,
intuition d’Edith STEIN à approfondir, que le témoignage
d’une possibilité. Pour
le prophète lu maintenant, c’est une terrible occasion de
chute, une
responsabilité – combien d’ailleurs, elle se constate dans
la destinée de tant
de « beautés » contemporaines. Mais tu t’es fiée à ta
beauté, tu
t’es prostituée en usant de ta renommée, tu as prodigué tes
faveurs à tout
passant : tu as été à n’importe qui. Alors
et toujours, Dieu de miséricorde : le prodigue guetté,
attendu, dont la
bouche est close par le père de toute compassion avant même
qu’il récite le
boniment de sa contrition… Cependant, moi, je me
ressouviendrai de mon
alliance, celle que j’ai conclue avec toi au temps de ta
jeunesse, et j’établirai
pour toi une alliance éternelle. Ainsi tu te souviendras, tu
seras couverte de
honte. Dans ton déshonneur, tu n’oseras pas ouvrir la bouche
quand je te
pardonnerai tout ce que tu as fait.
Mon
livre, s’il est mien, ce que je ne crois pas… sera une
prière, l’est devenue depuis
qu’il s’écrit. Et j’ai tant, avant de mourir, à commémorer,
de personnes de ma
vie qui doivent être à tous, à présenter, rappeler. –
Enseignement du Christ.
Si souvent, la raison, l’essence pédagogique et donc la
fonction
compassionnelle des commandements. Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! … c‘est en
raison de la
dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de renvoyer vos
femmes. Mais au
commencement, il n’en était pas ainsi. Historicité
de la nature. Glose ensuite sur le célibat. Et puis, si
souvent aussi, celui
qui peut comprendre, qu’il comprenne… Qui a des oreilles,
qu’il entende ! …
ils ont des yeux et e voient pas, des oreilles et ils
n’entendent pas… caractéristiques
des idoles, traits de
chacun de nous… devant les évidences du bonheur, de la foi,
de la prière, de la
solidarité entre générations et cultures ou civilisations
grâce aux saints et
aux réelles bonnes volontés. La quête de vérité, Edith STEIN
et la réplique de
Pilate : qu’est-ce que la vérité ? aussi fortes que Antigone
devant
Créon. L’humanité a encore des jiyrs splendides devant elle,
mais combien d’horreurs
commet-elle et en tolérons-nous par distraction, négligence,
lâcheté d’âme
encore plus que de chair. Voici le Dieu qui me sauve…il
est pour moi le salut…
car il est grand au milieu de toi, le Saint d’Israël. Amen. Dieu veuille bien protéger les miens sur leur
route,
terre-à-terre d’aujourd’hui, mes deux chères cadettes depuis
Paris et mes deux
splendides aimées depuis Strasbourg. Et accueillir nos
prières et toute l’humanité.
– Charme et tranquille familiarité des commentaires
d’évangile par le pape
François aux « angelus », ainsi dimanche dernier.
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