Prier… [1]
les faits et nous, notre gestion, génération après
génération, gestion de la planète, gestion des relations
entre nos sociétés et à l’intérieur de nos sociétés,
écologie et bio-éthique (après la destruction de
l’Amazonie, les reboisements-pipeau en eucalyptus très
inflammables et qui stérilisent la terre, cf. TV Arte hier soir… les
permissions en génétique, cf. AFP Londres sur lesquelles
je n’arrive plus, nous n’arrivons plus à réfléchir… et
comment interdire le possible ? et le faut-il ?), est de
plus en plus aventurée parce que subie, nous nous
subissons, en pulsions, en conséquences de ce que nous
découvrons, il y a de la méthode pour découvrir, mais il
n’y en a pas pour exploiter vraiment, avec soin, en
perspective et en prospective. Quant aux misères et aux
amoindrissements physiques et spirituels, rien ou peu, en
collectif. Que des héros (ou des saints) presque seuls…
Nous sommes menés par une logique qui n’est celle de
personne, ni non plus celle de la nature, mais que
certains servent, sans même un mobile, alors ? to go
astray... Même les guerres, nous ne savons plus comment
les « faire » : la question du djihad et de la perversion
spirituelle, mentale de nos jeunes générations nous
dépasse totalement, nous tâtonnons partout, une sorte de
peste, la fable de La Fontaine. Les faits et notre
liberté. La liberté, c’est l’ouverture à Dieu, en tout
moment ou en désespoir de cause. Dieu sait nous en
convaincre finalement. Et là il ne pouvait accomplir
aucun miracle… Et il s’étonna de leur manque de foi. Pourquoi ? comment ?
ses contemporains, ses frères et soeurs d’enfance à
Nazareth, les jeux de cour et de rue ensemble : quelle
est cette sagesse qui lui est donnée, et ces grands miracles
qui se réalisent par ses mains ? La réaction n’est pas
de foi, mais de doute. Au lieu d’aller de Dieu aux faits
pour comprendre ceux-ci, ils vont de l’impossibilité et de
l’interrogation jusqu’à Dieu pour, tout naturellement…, ne
pas Le voir. Et ils étaient profondément choqués à
son sujet puisqu’Il
incarnait l’échec de leurs logiques à eux, Reste évidemment la
question, qui ne me trouble pas mais qu’il ne faut pas non
plus éluder… les frères et sœurs de chair, et pas à la
mode de Bretagne ou selon les salutations que nous croyons
être à l’orientale, pour se dispenser de répondre… Seule
certitude, il a succédé professionnellement à son père et
donc a vécu longuement à Nazareth. N’est-il pas le
charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de
José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici
chez nous ? Ils
butent devant la personne du Christ parce qu’a priori, ils
croient la connaître et en faire le tour. De même que nous
butons sur certaines énigmes scripturaires, comme nous
butons sur le sens de l’Histoire, sur certains événements
de nos vies, alors qu’aucun n’est dramatique, puisque –
plus il y a drame, plus il y a appel de Dieu à aller à
Lui. Soyez vigilants : que personne ne se dérobe à la
grâce de Dieu. Amen.
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