Vendredi 11 Août 2017
11 heures 08 + Messe hebdomadaire
[1]
à Surzur. Prière pour obtenir la force de l’œuvre, remise
en Dieu : n’être que Son instrument parmi tant d’autres.
Contrairement à l’évangile du jour et à tant de psaumes,
aimer Dieu, désirer en être aussi proche que possible,
qu’Il le veut de Lui-même et de moi (et de tous),
uniquement pour Lui et parce que c’est Lui quoique je Le
connaisse si peu…mais l’expérience qu’Il m’a donné et me
donne de Lui me suffit pour souhaiter et demander de ma
toute faible prière d’être proche de Lui, de vivre et
ressentir ici-bas et plus tard Sa présence en moi. Propter retributionem… en attendant de nous
ne savons pas quelle part ? Non ! pas d’échange,
Lui et nous, nous autour de Lui et en Lui, Lui en nous.
C’est depuis des décennies mon souhait et ma prière, à
travers toutes distractions, et sans doute sculpté que
j’ai été et suis par les échecs, par les rencontres. – La
liturgie, texte de saint Paul, défiant l’imagination ou
l’imitation tant il est juste, total. Gigantisme et
exhaustivité de l’humanité et du spirituel de cet homme,
de ce saint. La « consécration »… en fait la
Transsubstantiation… nos messes sont essentiellement,
décisivement la célébration du sacrifice-même de notre
Dieu, de Son offrande pour nous. L’élévation de chacune
des espèces dès leur transsubstantiation, pain et vin,
Corps et Sang.
Transmis à Phe. l’admirable
analyse de Lo GOURMO sur le referendum mauritanien, et
saucé comme déjà souvent sur la mission européenne. EM
sera jugé non sur la péremption des anciens partis, la
plupart avaient déjà leur mûe au programme, mais sur ce
qu’il aura fait pour l’Afrique et pour l’entreprise
européenne [2].
Je reprendrai ma lecture versaillaise dès que je vais le
pouvoir, mais de ces deux actions, demandant une
affectation de toute notre imagination, de nos
relationnements, de notre possession de nous-mêmes et de
notre Histoire, je ne vois pas du tout ni le commencement
ni l’intention. Lui comme les ministres… partent en
vacances, sauf erreur de ma part. Tandis que selon Ouest-France, le brexit divise
le pouvoir britannique.
Je mets au net mes notes de
télévision d’avant-hier soir : Die Wand. Déjà, heureux des
photos que j’ai prises pendant… Courriel d’amour pour ma
chère femme, avoir sous les yeux une belle photo d’elle,
heureuse. – Je travaille à cette relecture : bonheur.
Faire de mon début de texte-idée sur Conques : un
scenario, un film, éventuellement en parler à Franck C.
mais avoir évalué ses travaux jusqu’ici, dont
l’enregistrement de notre après-midi, de mon premier
après-midi avec l’œuvre de Jean-Yves COULIOU. Ai-je encore
ce texte, tellement important en créativité et suggestion
d’images et de situation, écrit peut-être en 1988…
Conques.
11 heures 51 + Et si je
reprenais, continuais cette fiction que j’ai commencée
d’inventer en la racontant à notre trésor, à ses
quatre-cinq ans. HAUSHOFER d’abord conteuse pour enfants,
cf. aussi Christian PINEAU…
12 heures 17 + Je crois que je
pourrai « tout dire », c’est-à-dire tout écrire en m’en
tenant à ce que j’ai entrevu ces semaines-ci, avant notre
semaine de Londres, et aussi avant le choc d’avant-hier
soir qui m’inspira hier matin quelque chose centrée sur ma
chère femme et nous, à mon réveil, hier soir… (trilogie ou
quadrilogie : mes écrits de 1968, 1984, 1997 et donc 2017…
à voir, mais difficile et pas maintenant). Confirmation
que les rencontres et portraits « plaisent » aux lecteurs
de mon livre-programme politique, évidence surtout que
j’ai été, que je suis fait de
rencontres. Donc, ce titre et ce travail quand
j’aurai réalisé les préalables : résumé de mon livre pour
la revue des anciens ENA, présentation de ma mission et de
ses leçons au Kazakhstan, relevé d’adresses internet dans
la presse écrite pour tenter d’y pénétrer en collaborateur
occasionnel puis régulier, relevé des adresses internet
dans l’annuaire des anciens de l’ENA, puis… de Franklin.
Ces deux derniers relevés, pour promouvoir mon essai
politique du printemps dernier et que je ne crois ni
périmé de date ni anachronique de contenu, à confectionner
au jour le jour tout en commençant mon livre.
12 heures 26 + Cette relecture
en mettant au net ce que j’ai dactylographié à la hâte est
un bonheur, c’est du divin, je reprends exactement, les
images aussi sans que les photos soient nécessaires, ce
que j’ai vécu mercredi : une retraite, un point de
l’endroit où je suis de ma vie, de la responsabilité que
j’ai de moi-même et de faire et avoir fait de ma vie.
C’est intensément bienfaisant. Les retraites spirituelles,
j’en ai vécu à leur heure et intensément. En voici une
autre, tout aussi décisive, sinon plus. Je réalise aussi
que méditer et écrire en regardant-analysant COULIOU est
et sera une forme de retraite, de halte, d’entrée dans une
matrice. Ce dernier sentiment m’est venu hier en
ré-entrant dans cette maison de la Laïta..
12 heures 40 + Travaillant à
cette mise au net, j’entends la voix, je vois celle qui
monologue, je vois son visage, je vois ce qu’elle voit.
14 heures 26 + Mauritanie, suite
: le chef des parlementaires qui résistent, est arrêté à
la frontière fluviale avec le Sénégal… je courielle de
nouveau à Phe. [3]Mauritanie
aussi sinon surtout : Ousmane qui est parvenu à emmener
son père à l’hôpital militaire de Nouakchott : un scanner
dont j’attends résultats et exploitation, mais il s’est
sûrement endetté. Solidarité familiale à sens unique, ou
bien fierté : il n’a pu abriter l’an dernier le ciment
stocké pour terminer sa maison, ne voulant pas demander à
ses parents,
23 heures 50 + Inopinément,
j’accompagne Edith pour ce qu’elle a commencé de regarder
à la télévision, alors que je pensais boucler le journal
de cette journée : RMC 24, évocation de trois
important du IIIème Reich, images que je ne connaissais
pas et surtout moisson de témoignages pour le troisième
d’entre eux, Martin BORMANN, dont le suicide est avéré :
fiche de dentition correspondant à son praticien,
fragments de verre entre ses dents (l’ampoule de cyanure
que chacun des importants portait sur lui à la fin de
l’apocalypse).
Sur
EICHMAN, tout a été dit et montré, mais le montage de sa
biographie et de ses dires au procès en Israël souligne
combien il a été structuré et mû par l’obéissance aux
ordres, par une conception du devoir et de la hiérarchie.
Perdu s’il n’a pas d’ordres, il va les demander à
KALTENBRUNNER, il est crispé sur ses statistiques, le
rythme des trains qui sont prioritaires pour les camps de
la mort sur le ravitaillement du front de l’Est. 15…
20.000 par jour exterminés, mais personnellement et
physiquement il cherche les solutions pour épargner la
sensibilité des bourreaux et la sienne, le gaz enfin. Les
mises en scène pour faire croire à des départs en camps
familiaux. Sa tentative quand il est en Hongrie de
« troquer » 10.000 juifs contre autant de camions, auprès
des Alliés. Bien plus que l’homme d’Auschwitz, a-t-il
commandé même un camp, c’est l’organisateur des transports
et des rafles. Mais les récits de sa capture, le
témoignage des gens de la Mossad, visages grimaçants, ne
pas plus beaux. EICHMAN n’a pas tort en psychologie
immédiate : l’Histoire, le passé qui se fait au présent
diffèrent bien de celui-ci. La question de ? qui lui est
posée sur ces massacres : cent morts, c’est une
catastrophe (nos drames et le terrorisme chez nous depuis
Charlie-Hebdo et le Bataclan) sont de cet ordre),
mais cinq millions, c’est une statistique. Nous le
vivons : les migrants, Alep et Mossoul…
Baldur von SCHIRACH, un visage
mou, un homme de culture et de musique, il a failli faire
sa vie professionnelle à New-York dans les années 20 où il
a de la famille. Arrivisme, il a l’idée de l’embrigadement
de la jeunesse, HITLER est d’abord sceptique puis séduit.
Les films, les drapeaux, les chants, les garçons, les
filles, les visages, les gros plans sur HITLER :
quelques-uns que je n’avais jamais vu, il se rengorge, le
coq, le cou enfle. Une éloquence peut-être, une ambiance
sûrement, mais aujourd’hui cette frénésie et la gestuelle
du bras droit… C’est évidemment ce qui a préparé les
ultimes réserves du Reich à l’hiver 44-45. Confirmation
par wikipédia que j’ai interrogé : lui et surtout sa
femme, fille du photographe
HOFMANN ont bien protesté auprès de HITLER au
Berghof sur le traitement des Juifs, exemple la Hollande.
Nous sommes détestés partout. HITLER répond, confirmant
qu’il est parfaitement au courant et que les ordres
viennent de lui, mais la dialectique est différente :
l’extermination, non, mais le talion, les Allemands
tombent à l’Est, qu’il tombe donc des Juifs. Il échappe à
la peine capitale et ce qui n’est pas une anecdote, celle
du Berghof, n’est révélé que bien après Nuremberg par les
époux : maintenir la posture de l’accusé, je ne savais
pas, or il savait et à Vienne, dont il a été gouverneur,
il fut bien l’organisateur des départs. Confirmation que
Vienne était la « perle » du Reich, non Berlin, mais à
« purifier » des Juifs… les témoignages de certains ayant
participé à ces Jeunesses
hitlériennes
inquiètent, il y a trop de joie et d’éclat à témoigner de
ce que c’était…
C’est l’évocation de BORMANN qui
est saisissante, presque par hasard le sillage de Rudokf
HESS, une complaisance efficace et inouïe, absolument
dévouée aux vœux concrets de HITLER, donc l’édification du
Berghof, le nid d’aigle en cadeau-surprise pour un
anniversaire, les expulsions et expropriations tout
autour, etc… c’ests ainsi qu’il se hisse jusqu’à la
direction du parti et est le seul civil à peser dans les
décisions militaires prises au QG de Prusse Orientale.
L’homme est abject, polygame et ne s’en cache pas auprès
de sa femme. Un lâche aussi. Mais l’intéressant est dans
la qualité des témoins, au coeur de la dictature, au plus
proche de HITLER : je n’ai pas retenu de quand date
l’ensemble de l’émission, mais nous entendons et voyons le
régisseur du Berghof, les domestiques de HITLER, sa
secrétaire particulière, l’un de ses gardes du corps, et
même l’un des fils de BORMANN, son homonyme. Il a eu huit
enfants légitimes, mais sans doute beaucoup d’autres.
L’ensemble analyse le fait de la
dictature fondée sur l’adulation pour un homme censé
représenter la nation, et l’avenir de celle-ci. Les
moyens, les conséquences ne sont pas évalués par tous ceux
qui servent ce chef et le font servir. Application
aujourd’hui ? ces foules immenses ont été aussi celles du
système soviétique. Un régime, l’Allemagne nazie, qui n’a
duré que douze ans, dont six seulement en temps de paix,
continue d’être intensément analysé. Le système communiste
ne l’est guère et les dictatures d’aujourd’hui, dans les
pays ex-communistes… la Russie de POUTINE et la Chine
combinant goulag, marxisme, parti unique, capitalisme ne
sont pas analysées en dictature. Jusqu’en 2010, pour notre
figure intérieure, je n’ai été attentif qu’à cette
déviance vis-à-vis de ce que DG nous avait rendu ou au
contraire à cette fécondité pour ceux qui l’avait
actualisé : MJ, FM, d’autres plus partiellement. Depuis
l’affaire des Rroms et le discours de NS à Grenoble, ma
vigilance porte sur les libertés. Les mesures d’exception
et l’état d’urgence, la tendance au patriot act, m’inquiètent. Mais je
crois qu’il y a pis, quoique j’admette pouvoir me
tromper : cette table rase qu’incarne EM, partis et
syndicats périmés et même question de mon cher JF, faut-il
des partis politiques ?L'oubli des dictatures, le pardon
des nations, le passé ne donnant aucune leçon, les
analogies ne sont saisies que si elles sont voyantes et
visuelles : guerres, uniformes, sang, violence. L'analyse
des séductions, des ambiances, et la nature des
contraintes sont examinées en collectif et en individuel,
mais toujours au passé, en Histoire, en biographie.
Aujourd'hui n'est ni étudié ni compris. L'obsession
climatique fait oublier les dictatures, l'argent fait
l'union à tel niveau. Les germes d'une dictature, le
consentement en chacun et en beaucoup à la dictature... où
? comment ? on sait quand et surtout a posteriori.
Question que je pose à ma chère
femme sur l’oreiller : et Marguerite, déjà privée de
télévision quand il y a Miss Marple (deux interprétations,
dont je vais relever les noms d’actrice, l’une étant
parfaite de grâce, de gentillesse et de vraie subtilité)
et Hercule Poirot (David SUCHET), voire
Maigret… (CREMER
ou GABIN), voilà qu’HITLER aussi… lui faire voir les
images et l’introduire aux discussions ??? Edith dit non
et que le temps viendra. De fait, il m’a fallu Nuit
et brouillard, j’avais dix-sept ans. Les
évocations de ce soir : l’antisémitisme était-il un fond
de l’Allemagne notamment, ou est-ce l’analyse obsessive
mais personnelle de HITLER qui s’est imposée à un peuple
pas forcément mobilisé a priori là-dessus ? ambiance
certes et partout. Nous avons en échange depuis 1947 la
question d’Israël et de Palestine, d’une autre nature il
est vrai mais qui bloque beaucoup de débats.
Et nos éphémérides et soucis de
maintenant en actualité politique. Ils paraissent
moindres. Je ne crois pas à un danger nord-coréen mais il
faut s’interroger sur ce qu’en pensent les Chinois. Une
opération américaine du genre de celle qui réduisit Sadam
HUSSEIN est évidemment impossible à la frontière
chinoise : ce qui est démontré, c’est la méthode TRUMP qui
fait presque paraître raisonnable les Nord-Coréens. Les
œufs contaminés : démonstration que les règlements
pleuvent mais que les contrôles sont éludés ou achetés. La
loi dite de moralisation a été votée, la majorité est
toujours de 421 voix et le débat semble s’être focalisé
sur la « réserve parlementaire », l’emploi discrétionnaire
de 146 millions par près de mille élus. Le Monde titre sur le statut de
la « première dame » et juge le débat suranné. Une double
page sur le porte-parole du gouvernement, l’insistance à
tout propos sur ce que veut EM, les débuts de changements
dans les grandes responsabilités de l’Etat, la police
nationale, l’ENA (qu’EM veut faire transformer
complètement) dont la directrice a été promue ministre des
Affaires européennes, déléguée auprès de LE DRIAN, la
direction générale de l’Armement (rappel qu’elle est le
premier investisseur public). On peut sans doute opiner
que le changement était et est nécessaire et donc ne pas
observer cette centralisation à la seule main du
Président. VGE fut élu là-dessus aussi, mais il eut un
but : la démocratie dont le parti jusques là dominant
avait de moins en moins cure, le pluralisme dans la
majorité, des dialogues avec l’opposition, des nominations
sans considération d’étiquettes ou d’allégeance. Nous ne
sommes pas dans ce registre depuis trois mois.
L’intense problème de l’humanité,
mise au défi de sa survie puisqu’elle détruit la planète
et les cycles du vivant, ou – si l’on doit discuter les
causes du réchauffement climatique, mais celles de la
restriction dramatique des espaces coutumiers et vitaux
pour les animaux, ne l’est pas – ne met pas tout en œuvre
pour contre carrer des évolutions si inquiétantes et
maléfiques, aussi bien dans sa propre évolution mentale,
physique, génétique peut-être que dans celles qui se
constatent par tout et en accélération… l’intense problème
est celui de notre solidarité entre nous et avec le
vivant, avec notre planète, et cette solidarité a comme
préalable ou la mise en œuvre de cette solidarité passe
par la démocratie, en gestion de la planète et en vie de
chaque société locale ou nationale. Je ne sens pas cette
pensée régner à l’Elysée. Est-ce celle d’un vieillard ou
d’un utopiste ? non.
[1]
- évangile selon
saint Matthieu, XIX 20 à29
20 Le jeune homme lui dit : « Tout
cela, je l’ai observé : que me manque-t-il encore ? »
21 Jésus lui répondit : « Si tu
veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes,
donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les
cieux. Puis viens, suis-moi. »
22 À ces mots, le jeune homme s’en
alla tout triste, car il avait de grands biens.
23 Et Jésus dit à ses disciples :
« Amen, je vous le dis : un riche entrera difficilement
dans le royaume des Cieux.
24 Je vous le répète : il est plus
facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille
qu’à un riche d’entrer dans le royaume des Cieux. »
25 Entendant ces paroles, les
disciples furent profondément déconcertés, et ils
disaient : « Qui donc peut être sauvé ? »
26 Jésus posa sur eux son regard
et dit : « Pour les hommes, c’est impossible, mais pour
Dieu tout est possible. »
27 Alors Pierre prit la parole et
dit à Jésus : « Voici que nous avons tout quitté pour te
suivre : quelle sera donc notre part ? »
28 Jésus leur déclara : « Amen, je
vous le dis : lors du renouvellement du monde, lorsque
le Fils de l’homme siégera sur son trône de gloire, vous
qui m’avez suivi, vous siégerez vous aussi sur douze
trônes pour juger les douze tribus d’Israël.
29 Et celui qui aura quitté, à
cause de mon nom, des maisons, des frères, des sœurs, un
père, une mère, des enfants, ou une terre, recevra le
centuple, et il aura en héritage la vie éternelle.
[2]
- Le 11/08/2017 à 10:38,
Bertrand Fessard de Foucault a écrit au conseil
diplomatique du Président de la République :
Lo Gourmo enseigne à l'Université du
Havre. Mauritanien, courageux, positions et textes
excellents au moment du putsch du 6 Août 2008.
Je pense à vous.
N B Je croyais que le Président allait
rencontrer un à un ses pairs pour dialoguer avec un
projet européen, auquel allusions avaient été faites
récemment.
Brexit. Réécrivons tous ensemble
l'ensemble du futur européen, de ses nécessités, avec
les textes qui iront avec. L'élection directe du
président de l'Union sera l'intense et lumineux signal
pour l'ensemble des peuples européens. Les
Britanniques ont dit non à l'état de choses existant,
et avec des raisons que nous devons comprendre. Mais
nous ne les ferons nullement se contredire en leur
demandant d'écrire avec nous et enfin une Loi
fondamentale pour l'Europe prévoyant tout dont la
solidarité inter se, la défense indépendante, les
modalités de sécession et de retour après sécession
(cf. projet VGE de 2005), sa propre révision mais
seulement ses propres modalités. Fin de
l'intergouvernemental qui nous a amenés où nous
sommes, ce dont - beaucoup plus que moi - vous avez
l'expérience et savez les engrenages qui y ont
conduit. Les migrants, leur accueil et plus
généralement les désaffections de nos opinions
vis-à-vis du plus nécessaire de nos chantiers, sont
une résultante, pas une cause.
Pour le Président, le test de
l'Histoire sera . la démocratie en Afrique . l'Europe
enfin elle-même et à elle seule mais pour l'équilibre
et la meilleure viabilité du monde
[3]
- Le 11/08/2017 à 14:26,
Bertrand Fessard de Foucault a écrit :
J’ajoute, cher
Philippe, ce que - je le suppose - notre ambassadeur
vous a fait savoir : le sénateur Ould Ghadda qui a
mené la résistance au referendum dissolvant le Sénat
et changeant le drapeau, qui avait auparavant
dénonçant quelques-uns des recels les plus criants de
Mohamed Ould Abdel Aziz ... appartements parisiens,
cession gratuite d'une île à l'émir du Qatar, ce
courageux et intelligent personnage a tenté ce matin
de passer au Sénégal, et est arrêté.
L'analyse du Pr. Lo Gourmo mérite que vous en preniez connaissance.
Chaleureusement.
L'analyse du Pr. Lo Gourmo mérite que vous en preniez connaissance.
Chaleureusement.
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