Vendredi 20 Juin 2014
Prier…[1] la pièce de RACINE, notre régime si évolutif
jusqu’en 1789, les chances de chacun ensuite, notre bout de course ces temps-ci.
Prier pour notre pays, notre Europe, cette Espagne que j’aime. Prier avec notre
cher Denis M., ses intermittences et sa foi, ses dilections intactes. Marguerite
faisant plébisciter en classe hier la catéchiste pour que celle-ci leur demeure
l’an prochain. Messe tout à l’heure au village. Prier pour conserver quelques
forces physiques et mentales, tout ce que je crois avoir à « produire ».
Si donc la lumière qui est en toi est
ténèbres, quelles ténèbres y aura-t-il ! Ph, non ! Seigneur, sauvez-nous… Jésus
marchant sur les aux, l‘appel de Pierre, homme de peu de foi… voyant qu’il
s’enfonçait. Réplique du Christ, bien
sûr, la main tendue pour le salut physique immédiat, mais la conduite de toute
vie, j’en suis là tandis que petit à petit il me faut concéder… Ne vous
faites pas de trésors sur la terre, là où les mites (j’en sais quelque chose, rapportées du
Kazakhstan et ayant ici fait leur royaume, tapis et yourte, en compagnie des
souris, nos collections Signes de piste, d’autres, la revue Commerce…) et la rouille dévorent, où les
voleurs percent les murs pour voler. Mais faites-vous des trésors dans le ciel,
là où … Cette sensation si vive que mes
visites à mon cher vieux prêtre dont la main tâtonne à la rampe de nos formes de
vie, sont décisives encore plus pour moi que pour lui. La lampe du corps,
c’est l’œil. Combien j’ai été « visuel »,
mes journées et soirées dans tous les musées d’Europe, ma passion de la nudité
et de la photographier, version féminine. Mon admiration pour certains regards :
ce neuro-psychiâtre au mariage JLM… cette infirmière aux yeux plus que
splendides, de véritables phares de lumière irradiée par des pierres précieuses,
combinant le vert, le pâle, le bleu ciel, un gris de douceur, qui hier en fin de
journée m’ouvre la porte du quartier où il faut enfermer les patients et leur
errance de corps et d’esprit… Là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur.
Avènement sanglant d’un roi en Israël…
les époques où les peuples traversent et renversent, CEAUCESCU, MOUBARAK… pour
revenir si souvent aux « cases-départ ». Allons-nous connaître cela ? On
conduisit Joas du Temple au palais, et il prit possession du trône des rois.
Tout le peuple du pays était dans la joie et la ville retrouva le calme. Quant à
Athalie, on l’avait mise à mort par l’épée dans le palais royal… Joas conclut
une alliance entre le Seigneur, le roi et le peuple, pour fare de celui-ci le
peuple du Seigneur ; il conclut l’alliance entre le roi et le peuple.
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